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Le Maroc face la crise financi re internationale

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Presentation Transcript


    1. Le Maroc face à la crise financière internationale

    2. 2 Notre cheminement Contexte Général Origine de la crise Les Conséquences Les Accusés Impact sur le Maroc Quelques retombées sectorielles Nouvelles obligations pour la PME Quid du système bancaire ? Quelques raisons d’espérer

    3. 3 Ce plan prévoit d’échanger les actifs de mauvaises qualité contre des obligations d’Etat afin de permettre aux institutions financières de se refinancer auprès de la banque fédérale et afin de redonner confiance aux marchés interbancaires. Le montant total des créances douteuses est actuellement de 60.000 milliards de dollars. On comprend tout de suite que ce plan est inadéquat à la crise. Ce plan prévoit d’échanger les actifs de mauvaises qualité contre des obligations d’Etat afin de permettre aux institutions financières de se refinancer auprès de la banque fédérale et afin de redonner confiance aux marchés interbancaires. Le montant total des créances douteuses est actuellement de 60.000 milliards de dollars. On comprend tout de suite que ce plan est inadéquat à la crise.

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    9. 9 Commentaires Ralentissement indéniable et alors selon les experts correction de 1 à 1,5 points de croissance du PIB marocain Probabilité d’un impact de la conjoncture internationale sur l’économie marocaine mais différé. Le FMI prévoit ainsi, selon sa dernière prévision du 08 octobre 2008, une croissance nationale à 6,5% pour cette année. Le Centre Marocain de Conjoncture évoque une perte probable de 1,5 à 2 points de croissance au terme de cette année. Fourchette comprise entre 4 & 6% La sortie de crise est prévue dans le courant de l’exercice 2010 Commentaires Ralentissement indéniable et alors selon les experts correction de 1 à 1,5 points de croissance du PIB marocain Probabilité d’un impact de la conjoncture internationale sur l’économie marocaine mais différé. Le FMI prévoit ainsi, selon sa dernière prévision du 08 octobre 2008, une croissance nationale à 6,5% pour cette année. Le Centre Marocain de Conjoncture évoque une perte probable de 1,5 à 2 points de croissance au terme de cette année. Fourchette comprise entre 4 & 6% La sortie de crise est prévue dans le courant de l’exercice 2010

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    12. 12 Idée Centrale : Mettre en exergue le rôle centrale de la PMEIdée Centrale : Mettre en exergue le rôle centrale de la PME

    13. 13 Commentaires : quelques autres exemples sont cités -Améliorer leur compétitivité, décentraliser le pouvoir décisionnel pour une meilleure adaptation aux évolutions des marchés ; -Améliorer le taux d’encadrement ; -Veiller à la transparence des comptes (tenue d’une comptabilité rigoureuse) ; -Améliorer la productivité ; -Encourager la formation facteur de compétitivité ; -Développer l’innovation et la recherche développement ; -Plus d’ouverture sur l’international ; -Pénétrer de nouveaux marchés ; - identifier les formules de financement spécifiques et adaptés. Commentaires : quelques autres exemples sont cités -Améliorer leur compétitivité, décentraliser le pouvoir décisionnel pour une meilleure adaptation aux évolutions des marchés ; -Améliorer le taux d’encadrement ; -Veiller à la transparence des comptes (tenue d’une comptabilité rigoureuse) ; -Améliorer la productivité ; -Encourager la formation facteur de compétitivité ; -Développer l’innovation et la recherche développement ; -Plus d’ouverture sur l’international ; -Pénétrer de nouveaux marchés ; - identifier les formules de financement spécifiques et adaptés.

    14. 14 Points saillants: Une corrélation de plus en plus avérée avec le cycle économique Notre économie est de plus en plus ouverte aux influences internationales. Notre économie est une économie en forte croissance Le secteur bancaire s’est totalement inscrit dans ce mouvement en l’alimentant fortement grâce aux gains de productivité réalisé et aux fruits de sa modernisation. Sa participation à la dynamique du courant d’investissement est plus que sensible.Points saillants: Une corrélation de plus en plus avérée avec le cycle économique Notre économie est de plus en plus ouverte aux influences internationales. Notre économie est une économie en forte croissance Le secteur bancaire s’est totalement inscrit dans ce mouvement en l’alimentant fortement grâce aux gains de productivité réalisé et aux fruits de sa modernisation. Sa participation à la dynamique du courant d’investissement est plus que sensible.

