1 / 52

Formation SALT

Formation SALT. Kraainem , du 01/03/13 au 03/03/13. SALT. Stimuler Apprécier Ecouter Lier Transférer Apprendre. Qui sommes-nous ? . Photo-langage Chacun a pris la parole pour se présenter à travers une image qui nous parle. . Nous sommes tous humains.

waldo
Download Presentation

Formation SALT

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Formation SALT Kraainem, du 01/03/13 au 03/03/13

  2. SALT Stimuler Apprécier Ecouter Lier Transférer Apprendre

  3. Qui sommes-nous ? Photo-langage Chacun a pris la parole pour se présenter à travers une image qui nous parle.

  4. Nous sommes tous humains Toutes les communautés ont des ressources pour faire face à des problèmes. Exercice : se remémorer de la présentation de chacun. En répondant à la question: quelles sont les caractéristiques communes du groupe qui nous définit en tant qu’Humain ?

  5. Caractéristiques qui nous définissent en tant qu’humain On a évoquer : • Famille – enfants • Envie de rencontrer d’autres communautés • Envie d’apprendre et d’échanger • S’identifier à d’autres humains • Développement personnel, recherche spirituelle, questionnement de soi,l’envie de se construire et de se projeter • Envie de communiquer, le langage • L’amour • Partage équitable, partage de pratique • Détermination à aller vers l’autre • La vie en groupe • La curiosité • Le vécu de chacun • La tolérance • L’humour • La culture • Le voyage • L’envie de prendre de la hauteur • Le doute de ses propres capacités, la peur • La réflexion • La patience • L’ambition de réaliser quelque chose • Apprendre sur soi-même par la découverte de l’autre = Richesses de l’être humain = Richesse du partage Un humain est humain dans la relation à l’autre : on existe par les autres Réflexion intéressante : la faiblesse de l’humain est évoquée

  6. Si c’est cela être humain, comment souhaitons nous être traité ? Nous souhaitons : • Être compris • Être pris dans sa globalité • Être accepté avec ses richesses et ses faiblesses • Avec gentillesse • Avec chaleur • Etre écouté • Avec respect même dans un refus • Etre traité avec intérêt • Avec justice • Avec considération • Sans jugement • Avec tolérance • Avec empathie • Avec humilité • Avec spontanéité • Avec bienveillance • Être mis en valeur tout en étant critique • Accepter de collaborer • Avec sincérité • Avec confiance • Avec l’humour • Avec amour • Avec patience • Avec authenticité • En valorisant • Inconditionnellement dans tous les aspects de ma personnalité • Comme un être humain • Avec ouverture d’esprit • Dans ses particularités • Avec ses limites • Sans attendre trop • Avec équité

  7. Règles souhaitées par le groupe pour ces trois jours d’apprentissage • Prendre conscience de la chance d’être ensemble et de se découvrir • Besoin de pause • N’ayez pas peur du ridicule • Besoin d’aide pour la cuisine • Pas de bruit inutile • Regarder la personne qui parle • Ecouter • Ne pas avoir peur du silence • Respect de la propreté de la maison qui nous accueille • Tutoiement • Cloche = gardienne du temps • …

  8. Pratiquer de façon consciente l’approche SALT permet : • La transformation personnelle : repenser sa façon de vivre; • Ouverture du regard : Appréciation des forces de la communauté; • Se poser la question : « combien de fois par jour suis-je humain ? » ; • Ce rendre compte que ce que l’on dit a de l’intérêt; • De reconnaître ses faiblesses; • D’accepter les différences et pourquoi on les a ; • D’aller au delà de notre première catégorisation inconsciente de la personne; • D’apprendre à communiquer, à regarder les choses différemment; • De s’améliorer; • De regarder les forces et non les faiblesses d’une communauté; • De transmettre des façons différentes d’agir ; • De se détacher du connu, de savoir; • Il n’y a plus de « eux »et de « nous ». C’est a ce moment-là que l’action devient meilleure; • Avoir un regard d’enfant: l’enfant est capable de voir ce qui est vrai, beau et juste; • D’énumérer les capacités de l’autre et accepter ce que tu es; • D’avoir du courage et de la patience.

  9. Présentation des communautés Division du groupe en 4 communautés • Miroir: centre de santé de 1ère ligne – soin globaux et intégrés. Comment redonner plus d’autonomie aux patients. • Liboso: trois centres de santé qui ont un projet d’action avec des centres de santé à Kinshasa. • L’entreprise: faire du profit, beaucoup de contradiction. Les gens gagnent bien leur vie mais ne sont plus heureux. • ONG : représente « Guinée compétence » – projet pilote de sensibilisation du paludisme. Chaque communauté va préparer pendant 30min une présentation de sa communauté. Ensuite, chaque membre aura l’occasion d’aller visiter les autres communautés pendant 10 minutes.

