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Le métier de machiniste en 2010

Le métier de machiniste en 2010. Présenté lors du colloque annuel de l'APEMIQ 21 octobre 2010, Sorel-Tracy. Agenda. Le CSMOFMI État de situation du métier de machiniste Analyse de métier réalisée en juillet 2009 N orme professionnelle en développement

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Le métier de machiniste en 2010

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Presentation Transcript


  1. Le métier de machiniste en 2010 Présenté lors du colloque annuel de l'APEMIQ 21 octobre 2010, Sorel-Tracy

  2. Agenda • Le CSMOFMI • État de situation du métier de machiniste • Analyse de métier réalisée en juillet 2009 • Norme professionnelle en développement • Planification du MÉLS sur le DEP en usinage • Situation économique actuelle • Campagne provinciale de valorisation • Discussion et questions

  3. Le CSMOFMI

  4. Réseau des partenaires du marché du travail Ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale (Julie Boulet) CPMT (24 membres) Emploi-Québec & MESS Direction générale du développement de la main-d'œuvre Groupes de travail (4) Comités sectoriels (30) Conseils régionaux (17) et Table métro Mtl Comités consultatifs(4) CIME (2) 4

  5. Qui sommes nous? • Le Comité sectoriel de la main-d’œuvre dans la fabrication métallique industrielle (CSMOFMI) est un organisme provincial incorporé sans but lucratif. • Il est un comité paritaire composé de représentants de l’industrie (employeurs et travailleurs) qui décident ensemble, par consensus, de son orientation et de ses actions. • Il est administré par un conseil d’administration nommé par l’industrie. • Son financement est assumé par la CPMT.

  6. État de situation du métier de machiniste Quelques statistiques

  7. Nombre de personnes en emploi Selon le recensement 2006 de Statistique Canada, le Québec comptait

  8. Secteurs d’activité dans la FMI C’est l’un des deux métiers les plus importants de la fabrication métallique industrielle en termes d’effectif, avec celui de soudeur.

  9. L’âge des machinistes • La proportion de machinistes âgés entre 15 et 24 ans est plus élevée de 5,5 % dans la FMI que dans les autres industries manufacturières. Par contre, du côté des 55 ans et plus, la part de la FMI est comparable au secteur manufacturier. L’âge moyen de l’ensemble des machinistes toutes industries se situe autour de 39,1 ans.

  10. La scolarité des machinistes • Les ateliers d’usinage constituent un milieu industriel exigeant sur le plan de la pratique professionnelle. • L’effectif est composé très majoritairement d’employés ayant atteint un niveau de qualification élevé. • Ces travailleurs sont également parmi les plus scolarisés du secteur manufacturier. • Moins de 10% des machinistes n’ont pas de diplômes dans la FMI ce qui est très inférieur à ce qu’il est possible d’observer pour d’autres métiers spécialisés de la fabrication métallique.

  11. La scolarité des machinistes

  12. L’influence de la scolarité sur la progression professionnelle (Source : Carte des emplois pour les ateliers d’usinage, CSMOFMI, 2004.)

  13. Analyse de métier réalisée en juillet 2009

  14. Entreprises participantes (17) APN inc. Atelier d’usinage Lebro inc. GL & V Fabrication Groupe J.L. Leclerc inc. Groupe Meloche inc. Industries G.E. Gilbert inc. L. & G. Cloutier inc. Marmen inc. Mesotec inc. Outillages K & K Ltée Outils Diacarb inc. Placage au chrome de Ste-Foy Predimarch inc. RMH Industries inc. Usinage de précision Vimax Usinage Deux Rives inc. Usinatech inc.

  15. Machines-outils Plusieurs types de machines-outils sont utilisés dans les entreprises québécoises pour usiner les pièces: • les machines-outils conventionnelles; • à commande numérique (MOCN), • les machines hybrides, à la fois conventionnelles et à commande numérique. L’environnement de travail des machinistes a évolué au cours des vingt dernières années avec la généralisation des machines-outils à commande numérique et de l’informatique dans les ateliers.