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    18. 18 Commentaires Capacité de résistance parce qu’il ya une diversification des sources de croissance; Renforcement dynamique industrielle ; Tendance haussière : Maintien de la croissance du PIB national prévisionnel à 6,5% en 2008 Nouveaux moteurs de la croissance. - Bonne dynamique d’ensemble de l’investissement : La FBCF devrait, selon les dernières prévisions de BAM, progresser de 15,4%. L’investissement a bénéficié, sur les huit premiers mois de 2008, de l’augmentation en valeur de 20,6% en glissement annuel des importations de produits finis d’équipement et de celle des crédits à l’équipement de 26,4% ; Maintien de la progression des crédits à l’économie : ils ont maintenu un rythme de progression élevé. Ceux-ci ont augmenté de 27,1%, à fin août 2008 en glissement annuel, au lieu de 24,6% à fin août 2007 ; - La consommation, un des piliers de la croissance nationale, devrait progresser, selon BAM, de 9,4%. Cette évolution serait dû à l’accroissement de 10,3% de la consommation finale des ménages et l’augmentation de 6,5% de celle des administrations publiques ; - Les Nouveaux moteurs de la croissance : Une place croissante dans l’économie nationale des activités des services : La part du secteur tertiaire dans le PIB atteindrait 63,3% en 2008. Il réaliserait une augmentation de 5,2% en 2008 portée par les activités du secteur des télécommunications (7% du PIB), les activités de services délocalisées notamment les Centres d’Appels et le Tourisme (10% du PIB) // Une contribution stable du secteur secondaire : Son rythme de croissance se consoliderait aux environs de 4,6 % en 2008 profitant de l’augmentation de la production dans les branches du textile et bonneterie, chimie et parachimie et la transformation des minéraux de carrière. // Une hausse du rythme d’activité du secteur des mines : due à la progression des exportations de phosphates et dérivés de 167,1% à fin août 2008 grâce à l’affermissement des cours sur les marchés internationaux, passé en une année d’une moyenne de 80 dollars la tonne à plus de 367 dollars // La poursuite du dynamisme de l’activité BTP tiré essentiellement par les activités du bâtiment dont notamment la construction du gros œuvre, les travaux de génie civil, la menuiserie bois et matières plastiques. A fin septembre 2008, les ventes de ciments se sont accrues de 11,9% par rapport à la même période une année auparavant. Commentaires Capacité de résistance parce qu’il ya une diversification des sources de croissance; Renforcement dynamique industrielle ; Tendance haussière : Maintien de la croissance du PIB national prévisionnel à 6,5% en 2008 Nouveaux moteurs de la croissance. - Bonne dynamique d’ensemble de l’investissement : La FBCF devrait, selon les dernières prévisions de BAM, progresser de 15,4%. L’investissement a bénéficié, sur les huit premiers mois de 2008, de l’augmentation en valeur de 20,6% en glissement annuel des importations de produits finis d’équipement et de celle des crédits à l’équipement de 26,4% ; Maintien de la progression des crédits à l’économie : ils ont maintenu un rythme de progression élevé. Ceux-ci ont augmenté de 27,1%, à fin août 2008 en glissement annuel, au lieu de 24,6% à fin août 2007 ; - La consommation, un des piliers de la croissance nationale, devrait progresser, selon BAM, de 9,4%. Cette évolution serait dû à l’accroissement de 10,3% de la consommation finale des ménages et l’augmentation de 6,5% de celle des administrations publiques ; - Les Nouveaux moteurs de la croissance : Une place croissante dans l’économie nationale des activités des services : La part du secteur tertiaire dans le PIB atteindrait 63,3% en 2008. Il réaliserait une augmentation de 5,2% en 2008 portée par les activités du secteur des télécommunications (7% du PIB), les activités de services délocalisées notamment les Centres d’Appels et le Tourisme (10% du PIB) // Une contribution stable du secteur secondaire : Son rythme de croissance se consoliderait aux environs de 4,6 % en 2008 profitant de l’augmentation de la production dans les branches du textile et bonneterie, chimie et parachimie et la transformation des minéraux de carrière. // Une hausse du rythme d’activité du secteur des mines : due à la progression des exportations de phosphates et dérivés de 167,1% à fin août 2008 grâce à l’affermissement des cours sur les marchés internationaux, passé en une année d’une moyenne de 80 dollars la tonne à plus de 367 dollars // La poursuite du dynamisme de l’activité BTP tiré essentiellement par les activités du bâtiment dont notamment la construction du gros œuvre, les travaux de génie civil, la menuiserie bois et matières plastiques. A fin septembre 2008, les ventes de ciments se sont accrues de 11,9% par rapport à la même période une année auparavant.

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    20. 20 Je vous remercie

    21. 21 Annexes

    22. 22 Le plan Paulson aux Etats unis, des 700 milliards de dollars prévoit d’échanger les actifs de mauvaises qualité contre des obligations d’Etat afin de permettre aux institutions financières de se refinancer auprès de la banque fédérale et afin de redonner confiance aux marchés interbancaires. Le montant total des créances douteuses est actuellement de 60.000 milliards de dollars. On comprend tout de suite que ce plan est inadéquat à la crise.

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    26. 26 La crise financière trouve sa source dans le retournement du marché immobilier aux Etats-Unis et les pertes qu'il a entraînées pour les acteurs du marché des prêts hypothécaires à risque, les désormais fameux "subprime mortgages".La crise financière trouve sa source dans le retournement du marché immobilier aux Etats-Unis et les pertes qu'il a entraînées pour les acteurs du marché des prêts hypothécaires à risque, les désormais fameux "subprime mortgages".

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