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TOOLBOX. Bases de données Anthropologiques. Bases de Données Anthropologiques. Introduction Base de données de notes de terrain Classification des données dans la base de données analytique Compilation de l’analyse. BUTS.

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Presentation Transcript


  1. TOOLBOX Bases de données Anthropologiques

  2. Bases de Données Anthropologiques • Introduction • Base de données de notes de terrain • Classification des données dans la base de données analytique • Compilation de l’analyse

  3. BUTS • Recueillir, comprendre et analyser les données de terrain recueillies jour après jour dans la culture locale. • Mettre en relation des représentations en relation avec certains termes dans le but de mieux comprendre la langue afin de compléter et de parfaire le travail de traduction. • Recueillir un corpus de textes qui illustrent les différents aspects de la culture étudiée. • Publier des travaux ethnographiques ou ethnolinguistiques.

  4. Plusieurs types de matériaux culturels peuvent être recueillis sur le terrain. Voici les principaux : • Observations journalières et impressions de terrain. • Diagrammes de parenté. • Généalogie. • Etudes de cas et histoires de vies. • Interviews • Différents types de textes : contes, mythes, légendes, chants… • « Cartographie » de termes lexicaux..

  5. Quand vous installez Toolbox, 4 fichiers sont requis pour paramétrer votre base de donnée anthropologique. Ils se trouvent dans le dossier « Anthro » :Program Files\Shoebox\Anthro

  6. AnthNote.db — la base de donnée de notes anthropologiques. Contient un enregistrement (le premier exemple de ce chapitre). Après avoir entré quelques fiches, vous pourrez effacer cet enregistrement exemple. • AnthCat.db — la base de données des catégories anthropologiques (dévolue à l’analyse des données). Elle contient quelques enregistrements vierges qui correspondent aux items de l’Outline of Cultural Materials (OCM).

  7. Base de données de notes anthropologiques • Cette base de données sert à enregistrer les données recueillies sur le terrain. • Voici les principaux champs (marqueurs en langage « Toolbox ») :

  8. \date • Concerne la date où l’événement a été effectivement observé. Il s’agit généralement du marqueur d’enregistrement, c’est-à-dire la clé de la base de donnée. Pour permettre le tri, il faut entrer la date sous le format suivant : YYYY-MM-DD (e.g., 1998-03-23). Trier par date permet de garder l’ordre chronologique des observations (comme un journal ou un log). Si plusieurs notes sont écrites le même jour, la date doit être suivie de lettres : a, b, c, etc. (e.g., 1998-03-23b). Si un jour a plus de 26 entrées, utiliser la forme : za, zb, zc, etc.

  9. \de • Date entered. Date de saisie.Il n’est pas toujours possible d’entrer les données le jour même de l’observation. On utilisera alors ce champ pour indiquer la date de la saisie de cette observation (ou le moment ou cette donnée a été écrite dans le carnet de terrain). La distinction est importante parce que plus le temps passe entre le moment de l’observation et sa transcription, plus les faits peuvent être altérés. Cela permet de juger, plus tard, lors de l’analyse, des distordions dans les données surtout si elles ont été enregistrées plusieurs jours voire plusieurs semaines plus tard après l’observation. On utilise le même format que le marqueur \date ou on saisit la différence temporelle, par exemple : d02 (deux jours plus tard), d15, w03 (w = semaines), y03 (y = années).

  10. \wthr • Weather. La météo du jour. Il est possible de corréler des informations / observation météorologiques avec des comportements humains ou des événements culturels / cultuels / rituels si on enregistre précisément les données sur une longue période. Si plusieurs entrées sont écrites pour un jour donné, il suffit de remplir le champ de manière chronologique.

  11. \rscr • Researcher. Le chercheur . Si plusieurs personnes sont impliquées dans e recueil de données, l’équipe utilisera ce champ pour spécifier le membre qui aura enregistré le donnés dans la base. Cela permet d’enregistrer les données de plusieurs chercheurs dans une seule base de données, et permet de faire apparaître les données de chaque chercheur isolément si nécessaire. Il est recommandé d’utiliser des initiales. (Set up a Toolbox range set for this field to ensure consistency.)