  16. Machines-outils Pour certaines applications, l’utilisation de machines-outils conventionnelles demeure la meilleure solution. • Pour la fabrication de pièces à l’unité ou en petits lots, il est plus rentable d’utiliser une machine conventionnelle, pour éviter la programmation, à moins qu’il ne s’agisse d’une pièce complexe exigeant des niveaux de tolérance très élevés. • Pour la réparation, on utilise des machines-outils conventionnelles, parce qu’elles offrent une bien plus grande flexibilité.

  17. Machines-outils • L’expansion des machines-outils à commande numérique est sans doute terminée. • Les entreprises, dont les activités justifiaient le recours à cette technologie, se sont déjà dotées de telles machines depuis longtemps. • La prochaine étape est le remplacement progressif de l’actuel parc de machines par une nouvelle génération de machines-outils à commande numérique permettant l’usinage à haute vitesse (high speed machining).

  18. Organisation du travail • Dans un atelier d’usinage ou une entreprise qui fabrique des machines ou du matériel de transport, le métier de machiniste demeure le même. Le travail est généralement plus complexe dans les ateliers d’usinage. • Les entreprises de fabrication de machines ou de matériel de transport fabriquent leurs propres produits. • Ils ont leur propre bureau d’ingénierie qui conçoit, dessine et détermine les méthodes de fabrication en plus de programmer les machines-outils. • Les ateliers d’usinage offrent un service de fabrication. La filière des études et méthodes y est peu développée car ils fabriquent des pièces à partir des plans et devis des clients. • Ce sont les machinistes eux-mêmes sur le plancher d’usine qui portent l’expertise technique (interprétation des plans et devis, détermination des méthodes de fabrication, programmation des machines-outils) plutôt que des techniciens dans un bureau d’ingénierie.

  19. Organisation du travail • Un machiniste qui travaille dans une entreprise de fabrication de machines ou de matériel de transport fabrique des pièces qui entrent spécifiquement dans la composition des produits de cette entreprise. • À force de fabriquer les mêmes pièces pour les mêmes produits, les ouvriers en viennent à connaître parfaitement ce qu’ils ont à faire. Il s’agit de produits standard : les manières de procéder sont connues et documentées, le travail devient alors davantage répétitif. • Dans les ateliers d’usinage, par contre, les machinistes fabriquent une grande variété de pièces, souvent à l’unité, pour des industries les plus diverses. Les machinistes doivent sans cesse s’interroger sur la manière de procéder et développent ainsi une grande expertise de leur métier. • La filière de l’usinage est au cœur des activités des ateliers d’usinage, alors que dans les entreprises de fabrication de machines ou de matériel de transport, il s’agit d’une filière parmi d’autres.

  20. Modes d’organisation du travail • Dans certaines entreprises, les machinistes sont susceptibles de travailler sur toutes les machines-outils ; c’est la polyvalence qui prime sur toute autre considération. • Dans d’autres entreprises il y a les machinistes qui utilisent des machines conventionnelles et ceux qui utilisent des machines-outils à commande numérique. • Il y a des entreprises où chaque machiniste travaille toujours sur une machine-outil en particulier. Certaines machines-outils (les rectifieuses par exemple) peuvent être utilisées par des machinistes qui se sont spécialisés dans l’utilisation de ce type d’équipement.

  21. Conditions d’entrée et qualités recherchées • Les entreprises embauchent des machinistes qui ont le diplôme d’études professionnelles (DEP) en techniques d’usinage et l’attestation de spécialisation (ASP) en usinage sur machines-outils à commande numérique. • Le diplôme d’études collégiales (DEC) en techniques de génie mécanique est un bassin intéressant de main-d’œuvre qualifiée, surtout pour la programmation des machines-outils à commande numérique.

