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Définitions du KM

Définitions du KM. Opérationnelle : Apporter l’information à la personne qui en a besoin, au moment où elle en a besoin, et sans qu’elle en fasse la demande. Stratégique : Combiner les savoirs et les savoir-faire dans les processus, produits, organisations pour créer de la valeur.

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Définitions du KM

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Presentation Transcript


  1. Définitions du KM • Opérationnelle :Apporter l’information à la personne qui en a besoin, au moment où elle en a besoin, et sans qu’elle en fasse la demande. • Stratégique :Combiner les savoirs et les savoir-faire dans les processus, produits, organisations pour créer de la valeur. • Fonctionnelle :Manager le cycle de vie de la connaissance : émergence d’une idée, formalisation, diffusion, validation, réutilisation, valorisation, … • Financière : Valoriser le capital intellectuel de la firme.

  2. Compétences Connaissances Action Information Sens Sens Contexte Contexte Contexte Données Données Données Connaissance : définitions Données

  3. Intelligence Informations Données Pyramide de la connaissance Volume Exhaustivité Objectivité Valeur Structure Subjectivité Humaine, jugée Compétences Contextuelles, tacites. Le transfert nécessite un apprentissage Connaissances Codifiables, explicites, facilement transférables Source internet

  4. explicite combinaison internalisation externalisation implicite socialisation individu groupe organisation Inter entreprise Nonaka : acquisition de connaissances Source internet

  5. Accès à la connaissance : • Les individus et l'organisation sont les éléments clés. • Ne pas confondre avec la gestion de l'information qui se concentre sur les technologies et l'organisation. =>Le KM n'est pas subordonné aux outils informatiques MAIS sa mise en place à grande échelle est impossible sans les outils informatiques. • On ne manage pas la connaissance collective : on crée les conditions dans lesquelles un collectif peut créer, échanger, transformer, valider, appliquer, ...

  6. MANAGER REPERER Identifier, Élaborer une vision Localiser Promouvoir/Informer/Former Caractériser Organiser/Coordonner Cartographier Faciliter/Encourager/Motiver Estimer Mesurer/Suivre Hiérarchiser Acquérir Évaluer Modéliser Mettre à jour CONNAISSANCES PRESERVER ACTUALISER Formaliser Standardiser CRUCIALES Conserver Enrichir Accéder Diffuser Partager Exploiter Combiner Créer VALORISER Utilisation des connaissances Adapté de Michel Grundstein, IIIA-GTM 1996 Source internet

  7. Objectifs du KM • Diminuer la pollution informationnelle • Ne pas refaire ce qui existe déjà • Eviter la perte de savoir-faire • Faciliter les transversalité au sein de l’entreprise et avec les clients. • Valoriser les compétences • Améliorer la prise de décision • Optimiser les processus

  8. Historique du KM : 1990 2000 2005

  9. Apport organisationnel du KM Gestion de la complexité de l’entreprise étendue Support opérationnel à l’organisation en réseau Gestion de la relation avec les partenaires : clients et fournisseurs Gestion des compétences collectives Formation Apprentissage organisationnel

  10. Capitalisation des expériences Retours d’ expérience Formalisation de connaissances Diffusion des bonnes pratiques Apprentissage organisationnel Communautés d’experts Intelligence économique : Innovation Benchmarks Anticipation de tendances

  11. Technologie au service du KM et de la logistique Cohérence des systèmes d’information Centralisation des données Personnalisation des outils selon les profils Outils de recherche Collaboration facilitée Sans contrainte de temps ni de lieu Mémoire d’entreprise Archivage

  12. Knowledge Management : Enjeux • Pour l’entreprise • Conserver les connaissances • Permettre aux professionnels d’utiliser ce qui existe déjà • Trouver plus rapidement l’information • Pour les acteurs • Valorisation des connaissances • Gain d’efficacité

  13. « KM » et « petites histoires » • « le KM : une société d’auteurs au sein d’un réseau » • « La plus ancienne forme de KM : le compagnonnage » • « Le contraire d’une vérité triviale est une erreur stupide, mais le contraire d’une vérité profonde est toujours une autre vérité profonde » (N. BHOR) • « Savoir qui sait est aussi important que savoir soi-même » • Ceux qui ne peuvent se souvenir du passé sont condamnés à le répéter » (SANTAYANA 1988). • « Toute chose est dite par un observateur, à un autre observateur » (MATUANA 1978)