  10. Retour en plénière de ce voyage • En présentant sa communauté, on se rend compte des forces et des faiblesses. • Ecouter et apprendre de la présentation. • Les questions aident l’autre à clarifier sa communauté et à se remettre en question. • Expliquer avec des mots simples et synthétiser donne une conviction supplémentaire à son projet. • 4 Communautés très différentes = enrichissant

  11. Le rêve Où voulons-nous aller ? • Chacun formule son rêve dans sa communauté. • La communauté élabore ensemble (par un dessin ou des phrases) son rêve commun.

  12. REVE CS Miroir

  13. REVE Liboso

  14. Rêve Entreprise

  15. REVE Guinée Compétence

  16. Retour en plénière de ce rêve • On a une meilleure vision à long terme • Difficulté de synthétiser ce rêve >< Facile de synthétiser à plusieurs • Synergie: plus d’idées à plusieurs • Apprentissage sur des rêves qui peuvent avoir lieu dans des entreprises (= aussi des communauté composée d’humain) • Recadrage utile • Clarifier le projet par écrit ou par dessin facilite

  17. Réflexion après l’action La réflexion après l’action doit être systématique après chaque action afin d’améliorer la démarche. 1. Qu’est-ce qui s’est bien passé ? Et pourquoi ? • Les gens sont arrivés ici avec un bon esprit et très ouvert • L’accueil fut très agréable (soupe très bonne) • La disposition, le maître du temps, chouette timing +++ • Recadrement par le facilitateur +++ • La démarche fonctionne pour d’autres secteurs • Chacun participait • Beaucoup de respect au sein du groupe • Personne n’a somnolé – chacun donne son point de vue et est au même niveau. 2. Qu’est-ce qui pourrait mieux se passer ? Et comment ?

  18. La phrase du jour « La théorie c’est quand tu sais tout et que rien ne va. La pratique c’est quand tout va mais que tu ne sais pas pourquoi »

  19. 2ème Journée

  20. Rappel de la journée d’hier On ferme les yeux, 1 minute de silence et chacun dit un mot pour résumer la journée de hier. • Évolution dans les relations, dans les discussions; • Chaleur humaine, convivialité, grande famille,… petit choc culturel : une seule bise ressenti comme quelque chose d’inachevé; • Dans un groupe où les souhaits étaient vagues, au fil de la journée, les choses se précisent; • Au fil de la journée, beaucoup de convivialité s’est installée; • Beaucoup d’éclats de rire; • On s’est entraidé tout de suite (ex : écrire le rapport); • Énergie ressentie hier quand on est rentré chez soi : sensation de légèreté; • Impression de faire un voyage en groupe : A force d’avancer ensemble, on voit où l’on va; • Équilibre de temps de parole entre chacun (versus exercices de ce genre dans une entreprise).

  21. Les pratiques Par quelles actions? Les pratiques sont la formulation active du rêve abouti. • Chercher les points commun dans le rêve afin de formuler une pratique. • Il faut utiliser le « nous » : tout le monde est concerné par le rêve. • Il faut l’exprimer sous forme de phrase de mise en action : « Nous , comme communauté + verbe d’action qui vise le plus haut niveau + complément objet ». • Il faut se lâcher, ne pas se limiter. • La détermination de l’indicateur de la réussite peut aider à la formulation de la pratique. Le groupe se sépare entre les 4 communautés pour faire l’exercice.

  22. Évaluation du travail de la facilitation autour des pratiques et du rêve Est-ce qu’on se sent en mesure pour mener cette étape ? Que nous faudrait-il en plus pour mener l’étape ? • Recadrer sans cesse • Pas évident d’expliquer/exprimer à un groupe ce qu’on entend par une pratique. Le mot pratique n’est pas évident. « Décrivez ce que vous faites dans 20 ans ». • Difficile de rester dans le rêve, on finit par se mettre nous-même des barrières.

  23. Quid si le rêve de la communauté n’est pas réalisable ? • On intervient si on parle d’éléments qui ne relèvent pas du groupe. L’exercice est de faire un rêve relatif à la communauté. Est-ce qu’on peut changer de rêve avec le temps ? • Les visites de Salt permettent d’évaluer l’avancée d’un rêve. On accompagne la communauté dans ses rêves. • Oui, on peut le changer : la communauté change. • La revisite du rêve est très importante. Le premier rêve peut être changé plus tard grâce à la pratique et à la mise en œuvre du rêve. Comment, dans un groupe où il y a des violeurs, avoir une inter-culturalité positive ? • L’empathie/se mettre dans la peau de l’autre permet de mieux suivre les rêves de l’autre. • En tant que facilitateur, ne pas avoir de jugement et stimuler les qualités positives humaines. Il est utile d’avoir une idée en tête et on n’est pas là pour l’imposer. • Influence du groupe jouera sur les mauvaises actions mais quand on parle de l’individu, il aura plus souvent envie d’un rêve positif. • Demander aux gens comment ils veulent être traités en tant qu’être humains et en sortiront des choses positives. Ex de Chaïda : se mettre au niveau des caïds de la rue et leur proposer de l’aider.