  12. \type • Type of data. Type de données. Champ destiné à spécifier le type de l’observation: information recueillie, impression, conversation informelle ou interview, source écrite (article, livre…) ou tout autre type de source. Cela permet d’évaluer la validité des données. Utilisation d’abréviations possible. (Set up a range set to ensure consistency.)

  13. \loc • Location. Localisation. Où les données ont-elles été recueillies? A la maison, au bureau, en ville sur une place, un marché? Cette information sur le lieu de l’observation peut affecter le type d’information recueillie. (Depending on how you enter the locations, you might be able to set up a range set.)

  14. \srce • Source. La source. Ce champ contient le(s) nom(s) de(s) la personne(s) qui a fourni l’information. Si les données proviennent d’une observation, la source, c’est vous (ou votre conjoint ou collègue). Si les données proviennent d’un livre ou d’un article, in convient de citer l’auteur. Concernant des conversations ou des interviews, la personne source doit être citée. • Vous devriez créer une fiche biographique dans une base de données biographiques pour chacune de ces personne en incluant : age, sexe, état matrimonial, groupe social ou/et de relations, date de naissance, statut social, etc. • Le marqueur \srce devrait être déclaré comme second marqueur et paramétré en tant que lien de donnée.

  15. \part • Participants in the data gathering. Les participants de la collecte d’information. Qui était présent durant la conversation et/ou l’interview ? Entrer les noms des personnes présentes, ou participantes ou citées lors de l’interview dans ce champ. Les gens ont tendance à ajuster les informations qu’ils délivrent en fonction de leur audience. Certaines informations ne doivent pas être partagées (ou peuvent être partagée d’une autre manière) lorsque certaines personnes sont présentes. De ce fait, les données relationnelles peuvent être utiles (par exemple, certains sujets ne peuvent être abordés devant des membres de la famille). • En ce qui concerne les commentaires sur les données biographiques, il convient de se référer au champ \srce.

  16. \data • The actual data in a fully expanded form. Les données brutes. Les données peuvent être une simple phrase ou une description de plusieurs pages. Soyez aussi extensif et détaillé que votre mémoire, vos notes et le temps vous le permettent. Qu ’avez-vous vu, entendu, compris, appris…? Vous ne prendrez parfois que quelques notes à la fois pendant une cérémonie ou une interview. Mais vous pouvez aussi vous trouver dans une situation où vous avez le temps de prendre des notes ou ne pourrez en prendre qu’après coup lorsque l’événement sera passé ou la personne partie. • La description complète doit être écrite le plu tôt possible après l’événement tant que votre mémoire est vive. (Cf. la description du champ \de). • Vous pouvez diviser de longues descriptions en de multiples entrées de manière à ce que vous puissiez utiliser le champ \anth pour retrouver uniquement les données utiles et pas la description complète.

  17. \anth • Anthropology category. Catégorie anthropologique. Ce sont les catégories (ou mots clés) que vous sélectionnez pour classifier vos données dans les fiches. Beaucoup de chercheurs utilisent les codes de l’Outline of Cultural Materials (OCM) — aussi appelés codes HRAF. L’OCM est une compilation de plus de 900 catégories permettant d’organiser et de classer les données culturelles. Cela est très utile dans l’organisation de la recherche dans la mesure où cela permet de détecter les domaines ou sujets encore à compléter. • OCM est recommandé — cela en vaut certainement la peine — mais certains chercheurs vont trouver vouloir rajouter certaines catégories personnelles. Toolbox peut facilement gérer cela. • (Set up a data link from this field to the \anth field in the analysis database. This will ensure consistency when entering data and let you jump to the topic record when compiling the analysis.)

