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L’ALEXANDRIN

L’ALEXANDRIN. Un alexandrin est un vers français de douze syllabes .

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L’ALEXANDRIN

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Presentation Transcript


  1. L’ALEXANDRIN • Un alexandrin est un vers français de douze syllabes. • Les deux formes de l'alexandrin sont le tétramètre, ou alexandrin classique, et le trimètre, ou alexandrin romantique. Le nom vient de Li romans d'Alexandre, cycle de poèmes du XIIe siècle écrit en vers de douze syllabes célèbre pour avoir associé ce mètre au style épique. http://www.encyclopedie-enligne.com/a/al/alexandrin.html

  2. Tétramètre • Le tétramètre est un alexandrin à quatre mesures, ou mètres (c'est-à-dire éléments rythmiques terminés par un accent d'intensité). Le deuxième et le quatrième accent correspondent respectivement à la sixième et à la douzième syllabe, soit à la fin de chaque hémistiche. Les autres accents sont variables à l'intérieur de l'hémistiche (moitié d’un vers).

  3. Un hémistiche est proprement la moitié d'un vers à césure(coupure à l’intérieure d’un vers).

  4. La césure • Les vers de plus de huit syllabes sont marqués par un point de partage virtuel dit césure, qui peut se réaliser comme un repos dans la lecture du vers. La place de la césure obéit à des contraintes fixes. Elle tombe normalement après une syllabe accentuée. Dans l'alexandrin classique, elle partage le vers en deux hémistiches de même longueur, soit six syllabes : • Je suis romaine, hélas, // puisque mon époux l'est. (Pierre Corneille, Horaces, 1re édition).

  5. Dans l’alexandrin classique, la césure est la coupe centrale du vers, qui oblige le lecteur à marquer une pause nette. Elle sépare le vers en deux moitiés égales ou hémistiches. Le rythme d’ensemble qui en résulte est dit binaire. Voici un exemple (Musset) : • L’homme est un apprenti, /la douleur est son maître, • Et nul ne se connaît / tant qu’il n’a pas souffert

  6. Principes de base du décompte syllabique : • Règle générale : Toutes les syllabes doivent être comptées sauf lorsque : • il s’agit de la dernière syllabe d’un vers et qu’elle est terminée par un e muet. • un e muet est immédiatement suivi d’une voyelle à l’intérieur du vers. http://www.ac-reims.fr/datice/lettres/college/methodes/vers.htm

  7. Rimes Suivies A A B B

  8. Les rimes : • Elles sont organisées en principe dans le sonnet et dans toutes les autres formes « traditionnelles » selon une alternance rime féminine (= qui se termine par un e muet.) / rime masculine (= toutes les autres rimes…). • Si A est masculine, B est féminine et vice versa.

  9. Les rimes [suite] • Elles peuvent être des assonances (ou pauvres), suffisantes ou riches. • Assonances -  pauvres : simple proximité phonétique (bonjour / hibou — couleur /humour), usitée en poésie médiévale ou très contemporaine • suffisantes : deux phonèmes communs (bonjour / amour) • Riches : plus de deux phonèmes communs (bonjour / toujours)

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