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AIDE S PERSONNALISEE S

AIDE S PERSONNALISEE S. JL GUEGUEN CPC PONTIVY. Les textes en bleu proviennent des ressources du MEN sur l’AIDE PERSONNALISEE parues sur eduscol.education.fr en février 2011.

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AIDE S PERSONNALISEE S

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  1. AIDES PERSONNALISEES JL GUEGUEN CPC PONTIVY

  2. Les textes en bleu proviennent des ressources du MEN sur l’AIDE PERSONNALISEE parues sur eduscol.education.fren février 2011

  3. 24 heures d'enseignement Organisation de la semaine scolaire 8,10 % des écoles ont réparti les 24 heures d'enseignement obligatoire sur 4 jours. 1,9 % des écoles les ont réparties sur 9 demi-journées.

  4. Élèves ayant bénéficié de l'aide personnalisée322 153 élèves des classes maternelles ont été pris en charge, soit 19,73 % de l'effectif déclaré. 828 841 élèves des classes élémentaires ont été pris en charge, soit 31,80 % de l'effectif déclaré.  Au total, 1 150 994 élèves ont été pris en charge, soit 27,15 % de l'effectif déclaré.

  5. Répartition de l'aide personnalisée dans la journéeLes aides, toutes modalités d'organisation confondues se déroulent :en fin d'après-midi pour 61,46 % des écoles ;pendant la pause méridienne pour 45,10 % des écoles ;le matin pour 18,34 % des écoles ;à un autre moment (formules mixtes) pour 8,14 % des écoles ;le mercredi pour 2,68 % des écoles. 

  6. Enseignants d'école maternelle29,12 % des enseignants de maternelle conduisent des aides personnalisées auprès d'élèves de l'école élémentaire.70,88 % conduisent des ateliers en petits groupes en maternelle.Sources : enquêtes 2009-2010 et 2010-2011 dans l'enseignement scolaire public.

  7. Forces et faiblesses du système éducatif français* 60 % des élèves en réussite* 15 % des élèves en échec* 25 % des élèves ayant connu des difficultés

  8. EVALUATIONS CM2 circonscription PY 2011

  9. EVALUATIONS CM2 circonscription PY 2011

  10. POUR QUI ?L’aide personnalisée, pour tous les élèves qui en ont besoinLes élèves les plus jeunes, dès la petite section, peuvent bénéficier d’une aide visant à stimuler leurs apprentissages lorsqu’ils manifestent un décalage dans leurs acquisitions, notamment en matière de vocabulaire.Les élèves en grande difficulté peuvent aussi bénéficier de l’aide personnalisée.S’ils reçoivent par ailleurs d’autres aides, dans ou hors de l’école, il faut s’assurer qu’elles n’entrent pas en contradiction les unes avec les autres. Organiser leur cohérence et leur complémentarité est l’un des rôles du projet personnalisé de réussite éducative (PPRE)

  11. La difficulté scolaire doit être appréhendée comme un décalage d’acquisition par rapport à l’un des paliers du socle commun de connaissances et de compétences et nonpensée comme manifestation d’un décalage par rapport au niveau de production dureste des élèves de la classe.

  12. Élèves à besoins particuliers Aide aux élèves en difficulté Repérage Évaluations nationales / Dispositifs d’évaluation de classe Analyse Individuel et en conseil de cycle Contractualisation Équipe pédagogique / élève/ Famille dans la classe Différenciation pédagogique Réponse hors 24H Aide personnalisée Stages remise à niveau Aide spécialisée Rased (dans la classe ou en dehors) évaluation Dispositif de mesure des effets de l’aide apportée

  13. PPS, PPRE ou A.P ? • Le PPS ne concerne ques les élèves qui ont un • dossier MDPH. • L ’aide personnalisée s’adresse à tous les élèves en • difficulté importante ou passagère. • Le PPRE concerne les élèves en grande difficulté • et précise, en regard du socle commun : • - les aménagements effectués et les aides apportées en classe • - les aides spécialisées (RASED, …) • - les aides apportées dans le cadre du dispositif d’AP

  14. Domaines prioritairesL’aide personnalisée est tournée toute entière, dans le premier degré, vers le français et les mathématiques.Cette année l’anglais peut être aussi concerné. Après les évaluations CM2 avancées en mars, les items pourront être validés jusqu’en juin.