  14. Le « carré du KM » - f o r m a l i s a t i o n + COMMUNICATION COOPERATION COMMUNAUTES DE PRATIQUES ET D'INTERET INTELLIGENCE CREATION ADAPTATION VEILLE Structurel Socioculturel Technologique Vision StratégieConnaissances cruciales MÉMOIRE EXPERTISE EXPERIENCE PROCESSUS QUALITATIF VALORISATION + Stabilité - Réalisations. Résultats. Evaluation Inputs multiples de l'environnement Prof. I.DIMO synthèse 2005 Source internet

  15. Les outils • Sur le plan logiciel, le Knowledge Management est à la confluence de plusieurs domaines : • la recherche et le rapatriement de données, • les moteurs d’indexation et de recherche, • le partage de données et le travail collaboratif, • le « push » d’informations

  16. KM: mise en liens de diverses démarches • KM va rechercher un cadre général structurant pour des démarches souvent anciennes, mais longtemps isolées: => l’intelligence économique, => l'innovation industrielle, => la capitalisation des savoirs, => la gestion des retours d'expérience, => l'ingénierie des compétences => …

  17. L ’Intelligence Economique est un outil générateur d'avantages compétitifs. • connaître puis comprendre les conditions, les règles de la compétition et la stratégie des joueurs, l'influence des forces et les faiblesses et les soutiens de chacun. • l’un des outils au service de l'innovation • l'action d'influence - licite et légitime. • Après un processus de collecte et de traitement de l'information de « renseignement » , doit succéder l'action. I NTELL I GENCE EC

  18. Outils, Réseaux, Bases de données • Méthodes et outils les plus simples possibles et surtout adaptés à chaque organisation. • Le réseau et l’échange d'informations au cœur de l ’intelligence économique • L'évaluation informations (validation ,fiabilité, fraîcheur) + structuration bases données accessibles aux acteurs sont la clé du succès. I NTELL I GENCE EC

  19. La collecte, le traitement et la diffusion de l'information ACTIONS - REACTIONS « Actions d'influence » influer l'environnement de l'entreprise, concurrentiel ou juridique. La dimension active de l’Intelligence Economique I NTELL I GENCE EC • dans tous les domaines d'investigation susceptibles de concourir à la compétitivité

  20. Intelligence Economique, un nouveau métier. L'information et son traitement l'un des premiers supports de l'action de l'entreprise.  développement des outils et méthodes d'exploitation de l'information.  nouveaux métiers : • les spécialistes extérieurs à l'entreprise et • les spécialistes intégrés à l'entreprise. I NTELL I GENCE EC

  21. Les nouveaux métiers induits • Cyber documentaliste • Ingénieur documentaire • Brooker • Analyste (statistique, AED, AD, AS, …) • Spécialiste de la veille (par domaine) • Consultant (Intelligence économique, KM,…) • Spécialiste réseau et sécurité • Nouvelle approche de la décision stratégique

  22. L’intelligence stratégique L’équipe • Équipe multidisciplinaire composée de membres • permanents et/ou occasionnels • Experts dans les domaines d’affaires de l’entreprise • Experts dans les technologies spécifiques à l’entreprise • Experts dans les technologies de l’information • Chercheurs associés, observateurs et spécialistes de l’information (systèmes analytiques) • Rédacteurs scientifiques et analystes • Tous excellents communicateurs et vulgarisateurs

  23. Le pilotage de l’équipe de veille • L’équipe peut désigner un coordonnateur- animateur de comité de veille parmi les membres permanents • Rencontres périodiques de statut d’avancement et sujets de l’heure • Synchronisation des diverses équipes d’intelligence d’affaires et technologique avec la planification stratégique • Rapports communs et diffusion selon la confidentialité • Ajustements éventuels et nouveaux dossiers de veille

  24. L’intelligence stratégique Organisation en mode interne ( CELLULE) Expert CEO Exécutif Comité de Veille stratégique Requêtes spécifiques + recherche VP Commercial VP TIC VP Planification Veille ligne d’affaires Produit ou service Veille Technologique Veille stratégique Consultation en ligne Convient pour les grandes organisations

  25. L’intelligence stratégique Organisation en mode externe (Observatoire de veille) CEO Exécutif Comité de Veille stratégique VP Planification VP Commercial VP TIC Veille Technologique Veille Mkt, environnement Veille ligne d’affaires Produit ou service Internet Fournisseur de service externe Convient pour les PME www.vigipro.com

  26. La veille stratégique Mise en place du système : cellule ou observatoire Former le comité directeur de veille 1 Bilan de la gestion de l’information actuelle 2 Diagnostic ? Identification des axes de surveillance Quelles sont les priorités ? Cibles à atteindre ? 3 Sélection des sources principales d’expertise & d’information 4 Interne ? 5 Choix d’organisation Externe ? Accompagnement Mise en place des équipes, outils & procédures de veille 6 Réajustement Performances obtenues ?

