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États généraux en sciences de l’environnement Rétroaction et orientations

États généraux en sciences de l’environnement Rétroaction et orientations. Rencontres des 9, 15, 16 et 19 mars Avis reçus en date du 30 mars Pierre Lefrançois, conseiller spécial 30 mars 2012. (1.1) Contexte des états généraux.

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États généraux en sciences de l’environnement Rétroaction et orientations

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  1. États généraux en sciences de l’environnementRétroaction et orientations Rencontres des 9, 15, 16 et 19 marsAvis reçus en date du 30 mars Pierre Lefrançois, conseiller spécial 30 mars 2012

  2. (1.1) Contexte des états généraux • Demandes de la part des intervenants en sciences de l’environnement • Demande des instances de l’Université • Des besoins d’actualisation de la structure fondée en 1990 (« forme particulière d’organisation »)

  3. (1.2) Contexte des états généraux • Un contexte institutionnel renouvelé: nouvelles unités académiques (départements, chaires, centres, instituts, programmes, etc.), facultarisation, nouveaux domaines, volume d’activités, etc. • Un environnement externe en mouvance: nouveaux acteurs universitaires, besoins sociaux • Une volonté perceptible de développement académique, intellectuel, scientifique et social

  4. (2) Orientations • Permettre un partage sur le mode souhaitable d’interdisciplinarité • Examiner les moyens d’augmenter la participation des professeures, professeurs en sciences de l’environnement • Questionner le statut et les modes de rattachement des programmes en sciences de l’environnement • Proposer à terme une forme d’organisation pour les sciences de l’environnement à l’UQAM

  5. (3.0) Démarche réalisée • Consultation de l’ensemble des départements de l’UQAM par le VR • Plus de 100 professeures, professeurs recommandés • Plus de 70 acceptant l’invitation à participer • Rencontre d’ouverture le 2 mars 2012 • Plus de 45 participants • Présentations orales le 9 mars • Quelque 35 participants • Rencontres individuelles ou en groupes restreints avec le conseiller les 15, 16 et 19 mars • Dépôt formel d’avis écrits

  6. (3.1) Rencontres avec le conseiller • Les 15, 16 et 19 mars, 19 rencontres avec le conseiller, quelque 75 personnes distinctes. • Directrice de l’Institut • Direction de la Faculté des sciences (doyen et vice-doyens) • Directeurs des programmes de maîtrise et doctorat en SE • Départements, professeurs (ESG, FS, FSÉ, FSH) • Professeurs associés, chargés de cours, personnel de soutien • Étudiants des programmes de maîtrise et doctorat en SE

  7. (3.2) Avis formels déposés • 32 avis reçus en date du 29 mars, plus de 60 signataires: • Directeurs des programmes de maîtrise et doctorat en SE • Directeurs de départements (FS, FSH), directeurs de centres ou chaires (ESG, FC, FS, FSÉ) • Professeurs (ESG, FC, FS, FSÉ, FSH), professeurs associés, chargés de cours, personnel de soutien • Étudiants des programmes de maîtrise et doctorat en SE

  8. (4.1) Nos observations quant à l’interdisciplinarité • L’utilisation de la terminologie « sciences de l’environnement » génère confusion • Volonté constatée de promouvoir et développer une approche interdisciplinaire (sciences de l’environnement comme « discipline » en émergence) • Mais également, volonté constatée de promouvoir et développer la contribution des disciplines (sciences appliquées à l’environnement)

  9. (4.2) Ceci nous mène à penser que • Renommer le champ d’intervention de l’Institut ne clarifierait ou simplifierait probablement pas les choses • Science de l’environnement • Environnement • Études environnementales • Et qu’il y a tout lieu de favoriser • l’émergence d’un consensus quant à une interdisciplinarité propre à ce champ • ainsi que le développement de la contribution de sciences appliquées (humaines, sociales, naturelles, gestion, éducation ou autres) dans ce champ, dans des contextes disciplinaires et multidisciplinaires

  10. (4.3) En conséquence • Il faudrait protéger un « espace » propre à cette nouvelle interdisciplinarité • Mais également permettre d’aborder le champ environnement par le développement de multidisciplinarités opportunes • Socio-économiquement • Scientifiquement • Systémiquement

  11. (5.1) Nos observations quant à la contribution des acteurs • Plusieurs formes et intensités dans la participation en SE • Noyau qui s’investit fortement • Professeurs • Chargés de cours • Professeurs associés • Étudiants • Diplômés • Autres • Participation périphérique • Par le biais d’une participation à l’offre des programmes en SE • Encadrement d’étudiants (profils professionnels et recherche) • Activités de recherche

  12. (5.2) Nos observations quant à la reconnaissance et la valorisation des contributions • Charge de travail • Évaluation à des fins de promotion • Charge(s) hors département • Vie hors-département ou hors-centre • Attribution des charges de travail

  13. (5.3) Ce qui nous mène à penser qu’il faudrait • ramener au cœur des préoccupations départementales la programmation en SE • légitimer la participation à cette programmation • assurer la participation départementale et la reconnaissance des contributions • assurer la relève • et, à défaut d’une éventuelle départementalisation qui assurerait un meilleur équilibre entre conseil académique d’accueil et assemblée départementale d’attache, mettre fin à la notion même de « libération »

  14. (5.4) En conséquence • Il y aurait lieu de centrer la programmation de l’Institut des SE sur: • Les actuels programmes de maîtrise et doctorat en SE • La recherche / intervention en lien avec les programmes • La mobilisation des savoirs (séminaires, conférences publiques qui s’insèrent dans les programmes) • La valorisation et la diffusion (par exemple via Vertigo)

  15. (5.5) En conséquence • Voir à une habilitation différenciée des acteurs traduisant leur implication dans la programmation de l’Institut des SE: • Dans l’offre de cours et l’attribution des charges (professeurs, chargés de cours, professeurs associés, personnel de soutien) • Dans la direction, la codirection, l’encadrement, ou la participation à des jurys de thèse (professeurs avec charge, professeurs associés) • Autres formes d’habilitation (tutorat, mentorat ou autre)

  16. (5.6) En conséquence • Revoir la gouvernance en prenant appui sur • Un comité de direction de l’Institut déterminé par les Conseils académiques des Facultés impliquées • Un comité de maîtrise d’œuvre de la programmation de l’Institut formé des directeurs des départements impliqués dans la programmation • Une assemblée des acteurs habilités • Des comités de programme (2e et 3e cycles)

  17. (6.1) Nos observations quant au rattachement des programmes • Les programmes actuels de maîtrise et doctorat en SE doivent demeurer « à l’abri » des dérives disciplinaires • L’interdisciplinarité dont se font porteurs les programmes actuels en SE prend tout son sens aux cycles supérieurs

  18. (6.2) En conséquence • Il y a tout lieu de • certes reconnaitre à l’Institut un rôle dans le développement des programmes de 2e et 3e cycles en SE, homologue à celui des unités de programme • réitérer la responsabilité unique des Conseils académiques facultaires et de la Commission des études en matière d’opportunité de la formation en environnement aux trois cycles de l’UQAM • assurer le rôle fondamental des comités de programme dans les suivis des évaluations périodiques des programmes en SE, dans le souci d’en assurer à la fois l’opportunité et l’interdisciplinarité

  19. (7) Ce qui mène à conclure eu égard aux statuts et règlements de l’Institut • Un Institut axé sur les cycles supérieurs • Une gouvernance multifacultaire • Une mise-en-œuvre multidépartementale • Une vigilance en matière de programmation qui prend appui sur l’autonomie des Comités de programme dans le respect des prérogatives des instances institutionnelles

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