  15. À l’école maternelleTrois domaines sont privilégiés, parce qu’ils sont les plus prédictifs de la réussitedans les apprentissages du cours préparatoire :- le vocabulaire, dès la petite section ;- la conscience phonologique, dès la fin de la moyenne section ;- le dénombrement.

  16. Différences ou difficultés ? • A l’école maternelle, les écarts d’âge entre les enfants, donc de développement et de maturité, ont une importance très forte. Les décalages entre enfants d’une même section ne doivent pas être considérés systématiquement comme des indices de difficulté.Ils expriment des différences qui doivent être prises en compte pour que chacun progresse dans son développement personnel. • L’école maternelle a un rôle essentiel dans le repérage et la prévention des déficiences ou des troubles, rôle qu’elle doit assumer pleinement, en particulier pour les troubles spécifiques du langage. • Prévention mais aussi remédiation

  17. Au CP et au CE1Trois autres domaines viennent s’ajouter. Ces domaines constituent les composants de base de l’accès à la lecture et à la maîtrise des nombres :- la compréhension, qui peut être entraînée avant même de savoir lire et peut donc être un domaine de l’aide personnalisée dès le début du CP, voire en grande section ;- la reconnaissance des mots, qui conditionne l’accès au sens et peut être l’objet d’aide dès le mois de décembre du CP ;- la numération, principalement la compréhension et la maîtrise du système décimal.

  18. Au CP et au CE1 • Elle doit être souple, évolutive et d’abord préventive. • L’enjeu est d’empêcher la difficulté de s’installer. • Elle doit permettre de construire du sens. • Elle renouvelle le regard de l’enseignant sur l’élève et de l’élève sur les apprentissages dans un climat de confiance.

  19. Démarches • Observer l’élève dans ses procédures de travail, de raisonnement, de prise de parole • Analyser les difficultés (ou les écarts de maturité) pour bien cibler ce qui doit être fait. • Se concerter en cycle pour coordonner l’A.P. en articulation avec le travail de classe. • Élaborer l’Aide personnalisée en valorisant : - La prise de parole par l’élève :explicitation de la situation, de la tâche, la verbalisation des représentations - L’élaboration avec les élèves des critères de réussite - La manipulation par l’élève de matériels concrets et d’outils variés dans des tâches limitées n’excluant pas la complexité - L’anticipation d’apprentissages à venir - La préparation au retour en classes sans A.P.

  20. Au cycle 3La compréhension de lecture doit se poursuivre sur des textes pluscomplexes et avec des exigences de compréhension plus poussées (inférences).Par ailleurs, l’accent est mis sur le domaine de l’écriture, notamment l’orthographe.En mathématiques, jusqu’à la fin du cycle 3, la numération et la compréhension du système décimal sont privilégiés.Les stratégies de résolution des problèmes peuvent également être entraînées, notamment dans leurs dimensions de compréhension du texte lu et de représentation des situations.On veillera également, pour les élèves qui en ont besoin, à garantir la connaissance aisée des faits numériques (tables, doubles et moitiés …).

  21. Différencier le travail effectué en classe de l ’AP en : • revenant aux fondamentaux, si nécessaire • travaillant avec plus de matériel (manipulation) • multipliant les interactions entre élèves • utilisant un support spécifique

  22. AU C3, trois types d ’objectifs envisageables : • prévention • - anticipation sur l ’apparition d ’une difficulté à venir (révision, préparation de l’activité...) • remédiation • - compétence non acquise au cours des années précédentes • compétence non acquise au cours d ’une séquence conduite en classe • consolidation d’une compétence fragile • - entraînement, travail de la compétence dans un autre contexte

