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Herpès génital et condylome : les ressemblances et les différences

Herpès génital et condylome : les ressemblances et les différences. Marc Steben, M.D. Institut national de santé publique du Québec Unité des risques biologiques, environnementaux et occupationnels. Objectifs de la communication.

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Herpès génital et condylome : les ressemblances et les différences

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Presentation Transcript


  1. Herpès génital et condylome : les ressemblances et les différences Marc Steben, M.D. Institut national de santé publique du Québec Unité des risques biologiques, environnementaux et occupationnels

  2. Objectifs de la communication • À l’issue de cette communication, le participant sera en mesure : • d'utiliser adéquatement les nouveaux outils diagnostiques et reconnaître les différentes manifestations cliniques; • de décrire les avantages et limites du traitement; • de procéder au counselling de la personne infectée.

  3. La cause la plus fréquente d’ulcération génitale La cause la plus fréquente de cancer génital dans le monde entier Le VHS et le VPH:des virus très communs

  4. La plus prévalente des IST 21% des adultes américains sont VHS-2+; 90.8% ne le savent pas au moins 50% des adultes sont VHS-1+ infection à vie La plus incidente des IST 75% des américains en auront été infecté; 95% ne le savent pas infection guérie spontanément dans la majorité des cas oncogéniques ou pas Le VHS et le VPH

  5. Le VHS et le VPH • Sont tous deux transmis • par des porteurs asymptomatiques • qui ignorent être infectés • dont l’examen des organes génitaux sera normal.

  6. Le VHS et le VPH • Sont tous deux acquis • principalement sans symptôme

  7. Infection oro-labiale antérieure protège contre l’acquisition symptomatique de l’infection génitale coupe de moitié le taux d’acquisition génitale infection antérieure ne protège pas contre autre génotype Le VHS et le VHS

  8. La bouche relativement protégée contre le VHS-2 mais la salive peut transmettre le VHS-1 aux organes génitaux femmes » hommes VPH 16 cause des cancers aéro-digestifs ex. 50% des cancers des amygdales sont VPH 16+ mais la bouche ne transmet pas les VPH aux organes génitaux Le VHS et le VPH:relations orales

  9. Le VHS et le VPH • Infectent surtout les muqueuses • La peau kératinisée est relativement bien protégée contre les souches génitales de VHS et VPH

  10. Seulement un sérotype infecte la région génitale Plusieurs génotypes peuvent infecter la région génitale en même temps (»33%) ou plus tard Le VHS différent du VPH

  11. Le VHS et le VPH • Le diagnostic visuel n’est pas spécifique • 40% des condylomes ne sont pas des condylomes ! • la présentation atypique est la norme avec l’herpès génital

  12. Pas de différence dans les présentations cliniques des 2 sérotypes mais différence dans le taux des récidives VHS-2 récidive 6 à 10 fois plus souvent que le VHS-1 Les génotypes oncogéniques sont peu susceptibles d’avoir une forme décelable cliniquement avant le processus oncogénique les génotypes non oncogéniques (6,11) causent les condylomes Le VHS et le VPH

  13. Antiviral oral traitement épisode si moins de 6/an traitement suppressif si >6/an Immunomodulateur (resiquimod) prometteur Pas de place pour antiviral topique Traitement destructif cryothérapie/ Histofreeze cauthérisation laser À la maison podophyllotoxin (Wartec) imiquimod (préféré par les femmes au Canada!) moins de récidives Le VHS et le VPH:traitement

  14. Identification virale culture cellulaire ou TAAN ex. PCR Sérologie spécifique western blot elisa P.O.C. CDC recommandent confirmation par le laboratoire Biopsie PAP test sur lame de verre ou en milieu liquide Identification virale Hybrid capture: pool oncogénique TAAN ex. PCR Le VHS et le VPH:laboratoire

  15. Le VHS et le VPH • Pas inclus dans le dépistage ITS régulier • devrait être dit !

  16. Le condom protège Les femmes plus sujettes si accident de condom Savoir que le partenaire a herpès diminue de moitié le taux de transmission Condom mal contre les condylomes mais mieux contre le cancer du col Le VHS et le VPH:condom

  17. Le VPH et le VPH • Patients non satisfaits par le counselling donné par le médecin qui diagnostique l’infection

  18. Le VPH et le VHS:counselling • Pas de place pour la banalisation • c’est pas grave • ne t’en fait pas pour rien • tu es chanceux de pas avoir attrappé le sida • Haut degrée • dépression • anxieté • isolement

  19. Le VHS et le VPH • Une approche multidisciplinaire doit être disponible • Il faut savoir quand et à qui référer • expert, médecin de famille ou spécialiste • sexologue • psychologue • groupe d’entraide

  20. Efficace seulement chez les femmes négative pour VHS-1 Étude NIH GSK prévue pour confirmer Vaccins (GSK et Merck) monovalents et quadrivalents très prometteurs Études en cours Le VHS et le VPH: vaccin encore loin!

  21. Pour les patients www.ashastd.org (anglais et espagnol) www.asso Pour les professionnels de la santé www.ihmf.org Pour les patients www.ashastd.org (anglais et espagnol) Pour les professionnels de la santé www.nccc-online.org www.acsp.org www.ipvsoc.org Le VHS et le VPH :sites Internet à connaître

  22. Conclusion • Beaucoup de nouvelles connaissances dont l’intégration restent à faire dans la pratique quotidienne! • Mais encore plus à venir : • meilleurs tests • meilleurs traitements des épisodes, de la chronicité • vaccins prophylactiques • vaccins thérapeutiques

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