  22. Niveau d’exercice du métier • Il n’existe pas de niveaux d’exercice de la profession universellement reconnus dans l’ensemble des entreprises mais certaines entreprises distinguent des classes de machinistes telles que opérateur, opérateur-régleur, monteur-régleur, etc. • Dans la plupart des entreprises les nouveaux machinistes travaillent tout d’abord sur des pièces simples ou répétitives. Leur apprentissage se fait sur un type d’équipement ; à partir du moment où un machiniste sait comment utiliser correctement une machine, il peut ensuite apprendre à opérer une autre machine (plus complexe ou différente). • On confie habituellement à des machinistes plus expérimentés les travaux qui exigent davantage de précision, l’usinage de matériaux spéciaux, la finition, le montage des outils et la programmation.

  23. Évolution prévisible du contexte d’exécution de la profession • Selon les spécialistes de la profession : • Les machines-outils conventionnelles vont demeurer en usage au cours des prochaines années parce qu’elles sont indispensables à la réalisation de certains travaux d’usinage (pour la réparation notamment). • Tout le monde reconnaît toutefois qu’il existe un problème de rareté de main-d’œuvre qui peut favoriser la diminution de l’utilisation des machines-outils conventionnelles surtout que les jeunes machinistes préfèrent travailler avec des machines-outils à commande numérique.

  24. Évolution prévisible du contexte d’exécution de la profession • Les nouvelles technologies ont des répercussions sur divers aspects du travail d’usinage : • On fabrique de nouveaux outils de coupe plus performants, plus résistants, davantage adaptés aux matériaux, de façon à optimiser le travail de coupe. • On recherche de nouveaux alliages à faible indice d’usinabilité pour une durabilité accrue des pièces usinées. • On fait appel à de nouveaux matériaux comme les composites et l’usinage à haute vitesse est de plus en plus répandu. • Les pièces à usiner peuvent être de plus en plus complexes et on doit se préoccuper davantage des exigences relatives au traitement des surfaces.

  25. Opérations recensées (1)

  26. Opérations recensées (2)

  27. Opérations recensées (3)

  28. Information complémentaires relatives aux tâches • Compte tenu de la très grande diversité des modes d’organisation du travail et de la production, il est difficile de déterminer de façon significative l’occurrence des tâches et le temps de travail consacré à chacune d’entre elles. • Les machinistes effectuent toutes les opérations énumérées dans la description de tâches sans nécessairement opérer toutes les machines présentes dans l’atelier. • Concernant le degré de complexité de chacune des tâches, il n’y a pas de différences entre les trois tâches, la complexité étant plutôt liée au type de pièce usinée et à la machine-outil utilisée qu’elle soit conventionnelle ou à commande numérique. • On peut dire que l’élaboration de la gamme d’usinage et le montage des pièces sont des opérations plus complexes que d’autres.

  29. Norme en développement : machiniste sur machines-outils conventionnelles

  30. Le PAMT • Le programme d’apprentissage en milieu de travail (PAMT) en usinage conventionnel, au même titre que celui en usinage sur machines-outils à commande numérique, ont connu beaucoup de popularité. • Avec un total de 3 807 ententes, le carnet de machiniste est d’ailleurs l’un de ceux qui a suscité le plus d’ententes depuis l’instauration du Régime de qualification et du Programme d’apprentissage en milieu de travail. • En usinage sur MOCN, 1 781 ententes ont été signées.

  31. Le PAMT • L’actuel carnet en usinage conventionnel fonctionne relativement bien mais il été rédigé en 1995 et n’a jamais été révisé depuis. Certains contenus du carnet sont à revoir de même que la structure des compétences et la formulation des éléments et des critères de performance. • Le métier de machiniste est couvert par le programme du Sceau rouge. • Seulement 10 machinistes ont obtenu leur certificat du Sceau rouge. • Il y a très certainement des efforts à faire pour promouvoir le programme du Sceau rouge auprès des travailleurs et des employeurs mais aussi du réseau d’Emploi-Québec et pour faciliter le processus permettant d’accéder à l’examen.

