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2.3 L’Effet de la Bioaccumulation sur les Écosystèmes. Les amphibiens vivent à la fois sur la terre et dans l’eau. Les amphibiens sont sensibles aux changements chimiques dans l’environnement . Ils sont les indicateurs valables de la santé de l’environnement.
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2.3 L’Effet de la Bioaccumulation sur les Écosystèmes • Les amphibiens vivent à la fois sur la terre et dans l’eau. • Les amphibiens sont sensibles aux changements chimiques dans l’environnement . • Ils sont les indicateurs valables de la santé de l’environnement. • Depuis les 1980s, plusieurs des espèces d’amphibiens mondiales ont souffert des déclins dans la population. Voir pages 92 - 93 (c) McGraw Hill Ryerson 2007
Il y a aussi une augmentation surprenante de malformations des grenouilles à la naissance. • Plusieurs théories attentent d’expliquer ces changements, y inclut les sécheresses prolongées, le rayonnement UV accru, la pollution, la perte d’habitat, les parasites et les maladies. Les Amphibiens, comme cette grenouille, ont manifesté des changements drastiques depuis les 1980s. (c) McGraw Hill Ryerson 2007
La Bioaccumulation • La Bioaccumulation réfère à l’accumulation graduelle des produits chimiques dans les organismes vivants. • Plusieurs produits chimiques nocifs ne peuvent pas être décomposés naturellement. • Ces produits chimiques peuvent être mangés ou absorbés et des fois ne peuvent pas être excrétés du corps de l’organisme effectivement. • Si un espèce clé souffre une bioaccumulation chimique, ça pourrait affecter tout autre organisme dans ces niches lointains. • Un espèce clé est une partie vitale de l’écosystème. Voir page 94 (c) McGraw Hill Ryerson 2007
La Bioamplification est le processus par lequel les produits chimiques deviennent de plus en plus concentrés à chaque niveau trophique. • A chaque niveau du pyramide alimentaire, les produits chimiques qui ne sont pas métabolisés commencent à accumuler dans les organismes. • Quand un consommateur du niveau trophique suivant mange les organismes ayant une accumulation chimique, il reçoit une dose énorme de ce(s) produit(s) chimique(s). (c) McGraw Hill Ryerson 2007
La Bioaccumulation (continué) • Un exemple de la bioaccumulation en Colombie Britannique est l’effet des BPC sur l’épaulard. • Les BPCs sont les produits chimiques synthétiques utilisés pour des applications industrielles et électriques au milieu du 20e siècle. • L’utilisation des BPCs était interdite en 1977 en raison de leur impact sur l’environnement. • Les BPCs bioamplifient et ont une période longue (ils décomposent très lentement). Voir page 95 (c) McGraw Hill Ryerson 2007
Les BPCs vont affecter les cycles reproductifs des épaulards jusqu'en au moins 2030. La bioaccumulation des BPCs commence par l’absorption des produits chimiques par les plantes et l’algues microscopique.. (c) McGraw Hill Ryerson 2007
La Bioaccumulation (continué) • Les produits chimiques comme les BPCs et DDT sont appelés les polluants organiques persistants (POPs). • Les POPs contiennent le carbone, comme tous les composés organiques, et restent dans l’eau et le sol pendant plusieurs années. • Plusieurs POPs sont les insecticides, utilisés pour contrôler les populations des insectes nuisibles. Voir page 96 (c) McGraw Hill Ryerson 2007
Le DDT a été introduit en 1941 pour contrôler les populations des moustiques, et est encore utilisé dans quelques endroits du monde. • Comme les PCBs, DDT bioaccumule aussi et a une longue période. • Même à des niveaux bas (5 ppm), le DDT dans les animaux peut causer des désordres du système nerveux, d’immunité et reproductif. • ppm = parties par million Vaporiser le DDT, 1958 (c) McGraw Hill Ryerson 2007
La Bioaccumulation (continued) • Les métaux lourds sont les éléments métalliques qui sont toxiques pour les organismes. • Les niveaux de plomb dans le sol ont augmenté grâce aux activités humaines. • Le plomb n’est pas considéré comme sûr à aucune concentration. • Plusieurs matériaux électroniques contiennent le plomb et doivent être recyclés soigneusement. • Le plomb peut causer anémie et des dommages aux systèmes nerveux et reproductifs. Les déchets électroniques contiennent le plomb. Voir page 97 (c) McGraw Hill Ryerson 2007
Le cadmium est aussi trouvé à des niveaux bas, naturellement. • Le cadmium est utilisé dans la production des plastiques et des piles de nickel-cadmium. • C’est toxique aux vers de terre et cause beaucoupde problèmes de santé chez les poissons. • Dans les humains, le source principal de cadmium est l’exposition à la fumée de cigarette. • Le cadmium cause des maladies pulmonaires, le cancer, et le dommage des systèmes nerveux et d’immunité. (c) McGraw Hill Ryerson 2007
La Bioaccumulation (continued) Le mercure est aussi trouvé naturellement. • Le mercure est entré dans les écosystèmes par la combustion de combustibles fossiles, l’incinération des déchets, de l’exploitation minière, et la fabrication de batteries et de piles. • La combustion du charbon représente plus de 40% du mercure libéré dans l’atmosphère. • Le mercure bioaccumule dans le cerveau, le coeur et les reins de plusieurs animaux. • Les composés de mercure bioaccumulent dans le poisson, ce qui ajoute du risque pour tout organisme qui mange le poisson. Voir pages 98 - 99 (c) McGraw Hill Ryerson 2007
La réduction des effets de la pollution chimique • La biorestauration est l’utilisation d’organismes vivants –tels que les micro-organismes ou plantes – pour aider à éliminer naturellement les déchets. • Exemple: l’industrie pétrolière se sert des bactéries pour “manger” les déversements accidentelles de pétrole. • En piégeant les produits chimiques dans le sol, ils ne peuvent pas entrer dans la chaîne alimentaire facilement. (c) McGraw Hill Ryerson 2007