  27. De l'intelligence stratégique à l'intelligence économique et à la prospective : L'intelligence économique = expression globale : applique la gestion de l'information à tous les acteurs de la Nation y compris l'État. L’intelligence stratégique = spécifiqueà l'univers de l’entreprise et à son environnement concurrentiel I NTELL I GENCE EC

  28. De l'intelligence stratégique à l'intelligence économique et à la prospective : L’intelligence stratégique • réduit la part d'incertitude décisions stratégiques • Si on ajoute la volonté de mener des actions d'influence : actions d'intelligence économique. • Si elle sert de base pour analyse approfondie --> avec une vue systémique afin de bâtir des scénarios futurs prospective. I NTELL I GENCE EC

  29. LA DIMENSION STRATEGIQUE DE L ’INTELLIGENCE ECONOMIQUE. • apparaît grâce à la vigilance constante et à la surveillance permanente de l’environnement pour des visées stratégiques elle se situe dans le triptyque I NTELL I GENCE EC interprétation réception action

  30. L ’INTELLIGENCE ECONOMIQUE un ensemble d ’actions coordonnées de • recherche, • traitement, • distribution et • protection de l’information • utile aux agents économiques, • obtenues légalement • afin de décider et agir • (aussi actions d’influence). I NTELL I GENCE EC

  31. NIVEAU INTERNATIONAL NIVEAU TRANSNATIONAL NIVEAU NATIONAL NIVEAU INTERMEDIAIRE NIVEAU DE BASE STRATEGIES D ’INFLUENCE DES ETATS GRANDS GROUPES MULTINATIONAUX STRATEGIES CONCERTEES ENTRE CENTRES DE DECISION INTERPROFESSIONNEL (branches d ’activités) L ’ENTREPRISE 22 ACTIONS D ’INFLUENCE MENEES PAR L ’ENTREPRISE A PLUSIEURS NIVEAU

  32. 2 / 1 Le volume des informations devient gigantesque…. • 30 dernières années plus d ’infos 10000 ans précédents, • on attend leur doublement tous les cinq ans. • le prix d'un ordinateur a été divisé par 10 000 en 30 ans ! • les capacités de stockage sont quasi - illimitées • Circulation info - lignes téléphoniques, fibres optiques,... • aucune entrave technologique pour empêcher de profiter de l'accès et des échanges d'informations • par contre la durée de vie de l’information est plus brève. M ANAGM E NT I NFOS

  33. 2/2 L’ information concourt à la prise de décision • Le management de l’information désigne l'utilisation de l'information à des fins stratégiques • Encourage les passerelles entre les différentes veilles car certaines informations peuvent concerner à la fois : M ANAGM E NT I NFOS un directeur commercial un directeur marketing un directeur des ressources humaines.

  34. 1. Besoins en infos liés aux prises de décision (et qui parfois se prolongent après la décision) méthodes et outils de veille Technlogique, Concurrentielle, d ’Environnement analyse et traitement de l’information 2.Besoins en infos liés au statut des demandeurs pas d’outils sophistiqués. l'identification des besoins non formalisée bonne connaissance de l'organisation et dysfonctionnements de l’entreprise, hommes, et intuition ! 2/3 BESOINS EN INFOS M ANAGM E NT I NFOS

  35. La veille stratégique Les outils de veille Moteurs de Recherche contextuels Agents intelligents Extranets Systèmes internes & outils d’aide à la décision Intranet entreprise newsgroups Méta- moteurs Annuaires professionnels

  36. INTELLIGENCE ECONOMIQUE SOMMAIRE • Le CONCEPT et les TYPES DE « VEILLE ». • MANAGEMENT STRATEGIQUE DE L ’INFORMATION : Valeur de l ’information ; Analyse de besoins en information ; Collecte de l ’information. • TRAITEMENT DE L’INFORMATION : Trier, évaluer, structurer et interpréter, synthétiser • DIFFUSION DE L’INFORMATION • CELLULE OU OBSERVATOIRE DE VEILLE • INTERNET UN OUTIL EXCEPTIONNEL • DEONTOLOGIE, Intélligence et Contreintelligence. • CONCLUSIONS.