  32. Entreprises participantes (16) AmecUsinage inc. Atelier Onmec inc. AutomatechIndustrielle inc. Conceptromec inc. Hyco Canada U.L.C. Les moules Aragon inc. Mesotec inc. *** Moulexpert inc. Outillage CNC Production inc. Outillages Avitec inc. Outillages K et K Ltée *** Outiltech Rive-Nord inc. Précision SM Rotobec inc. Usinage Express inc. Vélan *** entreprises ayant participées à l’AST

  33. Métier visé : Machiniste sur machines-outils conventionnelles (CNP 7231). Principaux champs d'application : Ateliers d’usinage (3327). Fabrication de machines-outils pour le travail du métal (3335). Fabrication d’autres produits métalliques (3329). Fabrication de pièces de véhicules automobiles (3363). Fabrication d’autres machines d’usage général (3339). Exclusions : Machiniste sur machines-outils à commande numérique (7231). Opérateur de machines d’usinage (9511). Outilleur-ajusteur (7232). Présentation du projet

  34. Étapes de réalisation du projet : Analyse du métier. Élaboration d’un profil de compétences. Validation du profil par les experts du métier. Formulation de la norme professionnelle. Consensus sectoriel Élaboration d’un carnet d’apprentissage. Élaboration d’un guide du compagnon. Élaboration de matériel hors-production. Élaboration d’un outil d’évaluation. Présentation du projet

  35. Approche privilégiée : Contacts directs et nombreuses visites en entreprises. Collecte de données sur : les machines-outils utilisées, les modes d’organisation du travail, l’évolution prévisible de l’usinage sur machines-outils conventionnelles les habiletés situées au cœur du métier. Recherche d’un modèle correspondant à la manière dont le métier est transmis et appris en entreprise. Choix de compétences souples et qualifiantes correspondant à l’exercice du métier dans diverses situations de travail. Présentation du projet

  36. Structure de la norme 1995 C1 – Travaux d’établi C2 – Utilisation des machines-outils C3 – Optionnel : Utilisation des machines-outils à commande numérique (MOCN) C4 – Attitudes, habitudes et comportements professionnels

  37. Structure de la norme 2010 Un modèle souple de progression professionnelle. C1 – Être capable de traiter l’information C2 – Être capable d’effectuer des travaux de préparation et de finition des pièces. C3 – Être capable d’usiner des pièces C4 – Être capable de planifier l’usinage d’une pièce

  38. Commentaires recueillis: Il serait important de faire état du souci de la qualité, de la minutie, de la propreté ainsi que des précautions à prendre lors de l’utilisation des outils et des équipements et de la manutention des pièces afin de ne rien endommager. Il faut que le machiniste s’assure qu’il sait quel type ou quelle catégorie de matériau il doit usiner afin d’en tenir compte dans les opérations d’usinage. Dans la compétence 2, le traçage doit demeurer (élément 2.2) parce que cela fait partie des tâches du machiniste et qu’il est effectué dans plusieurs entreprises représentées à la séance de validation. Il faut cependant maintenir la mention « s’il y a lieu » parce que cela ne se fait pas partout. Structure de la norme 2010

  39. Commentaires recueillis: Dans la compétence 2, il ne faut pas seulement choisir et utiliser les instruments de mesure (élément 2.1); il faut aussi valider la calibration des instruments en fonction des tolérances. Dans le contexte de réalisation de la compétence 3, l’exigence d’usiner les pièces à l’aide d’au moins deux types de machines-outils conventionnelles est tout à fait appropriée. Même si, à l’heure actuelle, il y a encore beaucoup de machinistes qui n’utilisent qu’une seule machine, il est souhaitable de rechercher la polyvalence en tenant compte des catégories de machines les plus répandues dans les entreprises. Cette polyvalence est d’autant plus souhaitable dans la perspective où les machines-outils conventionnelles sont de plus utilisées pour de la réparation ou pour la fabrication de pièces unitaires complexes. Structure de la norme 2010

  40. Commentaires recueillis: À l’élément 3.2, il y aurait lieu d’ajouter l’affûtage des outils de coupe selon certains participants à la rencontre; dans d’autres entreprises représentées à la séance de validation, cela est effectué par un outilleur ou donné en sous-traitance à l’externe. Les spécialistes du métier estiment que le profil présenté contient toutes les compétences essentielles au métier et que ces compétences sont souples et bien dosées. Structure de la norme 2010

  41. Structure de la norme 2010 Déterminants des compétences : • Compétences polyvalentes applicables dans tous les milieux de travail. • Compétences correspondant aux connaissances et aux habiletés névralgiques qui doivent être acquises par le machiniste sur machines-outils conventionnelles. • Prise en compte • des règles de sécurité • des normes de qualité • des attitudes et comportements nécessaires à l’exercice du métier

  42. Conclusion générale • Les spécialistes du métier estiment que le profil présenté contient toutes les compétences essentielles au métier et que ces compétences sont souples et bien dosées.