  24. Que fait-on quand la communauté n’est pas réceptive ? Est-ce déjà arrivé ? • Si la communauté invite, c’est qu’il y a une demande; • D’habitude, il y a un contact dans la communauté.(point focal) • On ne sélectionne pas, on ne s’impose pas; Ex : en Inde, possibilité de former les ONG à ce processus … mais sélection des ONG intéressées; • On a en tant que facilitateur un rôle de partage des avantages du processus SALT;

  25. Y a-t-il des trucs pour encourager les personnes silencieuses à s’exprimer ? • Exemple de Loli : séparation au sein des communautés du groupe des hommes et des femmes. Encourager les plus silencieux à s’exprimer. • Ça peut se passer naturellement : exemples de 20 Afghans parmi lesquels seuls deux s’expriment. Chez eux, société hiérarchisée. Les facilitateurs ont changé de tactique : partages à deux plutôt qu’en groupe. Pour mettre en commun par la suite, c’est plus facile. • Parfois, surtout avec les jeunes, certains refusent de parler mais par la suite, ils réagissent. Ce qui est très important est de commencer par petit groupe car cela permet aux plus silencieux de s’exprimer. • Reprendre ce que le plus silencieux a exprimé en lui disant « ça c’est vraiment important ce que tu as dit. »

  26. Certaines personnes peuvent craindre les représailles de leur expression après l’exercice SALT • Dans certains groupes, les responsables s’abstiennent de venir pour que les autres soient plus à l’aise de s’exprimer. Mesurer la température et voir si les participants sont plus à l’aise de s’exprimer avec ou sans les chefs. • Ex : au Burundi, le pasteur devait se mettre en groupe avec ses inférieurs. À la fin, on s’appelait par le prénom et plus par le titre. • Dans l’exercice de « qui sommes-nous » , l’humour a de l’importance. Plus les gens sont à l’aise et savent rire, plus on efface les différences.

  27. Auto-évaluation Où en sommes nous par rapport aux pratiques choisies? Niveaux d’auto-évaluation des pratiques: 5. Nous agissons naturellement 4 .Nous agissons de manière volontaire 3 .Nous agissons de temps en temps 2 .Nous sommes suffisamment conscients pour agir 1 .Nous sommes conscients de ce qu’il faut faire mais pas assez pour agir  On évalue notre niveau pour chaque pratiques proposée et on se met d’accord sur un niveau d’évaluation qui peut être différent dans le groupe.

  28. Poser un Indicateur Quel indicateur pour mesurer une pratique ? Un indicateur est un moyen de mesurer les changements/ progression de la communauté. Un indicateur peut être qualitatif ou quantitatif. La communauté choisit elle-même ses propres indicateurs. Exemples : Combien de réunions par mois; « nous reconnaissons que le SIDA nous affecte et dans quelle mesure » indicateur : proportion de la population du centre de santé qui connait son statut; • Faire le processus en 2 temps: Indicateur de progrès sur la pratique en général (vers où on tend) Indicateur de la réalisation des actions dans l’immédiat (plus facile à faire) Où trouver l’information (sources de vérification)? exemple : le PV des réunions • Parfois en cherchant l’indicateur, on va reformuler notre pratique car elle est trop vaste

  29. Évaluation du processus de facilitation autour de l’auto-évaluation et le choix des indicateurs • Il nous faut plus pratiquer : rechercher les indicateurs, les sources • Travailler ensemble facilite l’exercice, ainsi que le passage des personnes de l’extérieur • Avantage : on clarifie les idées et c’est complémentaire

  30. Choix des 3 pratiques • La communauté choisi trois pratiques prioritaires ayant un effet multiplicateur lui permettant de mieux progresser. • Pour ces trois pratiques la communauté détermine le niveau visé en un temps défini et comment déterminer sa progression.