  23. Formes de l’aide personnaliséeIl appartient aux maîtres de choisir la modalité la mieux adaptée aux besoins des élèves concernés, en fonction de l’objectif poursuivi, de la situation particulière du groupe, la fréquence et la durée des séances. L’aide personnalisée peut prendre des formes diverses:- L’aide directe à l’activité de classe- L’aide organisée sur une série de séquences- L’aide au passage de classe- L’aide en programme structuré d’entraînement

  24. L’aide au jour le jourCette aide est étroitement articulée à l’activité scolaire quotidienne. C’est le déroulement de la classe qui détermine les besoins et le contenu des activités des élèves durant le temps d’aide personnalisée. L’aide peut consister en une préparation des activitésde classe à venir ou en une reprise d’une partie des activités du jour qui a été mal comprise ou mal réussie.Cette forme d’aide gagne à être conduite par le maître pour un groupe d’élèves de sa propre classe.

  25. L’aide organisée sur une série de séquencesSouvent sur quelques semaines, l’aide poursuit alors un objectif spécifique. Elle concerne des groupes d’élèves repérés comme ayant les mêmes besoins. Il peut s’agir de connaissances ou de compétences non acquises, voire d’attitudes cognitives ou scolaires non maîtrisées.Les élèves sont regroupés sur une base homogène ou hétérogène, selon les choix pédagogiques et peuvent être issus d’une même classe ou de classes différentesd’une même école. Cette aide peut être conduite par le maître de la classe ou un autre enseignant du cycle ou de l’école.

  26. L’aide au passage de classeL’aide est mise en oeuvre dès le début de l’année, surtout en CP et en CE2, au moment du changement de cycle. Elle concerne des élèves fragiles, repérés par le maître de la classe précédente. L’aide peut être conduite par le maître de la classe, celui de la classe précédente ou un autre enseignant du cycle ou de l’école.

  27. L’aide enprogramme structuré d’entraînementElle se déroule sur une durée d’une vingtaine de semaines et propose une suite de séances progressives de 30 minutes chacune, en petits groupes homogènes. Ces programmes concernent principalement l’apprentissage de la lecture en CP ou en CE1 : décodage,compréhension, rapidité de lecture orale (fluence) sont les principales compétences concernées.

  28. Travail en petits groupesLe travail en petits groupes présente beaucoup d’avantagespour aider les élèves en difficulté:- Un espace de travail protégé, propice à la mise en confiance ( organisation ritualisée, répétition )- Un espace de parole protégé (exprimer son point de vue, expliciter sa pensée, sa démarche ,interactions entre les élèves)- Un espace propice à l’observation de l’élève au travail- Un espace propice au développement de l’attention- Un espace de réussite (tâches accessibles à chaque élève, aide immédiate, dialogue sur l’activité scolaire)L’enseignant permet à l’enfant de prendre conscience de son rôle d’écolier, des apprentissages qu’il fait à l’école, facilitant ainsi le réinvestissement dans la classe.

  29. Supports de travailEn aide personnalisée, le premier support de travail de l’élève est le dialogue personnel entre l’adulte et l’enfant,moyen de l’étayage et de l’explicitation des stratégies. L’adulte peut en effet facilement expliquer et faire expliquer comment et pourquoi faire le travail scolaire demandé. Supports matérielsLes supports matériels du travail, textes, cahiers, livres, sont rarement différents de ceux de la classe. Les tâches peuvent être identiques pour peu qu’elles permettent réellement l’apprentissage.

  30. Manipulations:Le petit groupe permet des manipulations, en mathématiques par exemple, y compris des manipulations déjà conduites antérieurement à d’autres niveaux de classe et que certains enfants ont besoin de refaire pour comprendre une notion.Ressources:Les ressources de l’informatique peuvent être également mobilisées, notamment par les entraînements. Mais l’activité des élèves avec un programme d’entraînement informatisé ne se limite pas au temps d’aide personnalisé. Elle doit pouvoir se poursuivre, de façon autonome, en classe ou dans la famille, au-delà du temps consacré à l’aide personnalisée.Jeu:Le jeu n’est nullement à exclure, même si, comme c’est le cas pour les programmes d’entraînement informatisés, l’objectif n’est pas de faire jouer les enfants pendant le temps de l’aide personnalisée mais de leur apprendre à utiliser le jeu pour qu’ils puissent poursuivre des apprentissages au-delà du temps consacré à l’aide.