  37. MANAGEMENT STRATÉGIQUE DE L’INFORMATION : Valeur de l’information Valeur de l'information = • Bonne analyse des besoins • Pertinence et qualité des sources • Qualité de l'analyse • Diffusion et feed-back • Sécurité

  38. MANAGEMENT STRATÉGIQUE DE L’ INFORMATION Analyse des besoins en information • Pour une collecte pertinente : identificationbesoins • facilement identifiables (besoins en infos liés aux prises de décision ) • technologie, • concurrents • difficilement identifiables , mal formulés ( besoins en infos liés au statut des demandeurs )

  39. MANAGEMENT STRATÉGIQUE DE l’ INFORMATION Identification des besoins en information 1. Besoins en infos liés aux prises de décision (et qui parfois se prolongent après la décision) • méthodes et outils de veille • Technologique, • Concurrentielle, • d ’Environnement • analyse et traitement de l’information

  40. MANAGEMENT STRATÉGIQUE DE L’INFORMATION Besoins en informations pour prise de décision • Découpage des questions globales en sous-questions précises, dépendent du champ d'investigation de la «veille» pour pouvoir utiliser les : • outils de veille technologique • outils de veille sur l'entreprise • outils relatifs aux autres veilles

  41. MANAGEMENT STRATÉGIQUE DE L ’ INFORMATION Besoins en informations pour prise de décision • Affin d’utiliser les : • outils de veille technologique • cibler des questions relatives à la R&D, à la technique… • outils de veille sur l'entreprise • repérer les bonnes questions à se poser sur une entreprise : les clients, les fournisseurs, concurrents, partenaires… 3) outils relatifs aux autres veilles • questions d’ordre économique, sociétales, environnementale, normatives....

  42. MANAGEMENT STRATÉGIQUE DE L’ INFORMATION Les outils et méthodes de veille technologique -->déterminer les secteurs d'où viendront les innovations majeures de : procédé et de produits • prévision technologique difficile • outils.

  43. MANAGEMENT STRATÉGIQUE DE L’INFORMATION Les outils et méthodes de veille technologique a. les méthodes extrapolation tendances passées, b. les méthodes d'expertise, c. les méthodes d'observation du marché.

  44. a)les méthodes extrapolation tendances passéesCycle de vie d ’un produit : La relation entre les efforts cumulés à l'amélioration (procédé, produit) et les résultats • phase de lancement--> diffusion limitée • croissance - pénétration rapide sur le marché • maturité- produit accepté marché, stabilisation • finalement déclin des ventes. -> suivre prévoir l'évolution d'une technologie (même courbe)

  45. Le Cycle de vie d ’un produit est utile pour la Veille Technologique et Veille Concurrentielle • pour le dépistage et le suivi des innovations • désavantage : uniquement technologies existantes qui ont un début de courbe significatif.

  46. Les courbes en S enveloppes : Le moment où une technologie remplace une autre, il y a l’apparition d’une discontinuité, ce moment peut être représenté par une paire de courbes en S une extrapolation de la «courbe en S» lorsque plusieurs courbes en S s'enchaînent, l'enveloppe de ces courbes est elle-même une courbe en S.

  47. a)les méthodes extrapolation tendances passées Les courbes d’indicateurs en avance • méthode largement utilisée en économie. -->On suit un indicateur particulier, qui est statistiquement très bien corrélé et en avance sur la grandeur que l'on veut prévoir ex : la consommation de polypropylène au mois M est corrélée précisément avec l'indice de production industrielle d'un pays au mois M + 3.

  48. a)les méthodes extrapolation tendances passées Les courbes de substitution • sur le principe que, lorsque deux technologies sont en concurrence, c'est la moins chère qui s'impose au marché. • Mais si l'une (vieille) a des coûts stabilisés, et l'autre ( jeune), des effets d'expérience qui jouent pleinement, les coûts décroissent et finissent par être inférieurs aux premiers à ce moment, la nouvelle technologie se substituera à l'ancienne.

  49. MANAGEMENT STRATÉGIQUE DE L ’ INFORMATION Les outils et méthodes de veille technologique a. les méthodes extrapolation tendances passées, b. les méthodes d'expertise, c. les méthodes d'observation du marché.

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