1 / 60

GONOCOCCIE

GONOCOCCIE. Maladie bactérienne quasi exclusivement STI ou à transmission périnatale due à Neisseria gonorrohoeae 2. Atteintes muqueuses surtout uréthrales et cervicales mais aussi, rectale, oro-pharyngée, conjonctivale

lanza
Download Presentation

GONOCOCCIE

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. GONOCOCCIE • Maladie bactérienne quasi exclusivement STI ou à transmission périnatale due à Neisseria gonorrohoeae • 2. Atteintes muqueuses surtout uréthrales et cervicales mais aussi, rectale, oro-pharyngée, conjonctivale • 3. Responsable d’infections génitales hautes causes de GEU et d`infertilité • 4. Dissémination possible: arthrites, endocardites

  2. Neisseria gonorrohoeae • Diplocoque Gram- en grain de café non mobile, ne formant pas de spores: • - ressemble beaucoup à N meningitidis • - fragile au déssechement: inoculation rapide • - max 6 hres dans milieu de transport • - culture sur gélose chocolat (Thayer Martin modifié), sans vancomycine si résistance élevés, en présence de 5% de CO2. • - strictement aéorobies en conditions normales peuvent pousser en anaérobiose (trompes de Fallope) • 2. Structure d’enveloppe proche des autres BGN

  3. Schematic representation of the surface structure of Neisseria gonorrhoeae, showing the major components that contribute to pathogenicity. Opa, Por, and Rmp are the designations of the major outer membrane proteins. LOS, lipo-oligosaccharide.

  4. Schematic representation of the interaction between fallopian tube explant epithelial cells and Neisseria gonorrhoeae. A, Attachment of the piliated gonococci to the surface of a nonciliated host cell.

  5. Schematic representation of the interaction between fallopian tube explant epithelial cells and Neisseria gonorrhoeae. B, Endocytosis of gonococci and loss of cilia on adjacent cells, mediated by lipo-oligosaccharide (LOS).

  6. Schematic representation of the interaction between fallopian tube explant epithelial cells and Neisseria gonorrhoeae. C, Transport of gonococci through an epithelial cell in an endocytotic vacuole, in which the organism may replicate; progression of LOS-associated cytotoxicity.

  7. Schematic representation of the interaction between fallopian tube explant epithelial cells and Neisseria gonorrhoeae. D, Release of organisms into subepithelial space.

  8. Neisseria gonorrohoeae • Beaucoup ont un plasmide de conjugaison de 24,5 mD et donc capables de transmettre avec grande efficience d’autres plasmides non tranferrables et à l’origine de hauts niveaux de résistance à la tétracycline (1985) • 2. Les 2 plasmides Pcr les plus commune ont 3.2 et 4,4 mD et seraient originaires de H. ducreyi. Elles sont à l’origine d’une betalactamase (1970) • 3. Mutations chromosomiques à l’origine de résistance à tetracycline, macrolides, péni G, céphalosporines, quinolones (1994) • 4. Sélections résistance > chez MSM (s bil, ac G)

  9. Résistance du gonocoque à la pénicilline

  10. Résistance du gonocoque aux quinolones

  11. Résistance du gonocoque à la ceftriaxone

  12. Gonocoque : environ 60 millions de nouveaux cas par an  pays en développement: incidence élevée, et qui reste élevée  pays industrialisés: incidence plus faible, mais en augmentation Résistance aux antibiotiques en augmentation :  pénicilline : années 1970s spectinomycine: années 1980s  quinolones: années 1990s  céphalosporines 3ème génération: années 2000s ? Epidémiologie J Tapsall, session 1334, ICAAC, 2005

  13. Distribution of reported gonorrhea incidence according to age and sex, United States, 2002

  14. Incidence of reported gonorrhea per 100,000 residents, United States, 1960-2002

  15. GA Dallabetta, M Laga, P Lamptey. Control of STDs Handbook AIDSCAP, 1996

  16. GA Dallabetta, M Laga, P Lamptey. Control of STDs Handbook AIDSCAP, 1996

  17. GA Dallabetta, M Laga, P Lamptey. Control of STDs Handbook AIDSCAP, 1996

  18. GA Dallabetta, M Laga, P Lamptey. Control of STDs Handbook AIDSCAP, 1996

  19. Estimated incidence of gonorrhea in men who have sex with men (MSM) and in the remainder of the population, King County, Washington, 1994-2003