  31. Plan d’action Par Pratique la communauté élabore son plan d’action au regard des rubriques suivantes : • Quoi (actions)? • Comment (stratégie)? • Qui (responsable) ? • Avec qui ? = les personnes concernées • Où? • Quand ? • Indicateurs (mesure du changement) • Sources de vérification • Moyens

  32. Évaluation du rôle du facilitateur Un facilitateur doit-il connaitre le milieu dans lequel il facilite ?(ex de Philippe qui est médecin et facilitait si bien dans le groupe « maison médicale en Belgique ») • On est pris entre deux logiques : le facilitateur est polyvalent MAIS il creusera plus les choses s’il connait le milieu. • Les meilleurs facilitateurs sont ceux qui ont le moins à désapprendre, qui ont le moins de degré universitaire. • Une visite se prépare et il faut avoir une idée de la communauté. Le point focal (personne de référence dans la communauté) permet de connaitre la communauté facilitée. • L’intérêt est d’avoir plusieurs facilitateurs dans le même groupe. Avoir plusieurs yeux. • Ce n’est pas évident d’être facilitateur dans des milieux où le concept de SALT ne passe pas. Exemple en Papouasie lors d’une formation en anglais où dans la langue locale, il n’y avait pas un seul mot de concept.  • Faire traduire par les gens ce qu’ils on expliqué dans leur langue et voir du coup s’ils ont compris. S’ils emploient un concept en français ou en anglais c’est une preuve qu’ils ne se sont pas approprié le mot.

  33. Ce n’est pas évident d’être facilitateur dans des milieux où le concept de SALT ne passe pas. Exemple en Papouasie lors d’une formation en anglais où dans la langue locale, il n’y avait pas un seul mot de concept.  • Faire traduire par les gens ce qu’ils on expliqué dans leur langue et voir du coup s’ils ont compris. S’ils emploient un concept en français ou en anglais c’est une preuve qu’ils ne se sont pas approprié le mot. Quelle est la limite entre questionner et suggérer des idées? • Suggérer des idées = échange d’expérience. Partager les expériences « là-bas j’ai vu ça, est-ce que ça pourrait s’appliquer ici ? » • Le facilitateur ne répond pas aux questions mais stimule la communauté en posant des questions. • « Le facilitateur est quelqu’un qui fait accoucher les idées mais il ne peut pas accoucher à la place de la communauté. » • Les facilitations les plus réussies sont celles où l’on partage son expérience. Exemple de Gaston avec le test du VIH qui raconte le jour où il a dû faire le test car partenaire à risque. Etonnement des papous: « Comment, les blancs ont peur aussi?».

  34. Réflexion après actions • Qu’est ce qui s’est bien passé et pourquoi? • La promenade est une détente bénéfique; • « j’étais contente qu’on réfléchisse à des plans d’action ». Il y a souvent une impatience des communautés : quand est-ce qu’on voit le concret ? • Laurie qui est arrivée le deuxième jour s’est bien approprié /intégré le projet, la formation,… • Le processus s’enrichit au fur et à mesure et on repense à chaque étape d’où l’on vient. • Qu’est-ce qui pourrait mieux se passer ? Et comment? • Parfois redondant d’aller dans chaque petit groupe, peut-être plutôt aller jusqu’au bout dans la réflexion dans son groupe? Aller directement en plénière?

  35. 3ème Journée

  36. Perles du savoir Une perle du savoir est constituée de principes communs pour l’action, dégagés à partir d’expériences individuelles. Le principe commun s’exprime par la formulation: Si …. alors …. Ces perles du savoir sont à échanger avec d’autres communautés. Importance de partager son expérience mais aussi d’écouter l’expérience de l’autre. Histoire: Fabien prend le train assis à côté d’une brésilienne. Mais Fabien a envie de lire. Par contre, elle n’a rien à faire et reste calmement près de lui. Il hésite de commencer la conversation… Mais elle sort un bouquin qu’il lui semble intéressant. Et entame la conversation. La rencontre fut finalement très intéressante. • Il est important de raconter l’histoire vécue de façon synthétique avec le contexte, l’enjeu, l’évènement, la leçon apprise. • Penser à un titre accrocheur afin de donner l’envie d’être entendue. • Il est important de noter les coordonnées du conteur pour faciliter les échanges. • L’échange d’expérience peut se faire à n’importe quel moment du processus. Avant ou après le plan d’action.

  37. Exercice: • Réfléchir à une demande permettant de développer ou enrichir une pratique au sein de la communauté. • La communauté formule sa demande en plénière. • Chaque personne raconte une histoire correspondant à la demande de la communauté. • De ces histoires le groupe dégage les principes communs, choisit les titres des histoires et ajoute les coordonnées des auteurs.

  38. Les demandes des différentes communautés • Liboso: Comment faire pour vivre une expérience d’immersion intéressante? Comment identifier les conditions d’une immersion réussie ? • Centre de Santé du Miroir: Comment identifier les personnes représentantes, relais et forces motrices du quartier pour former notre comité consultatif ? • Guinée Compétence : Qui peut nous aider à poser la première pierre pour créer une telle organisation ? Comment démarrer ? • Entreprise: Comment travailler en cadence tout en respectant le rythme de chacun ?

  39. Présentation des réponses apportés dans chaque communauté.

  40. A la recherche d’un comité consultatif, des personnes relais. (Centre de santé du Miroir)

  41. Cadence commune et outils de communication (L’entreprise de Pascal)

  42. Une immersion réussie ?! (Liboso)

More Related