  31. Choix du moment et de la durée de l’aideLe moment de la journée et la durée des séances d’aide personnalisée sont fortement contraints par des contingences extérieures fortes, parfois même incontournables : transports scolaires, autres activités scolaires, accompagnement éducatif…

  32. Quand ?Dans toute la mesure du possible, on privilégie les périodes de plus grande vigilance (fin d’après-midi ou fin de matinée). Des durées courtes (30 ou 45 minutes) et fréquentes (3 ou 4 fois par semaine) sont préférables à des séquences longues (une heure ou plus d’une heure). Plus les enfants sont jeunes et plus la séance sera brève.

  33. Quelle forme ?L’organisation des séances sera répétitive dans sa forme pour sécuriser l’enfant et ne pas perdre de temps.Pour un élève donné, la durée hebdomadaire de l’aide personnalisée est de 2 heures, au maximum. Le cas échéant, si le besoin est avéré, un élève peut bénéficier de 2 heures d’aide personnalisée chaque semaine pendant toute la durée de l’année scolaire, soit 2h x 36 semaines.

  34. En Aide personnalisée

  35. Faire avec l’élève et ses parents

  36. L’ENJEU DU TRAVAIL AVEC LES FAMILLESFaire adhérer la famille à la dynamique de l’aide personnalisée est indispensable« Il est déterminant de faire comprendre aux parents l’intérêt des ruptures proposées en leur montrant dans quelle logique, quelle continuité ces évolutions s’inscrivent. » Rapport de l’IGÉN, septembre 2007

  37. Pourquoi travailler avec les familles ? • 1) Les parents sont membres de la communauté éducative dans les textes réglementaires, ils sont donc légitimes dans l’école. • 2) Crise d’angoisse des familles. Les familles sont de plus en plus angoissées pour l’avenir de leur enfant. Pour la première fois depuis des générations, aucune famille n’est assurée que ses enfants vivront mieux qu’elle. • 3) Peur de l’école pour certains parents qui ont pu y être en échec. • 4) Les temps des familles, de l’enfant, de l’école, de la ville ne sont pas les mêmes. • 5) La posture des parents n’est pas la même que celle des enseignants : les uns ont des intérêts particuliers, les autres des intérêts collectifs. • 6) Pas une famille : des familles diversifiées, différentes… • Tout enseignant, tout éducateur doit avoir comme ligne d’action que tout enfant est capable. • 7) L’école est souvent incompréhensible pour les familles. • 8) Développer les relations parents-enseignants, c’est utile ! Un plus pour la réussite des jeunes ; un plus pour l’exercice du métier enseignant.

  38. LES CONDITIONS DU DIALOGUE L’implication, l’adhésion de l’élève et de sa famille à l’aide personnalisée sont fondamentales. Le dialogue doit leur permettre de prendre conscience des ATOUTS et des FAIBLESSES de l’élève. Pour l’élève, il s’agit de confronter le diagnostic porté par l’enseignant et la perception qu’il en a. Il est déterminant d’identifier dans le dialogue avec l’élève les domaines sur lesquels il accepte de s’engager. Avec les parents, il faut éviter les faux échanges où en fait en proposant, on impose un projet. L’adhésion de la famille est un élément décisif du succès de l’aide personnalisée.

  39. Le travail de concertation avec la famille a une double fonction Apporter des informations claires sur la situation de l’élève. Établir une mobilisation de l’élève et de sa famille 

  40. Apporter des informations claires sur la situation de l’élève Il n’est pas aisé pour des parents de comprendre, d’analyser et parfois même de reconnaître les difficultés de leur enfant à l’école. Souvent, les difficultés de l’élève ont été signalées très tôt aux parents. Mais ce « très tôt » a cristallisé les angoisses, les peurs, a parfois même entraîné des régressions… La discussion doit partir des compétences del’élève. Suite aux évaluations et aux différentes observations, le dialogue s’instaure autour des compétences de l’enfant : compétences échouées mais aussi compétences réussies. L’aide prend en compte le passé de l’élève, elle acte la situation présente sans la figer et surtout elle projette dans le futur. Il est important d’éviter les jugements de valeurs sur l’enfant et sur sa famille.