  18. \mtrl • Related materials not on the computer. Matériaux annexes qui ne sont pas stockés sur l’ordinateur. • Ce champ est à utiliser pour classer les informations non textuelles ainsi que le lieu de leur stockage: • Photographies, • Dessins, croquis, plans… • Enregistrements audio and video, • Objets, • Matériaux publiés et non publiés en relation avec le sujet.

  19. \hypo • Hypothesis by the researcher. Hypothèse du chercheur. Les données peuvent suggérer certians hypothèses qui doivent être vérifiées. Par exemple, les données peuvent induire le fait que « les biens sont possédés par les hommes mais que les femmes possèdent les animaux domestiques » (cela est vrai de certians groupes au Brésil) ; ou alors « seuls les hommes peuvent posséder des fétiches personnels » (cela est vrai de certains groupes en Afrique). • Une fois que l’hypothèse est posée, vous pouvez être à l’affût d’autres données qui soit réfutent soit confirment l’hypothèse en question.

  20. \q • Questions for further investigation. Les Questions induisant les recherches futures. • Ce champ est à utiliser afin de lister les données qui devront être collectées plus tard. Lorsque vous enregistrez vos données, vous pouvez manquer d’informations sur certains points qui pourront necessiter une nouvelle enquête de terrain. • Par exemple, s’il s’agit d’une entrée concernant le marché, des questions possibles pourraient être : « Que vendent les hommes? Que vendent les femmes? Est-ce que des personnes étrangères au village / à la ville vendent des produits qui ne sont pas vendus par les marchands locaux ? »

  21. \cf • Confer, compare. Champ de référence. Ce champ est à utiliser pour lier des données entre elles et que vous considérez comme fortement corrélées. • Entrer la date de l’autre entrée. Mettre en place le lien de données (data link) de ce champ vers le champ \date. • Cela va assurer la cohérence (consistency) entre les données et permet de « sauter » vers les données en relation lors de la compilation de l’analyse.

  22. \nt • Notes. • Ce champ est à utiliser pour enregistrer les notes ou les commentaires en relation avec le sujet de la fiche.

  23. \dt • Date last edited. Date de la dernière consultation / édition de la fiche. Ce champ contient la date du moment où le fiche a été consultée pour la dernière fois. Ce champ peut être réglé de lmanière à ce que Toolbox le mette à jour automatiquement.

  24. Exemple (p.7) L’enregistrement suivant est un exemple de fiche typique de la base de données de notes anthropologique. C’est un enregistrement abrégé du premier voyage d’un anthropologue dans un marché de l’Ouest africain.

  25. Commentaires sur les champs de données

  26. commentaires • Les lieux sont saisis dans deux champs \loc séparés. Cela permet à Toolbox d’indexer à la fois les termes marketplace et Tehini (si l’on trie les données par lieux). • La même chose s’aplique au champ \anth . Traditionnellement, on classe les informations dans un seul champ: • \anth 443 Marketing, 252 Food preparation, 263 Condiments • \anth <443><252><263> • Entrer les codes anthropologiques de cette manière permet à Toolbox d’indexer le premier code uniquement. Il est plus efficace de créer un champ \anth par code.

  27. Les participants sont enregistrés dans un champ \part unique. Il n’est pas nécessaire de créer un champ \part par participant. • Si l’on désire mettre l’accent sur un participant, on peut utiliser la commande filtre ou recherche.

  28. Dans cet exemple le champ \data contient plusieurs ‘…’ . C’est pour raccourcir l’exemple présenté ici. Il est a noter que si les données sont trop abondantes, elles deviennent difficiles à analyser. Le nombre de sujets signifiants devient alors difficile à gérer et la recherche d’informations dans un long texte demande une lecture soutenue et concentrée. 

  29. Dans ces cas, Il convient de les splitter en plusieurs enregistrements \data plus courts (les coupures peuvent mêm être arbitraires au démarrage). Ces éléments de données peuvent alors être classées plus facilement et plus précisément (parce que l’on a affaire avec de plus petits tronçons). Ainsi les codes OCM deviennent plus visibles et cela est important lors de la comparaison des données. 