  43. Implantation du programme • Points additionnels déterminés lors de la rencontre : • Durée de l’apprentissage: 3 ans • Ratio compagnon/apprenti : maximum 1 compagnon pour 2 apprentis • Critères d’admissibilité et de certification : • Avoir 16 ans et être un employé.

  44. Consensus sectoriel • Document de consultation :

  45. Consensus sectoriel • Un document de consultation contenant la dernière version du profil de compétences a enfin été acheminé à 100 entreprises susceptibles d’employer des machinistes sur machine-outil conventionnelle. • Les représentants de 63 entreprises se sont prononcés sur la pertinence des compétences du profil au regard des apprentissages à effectuer en entreprise et de la qualification professionnelle. • Le rapport du consensus sectoriel démontre une large adhésion de l’industrie dans le respect des principes énoncés dans le Guide du Cadre de développement et de reconnaissance des compétences de la main-d’œuvre.

  46. Implantation du programme • Lancement officiel aux bureaux régionaux d’Emploi-Québec en présence d’experts. • Informer les entreprises du secteur de la disponibilité du nouveau programme.

  47. Planification du MÉLS sur le DEP en usinage

  48. Avis du CSMOFMI • Le programme « Techniques d’usinage », élaboré en 1999, conduit au diplôme d’études professionnelles (DEP) et prépare à l’exercice du métier de machiniste. Le programme, dans sa version actuelle, est d’une durée de 1 800 heures et comporte 27 compétences à acquérir  • Les compétences 16 et 28 sont des stages (30 heures + 90 heures = 120 heures de stage). • Les centres de formation ont le choix d’offrir la compétence 25 ou la compétence 26. • Il y a cinq compétences liées aux machines-outils à commande numérique (18, 19, 20, 21 et 22) dans le programme pour un total de 330 heures.

  49. Avis du CSMOFMI • Le programme « Usinage sur machines-outils à commande numérique », élaboré en 1999, conduit à l’attestation de spécialisation professionnelle (ASP) et prépare à l’exercice du métier de machiniste. Le programme, dans sa version actuelle, est d’une durée de 885 heures et comporte 13 compétences à acquérir • La compétence 13 est un stage. • Les compétences 1, 3, 4, 5, 6, 7 et 11 du programme sont jugées équivalentes aux compétences 1, 18, 19, 20, 21, 22 et 15 du DEP en « Techniques d’usinage » pour plus de 400 heures de formation.

  50. Cohérence de l’offre de formation • Il y a beaucoup de redondance entre le DEP en usinage et l’ASP en usinage sur MOCN. Les tableaux d’harmonisation des programmes révèlent qu’un élève qui chemine du DEP vers l’ASP en usinage sur MOCN peut se voir reconnaître des équivalences pour les compétences suivantes : • Se situer au regard du métier et de la démarche de formation  (15 heures) • S’adapter aux particularités des nouvelles organisations du travail (45 heures) • Résoudre des problèmes de mathématiques liés à l’usinage sur machines-outils à commande numérique  (45 heures) • Effectuer la programmation manuelle d’un tour à commande numérique (60 heures) • Effectuer la programmation manuelle d’un centre d’usinage (60 heures) • Usiner des pièces simples au tour à commande numérique (90 heures) • Usiner des pièces simples au centre d’usinage (90 heures) • S’intégrer au marché du travail (60 heures) • TOTAL = 465 heures • La personne qui détient un DEP n’a donc plus que 420 heures à faire dans l’ASP.

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