  41. MENER UN DIALOGUE AVEC L’ÉLÈVE Pour l’élève, il s’agit de la confrontation entre le diagnostic porté par l’enseignant et la perception qu’il en a. Il est déterminant d’identifier dans le dialogue avec l’élève les domaines sur lesquels l’élève accepte de s’engager. Le dialogue doit lui permettre de prendre conscience de ses ATOUTS et de ses FAIBLESSES.

  42. Établir une mobilisation de l’élève et de sa famille  L’aide personnalisée doit contenir des propositions concrètes avec des objectifs clairement et simplement définis. Durant l’entretien, les différentes étapes ainsi que les enjeux doivent être bien explicités à la famille. Un enfant qui apprend est un enfant valorisant pour la famille. C’est utile aussi de proposer un calendrier de rencontres pour faire le point, y compris si « ça marche bien » et de repartir avec une prochaine date de rencontre. Une vigilance particulière doit être apportée pour éviter: – le découragement lié au sentiment de ne jamais voir l’enfant rattraper le niveau ; – de se contenter de l’observation des progrès de l’enfant par rapport à lui-même, ce qui peut donner l’idée d’une réussite immédiate à court terme, mais trompeuse à moyen et à long termes.

  43. ÉVALUER L’AIDE PERSONNALISÉE À l’entrée dans l’aide personnalisée, pour évaluer les besoins de l’élève, les ressources à mettre en œuvre et les objectifs à fixer. À court terme, en fin de l’action spécifique par rapport aux objectifs fixés à l’élève. Ces objectifs sont des objectifs jugés significatifs par rapport à l’apprentissage recherché et à la situation de l’élève. À moyen terme pour voir l’efficacité de l’action dans le cadre de l’acquisition des objectifs du cycle. Ces évaluations doivent être cadrées et compréhensibles par l’élève et sa famille. À la fin de la période de mise en place de l’aide personnalisée, il importe de faire le point sur les compétences acquises par l’élève au regard des objectifs à atteindre en fin de cycle afin que la famille situe clairement les enjeux.

  44. Des repères pour l’action Le socle s’acquiert de manière continue de la maternelle à la fin de la scolarité obligatoire Renforce la nécessaire continuité entre les cycles et les degrés Renforce les concertations et le travail en équipe

  45. Bien gérer l’évaluation L’évaluation est un repère pour la construction des apprentissages pédagogiques. Elle doit garder sa JUSTE PLACE. Il faut éviter de consacrer plus de temps à la vérification des acquis qu’aux apprentissages eux-mêmes.

  46. Types d’intervention / Temps d’intervention • Début de journée • Actions de sensibilisation et de prévention • Activités préalables autour de ce qui peut favoriser la réussite . • Préparation à la participation aux temps collectifs. • Anticipation sur un apprentissage de la journée . • Fin de journée • Travail de rappel, de retour réflexif sur les apprentissages, mémorisation . • Travail de l’attention et de la concentration soutenues . • Actions de consolidation. • Anticipation sur un apprentissage du lendemain . • Pause méridienne • Développement de l’autonomie et de l’initiative . • Développement de l’imagination . • Anticipation sur un apprentissage de la journée . Voir document complémentaire

  47. Retours des enseignants sur l’AP :- Les élèves en difficulté ont peu d’autonomie.- Ils ont des difficultés à verbaliser.- Les progrès réalisés ne se retrouvent pas souvent de retour dans le groupe classe.

  48. Comment développer l’autonomie et favoriser l’initiative des élèves ?Comment favoriser la verbalisation tout au long de la tâche ?Comment favoriser le transfert des acquis dans le groupe classe ?

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