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A QUI PROFITE LE NATIONALISME ECONOMIQUE ?

A QUI PROFITE LE NATIONALISME ECONOMIQUE ?. 15ème – 18ème siècles. Le nationalisme accompagne développement économique “Nations” : confiance – communication – coopération.

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A QUI PROFITE LE NATIONALISME ECONOMIQUE ?

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Presentation Transcript


  1. A QUI PROFITE LE NATIONALISME ECONOMIQUE ? Eric De Keuleneer - 12 juin 2006

  2. 15ème – 18ème siècles • Le nationalisme accompagne développement économique • “Nations” : confiance – communication – coopération. • Protection « nationale » (chartes, monopoles) permet l’accumulation du capital, le développement des compagnies marchandes (nationales). • Globalisation (inter-nationalisation) progressive du commerce mondial. Eric De Keuleneer - 12 juin 2006

  3. Le nationalisme politique et la démocratie • Nationalisme politique naît dans la démocratie, opposition à l’arbitraire royal. Hollande – Angleterre – US – Début de la révolution française. • Nationalisme politique totalitaire oppose la nation à l’individu. Révolution française suite – Hegel – Prusse – Russie – Chine. Nationalisme économique plutôt démocratique, mais il y a aussi dirigisme Eric De Keuleneer - 12 juin 2006

  4. 19ème • Pax Britannica, laissez faire tant que les intérêts britanniques sont saufs. • Protectionnisme agricole, industriel (corn laws, made in Germany) en débat. Tension apparaît entre nation et économie ouverte. • Guerres économiques, et guerres coloniales, (guerre de l’opium, guerre des Boers,…) pour soutenir les entreprises nationales Eric De Keuleneer - 12 juin 2006

  5. 20ème siècle Internationalisme - ouverture • Production de masse US permet gains de productivité, impose croissance multinationale • Concurrence comme vecteur de progrès économique (Adam Smith) • 1905 anti-trust US  1945 Japon, Allemagne • 1958 marché commun – traité de Rome • Entreprise « de marché » (public corporation); capitalisme  démocratique ⇒ entreprise multinationale apatride ? Eric De Keuleneer - 12 juin 2006

  6. Post W W II • Après 1930-1945, marchés encadrés, régulés, hiérarchisés. • 1960’s – consumérisme. La protection des consommateurs devient un souci. • 1970-75 – dérégulation des changes, des courtages, de tout. • 1980 – OPA hostiles. Ethique cesse d’avoir cours dans les marchés financiers. • 1990’s – Fin de l’alternative planifiée, le marché règne. ⇒ Le profit s’impose comme objectif dominant. Eric De Keuleneer - 12 juin 2006

  7. Globalisation et nationalisme • Officiellement : « le marché apporte paix et prospérité; c’est mieux que le nationalisme » • En pratique le nationalisme économique demeure, sous diverses formes. Eric De Keuleneer - 12 juin 2006

  8. Globalisation et nationalisme (suite 1) • Le nationalisme économique spontané • Limite l’effet (excès) des marchés • Protection douanière, quotas, … • Protection culturelle • Protection sociale • Qui paye ? Consommateur, contribuable, les étrangers • Qui profite ? • La diversité • Des gens en place… Eric De Keuleneer - 12 juin 2006

  9. Globalisation et nationalisme (suite 2) • Le nationalisme « stratégique » - politique industrielle. Commandes publiques; ouverture de marchés externes; protection de privilèges nationaux. • Secteurs prioritaires : Agriculture, financier, pharmacie, aéronautique, propriété intellectuelle. • Infrastructures. • Qui paye ? • Les pays faibles (privatisations « par le marché »; pauvres; …) • Contribuables et consommateurs. • Économie nationale : gaspillage, surprotection (charbonnages); externalités (pollution,…). • Qui profite ? • Développement de certaines entreprises. • Des intérêts particuliers. Eric De Keuleneer - 12 juin 2006

  10. Globalisation et nationalisme (suite 3) • Le nationalisme patriotique, le soutien aux « champions nationaux ». • Quand le nationalisme spontané et le soutien sectoriel échouent. • Intuitif plutôt que rationnel; logique militaire, sportive ou démagogique. • Encourage des acteurs dominants dans marché national pour une expansion à l’étranger. Bétonne leur contrôle. • Piétine les règles de concurrence, la protection des citoyens, la discipline de marché. • Qui paye : • Consommateur national. (coût - santé bien être) compétitivité économie nationale • Qui profite : • Des gens de pouvoir en place • Des intérêts habiles Eric De Keuleneer - 12 juin 2006

  11. Globalisation et nationalisme (suite 4) • Internationalisme vertueux : • De Provins à Londres : • Les Foires • La place commerciale (Bruges) • L’effet Wimbledon • Internationalisme pervers : • « investissement international »: exploitation des ressources avec appui de dirigeants locaux. Tropiques, et ailleurs. • Faire faire par l’étranger ce qu’on n’ose pas faire soi-même. (fermetures) • Taille « européenne » ou « mondiale » comme prétexte à fusion et acquisition de pouvoir (personnel, de marché, …). Eric De Keuleneer - 12 juin 2006

  12. Globalisation et nationalisme (suite 5) • Economie de marché crée richesse quand concurrence, marchés ouverts,… • Capitalisme de marché oriente efficacement les investissements, distribue les investissements. • Capitalisme de pouvoir utilise les peurs • Nutrition (PAC), approvisionnement (charbonnages)… • Emploi • Santé (carences,…) • Étranger  nationalisme patriotique • Isolement  internationalisme pervers Eric De Keuleneer - 12 juin 2006

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