  30. Il convient donc, dans Toolbox, d’enregistrer ces tronçons en tant que fiches séparées de cette manière : • \date 1997-02-26a • \date 1997-02-26b • \date 1997-02-26c

  31. Il est à noter que la date de saisie des données se positionne deux jours après la date de l’observation. Cela indique que la transcription a été faite alors que l’observation était encore fraîche. • Ceci dit, entrer la date sous la forme 1997-02-28 implique que le lecteur compare les champs \date et \de. Comme mentionné lors de la description du champ \de, une autre approche est de noter la différence temporelle plutôt que la date en elle-même. • Par exemple, d02 (deux jours après), d15, w03 (w = semaines), y03 (y = années), etc. Trier le champ \de montrera alors une information plus pertinente au début de la liste de résultats qu’à la fin.

  32. Le champ \cf fait référence à une autre entrée (ici la date : 1996-10-05). • Cela indique qu’il y a des informations fortement corrélées et qu’il serait utile de lire cette fiche.

  33. Plusieurs champs font références à la cohérence des données. Pour plus d’information sur les propriétés des données, les intervalles (range sets) et les liens entre données, il convient de consulter l’aide de Toolbox sur la commande de « vérification de la cohérence » du menu « outils ». • Les liens entre données permettent de sauter facilement à l’information corrélée. Pour plus d’informations sur les sauts, il convient de consulter l’aide de Toolbox sur la destination de sauts dans le menu des propriétés de la base de données (menu « Base de données »  « Propriétés »).

  34. Classement des Données

  35. Des catégories bien organiséessont essentielles dans l’organisation des données • En anthropologie sociales et culturelles, on trouve plusieurs systèmes de classements • L’une des plus populaires sont les Outline of Cultural Materials (OCM). Cette classification propose nombre de catégories de sujets classées du général au cas particulier. • Les deux clés permettant d’extraire les données pertinentes lors de la compilation et de l’analyse sont de: • classer les entrées en catégories pertinentes • croiser les données fortement corrélées

  36. Outline of CulturalMaterials (OCM) • Voici un extrait de la table : • 76 MORT • 761 Viet et Mort • 762 Suicide • 763 Mourir • 764 Funéraillesl • 765 Deuil • 766 Pratiques mortuaires déviantes • 767 Spécialistes de la Mort • 768 Réajustements social face à la mort • 769 Culte asssociés à la mort

  37. Pour chaque sujet, l’OCM propose une description approfondie et une liste des sujets associés. Voici l fiche concernant le deuil: • 765 DEUIL — durée de la période de deuil; comportement de l’épouse et des autres parents après le deuil (par exemple, habits de deuil, rites, tabous, sacrifices…) ; traitement des reliques (par exemple, préservation du squelette ou de la tête, des os, utilisation des cheveux et des artéfacts); visite de la tombe; fêtes mortuaires; exhumation, secondes funérailles and ré-enterrement; cérémonies de fin de deuil, etc. • Voir aussi: • Chasseur de têtes 721 • cannibalisme, 266 • Statut de la veuve 589

  38. L’ OCM est un excellent schéma d’organisation. Les descriptions de chaque sujet est une aide précieuse pour la recherche. • Comme montré dans l’exemple d’enregistrement précédent, il est possible d’entrer le code OCM approprié comme catégorie dans le champ \anth pour classer les notes anthropologiques.

  39. Inclure des étiquettesavec les codes numériques • Il est possible d’ajouter des sous-catégories personnelles. • Par exemple, le sujet 136 faune ne permet pas de différencier différents types d’animaux culturellement signifiants. • Nous pourrions ajouter l’étiquette 136 chien, 136 cochon, et 136 jaguar pour permettre la distinction utile sans perdre le group commun « faune » du code 136.