  20. GONOCOCCIE • Uréthrite aiguë chez l’homme • - incubation: 2-5 jours (jusquà 10 jours) • écoulement et dysurie • - écoulement séreux puis purulent en 1 jour • - en général plus aigue que dans les uréthrites non gonococciques • - avec certaines souches tableau discret ou asymptomatique • 2. Infection urogénitale chez la femme: • - 80% asymtomatique • - incubation 10 jours • - pertes vaginales, dysurie, saignements

  21. Incubation period in 44 men with gonococcal urethritis. (From Harrison WO, Hooper RR, Weisner PJ, et al. N Engl J Med 1979;300:1074-1078.)

  22. GONOCOCCIE • Uréthrite aiguë chez l’homme • - incubation: 2-5 jours (jusquà 10 jours) • écoulement et dysurie • - écoulement séreux puis purulent en 1 jour • - en général plus aigue que dans les uréthrites non gonococciques • - avec certaines souches tableau discret ou asymptomatique • 2. Infection urogénitale chez la femme: • - 80% asymtomatique • - incubation 10 jours • - pertes vaginales, dysurie, saignements

  23. GONOCOCCIE 4. Pharyngite - plus efficacement par fellation > cunilingus > baisers (rares) - 3 à 7% des hommes hétéro avec uréthrite - 10 à 20% des femmes hétéro avec gonorrhée et > chez femmes enceintes - 10 à 25% des MSM avec gonorrhée - le plus souvent asymptomatique 5. Rectite - 40% chez femmes et MSM infectés - souvent seul site pour MSM - habituellement asymptomatique - proctite aiguë: prurit, tenesme, suppuration, saignement muqueux plus communs MSM

  24. GONOCOCCIE 6. PID/salpyngite aiguë - 10 à 20% des femmes infectées - infertilité 15-20% ou 20-80% si 1 ou plus de 3ème épisode 7. Périhépatite: - Syndrome de Fitz Hugh Curtis: extension de l’infection des trompes de fallope à la capsule hépatique et péritoine environnant (rares cas masculins par bactériémie) - souvent confoncues avc cholécystite ou hépatite virale - laparoscopie: adhérences péritonéales typiques en cordes de violon

  25. GONOCOCCIE 8. Infection disséminée - 0.5 à 3% des patients - difficiles à différentier de méningococcémie - favorisée par déficit en Complément: 13% - Syndrome polyarthrite + dermatite (papules et pustules à composantes hémorrhagiques et parfois nécrotique, 75%) - Puis arthrites septiques, asymétriques - Répéter les hémoc au moins 3 fois - Devenues rares: endocardites (valve aortique) , méningites, ostéomyélites, choc septique

  26. GONOCOCCIE 9. Infection néonatale et pédiatrique - Ophtalmie cause fréquente de cécité dans PVD - Prévenue par la prophylaxie de Crédé avec collyre au Nitrate d’argent - Extension systémique rare - Rares rectites - Répéter les hémoc au moins 3 fois - Devenues rares: endocardites (valve aortique) , méningites, ostéomyélites, choc septique

  27. GONOCOCCIE: Diagnostic • Cultures: • - Sensibilité = 95% prélèvement uréthral • - Sensibilité = 80-90% prélèvement cervix • - milieux sélectifs et non sélectifs pour cervix • - meilleure technique pour rectum, pharynx • - 5% des souches isolées sont des Neisseria meningitidis • 2. Tests amplificateurs d’acides nucléiques (NAATs): plusieurs technologies (Gen-Probe, Amplicor, Probe Tec…). Ont remplacé les cultures pour les asymptomatiques (spécificité=99%, bonne sensibilité sur urines et autoprélèvements vaginaux)

  28. GONOCOCCIE: Diagnostic • Examens directs: • a- Bleu de méthylène: rapide et spécifique pour uréthrite masculines • b- Gram: sensibilité = 95% prélèvements uréthraux masculins avec haute spécificité • d- Gram: sensibilité = 50% pour rectum, cervix, pharynx et uréthrites masculines asymptomatiques • 2. Elisa et Immunofluorescente directe: faible sensibilité et peu utilisés

More Related