  40. Saisir des catégoriesdans un seul champ • Il y a d’autres manières de saisir les catégories. Certains chercheurs aiment à entrer les codes dans un champ (avec ou sans les étiquettes) : • \anth 763 mort, 764 funérailles, 765 deuil, 292 vêtements spéciaux • \anth 763, 764, 765, 292

  41. Dans ces exemples, le délimiteur est une virgule. Certains chercheurs préfèrent les chevrons <> ou les crochets []. Quel que soit le signe utilisé, il faut rester clair. • En utilisant cette méthode de classification, Toolbox ne pourra pas indexer toutes les données. • Toutefois, il est possible de les retrouver en utilisant les filtres et la commande de recherche.

  42. Inclure les codesdans les données • Exemple : • <225> <321> <411> <626> <689> Le roi nous montra l’arme avec laquelle il punissait les prisonniers. Elle mesurait 90 cm de long avec des pics de 1 cm afin de blesser même à travers des vêtements épais. Il nous raconta dans quelles circonstances il l’utilisait: • sur un homme saoul à Wamkana <579> • et sur un groupe qui en avait contre un homme. <579> <794> <578>

  43. L’avantage d’inclure les codes c’est qu’ils sont proches des données qui les auxquelles ils se réfèrent. La commande « trouver » peut ainsi pointer les données afférentes et y placer le curseur. Le désavantage est que ces codes ne peuvent être indexés par Tollbox.

  44. Distinction des catégories primaires et secondaires • Certains chercheurs désirent faire une distinction antre les catégories primaires et secondaires. En lieu et place d’un seul champ \anth, il est possible d’utiliser deux champs de catégories: • \anthp prim (primaire) catégorie anthropologique • \antha autre (seconde) catégorie anthropologique

  45. Cette méthode permet de chercher les enregistrements les plus pertinents sur un sujet donné. Cependant il n’est pas possible d’indexer la base de donnée sur tous les sujets parce que Toolbox n’indexe que les donnés du champs primaire alors que les catégories sont stockés dans deux champs différents. • Voici une autre méthode pour reconnaître la catégorie primaire: entrer le code dans un unique champ /anth avec le code primaire en premier et le code secondaire en second. Les filtres de Toolbox sont capables de mettre en évidence le code primaire.

  46. Inclure des categories dans d’autres bases de données • Vous pouvez utiliser le champ \anth dans d’autres bases de données. De cette manière, vous pouvez lier des textes et des entrées lexicales pour l’analyse des données culturelles. Vous pouvez configurer les liens entre les données du champ \anth afin de relier des phrases de la base de donnée textuelle et des mots de la base de donnée lexicale avec comme pivot le champ \anth de la base de donnée d’analyse anthropologique: \anth 765 Deuil • Quelle que soit la méthode utilisée pour entrer les catégories anthropologiques, il est conseillé d’en appliquer autant que les données présentes dans la base. • Plus l’encodage des catégories anthropologiques sera précis, plus la base de données sera performante.

  47. Base de donnéesd’analyse anthropologique La base de données d’analyse anthropologique a comme fonction d’organiser et de compiler les résultats, les conclusions et les analyses des sujets culturels spécifiques. Chaque enregistrement correspond à une catégorie ou sous-catégorie de l’OCM précise. Voici les marqueurs de champ recommandés :

  48. \anth • Anthropology topic. The record marker contains a topic code, • label, or both (depending on what system you are using). The • examples in this chapter use OCM topic codes and labels, e.g., • \anth 765 Mourning. It corresponds to the \anth category field • in the notes database. It is a destination field in the data link in • this database that has \cf as source fields, also in data links in • anthropology notes, lexical, and text databases that have \anth • as source fields. Data links ensure consistency when entering • data and let you jump from the data to the topic record when • compiling the analysis.

  49. \s1 • Section level 1. Use this field to enter section headings and give • structure to the discussion of the topic. You can define more • levels as needed (three is usually adequate, e.g., \s1, \s2, \s3).

  50. \pp • Paragraph. This field represents a generic paragraph of text. • Use it to enter any type of text. For convenience of data entry, • you might find it useful to select \pp as the default marker for • the following field (in the Marker Properties dialog box).

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