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CRRT Protocol Continuous Renal Replacement Therapy

Outline . History Indication CRRT Method Ultrafiltration rates Choice of replacement fluidSet-up protocol . 1861 Thomas Graham, etc. use a semi-permeable membrane to diffuse urea1924 George Haas dialyse a patient during 15 minutes1927 Heparin,an anticoagulant, is available1937 Production of cellophane for filters1943 Willem Kolff makes a rotating drum dialyser1970 First artificial membrane1975-1985 Development of new techniques, i.e. adsorption, plasma exchange, filtration

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CRRT Protocol Continuous Renal Replacement Therapy

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    1. CRRT Protocol Continuous Renal Replacement Therapy ????? ??? ???

    2. Outline History Indication CRRT Method Ultrafiltration rates Choice of replacement fluid Set-up protocol

    3. 1861 Thomas Graham, etc. use a semi-permeable membrane to diffuse urea 1924 George Haas dialyse a patient during 15 minutes 1927 Heparin,an anticoagulant, is available 1937 Production of cellophane for filters 1943 Willem Kolff makes a rotating drum dialyser 1970 First artificial membrane 1975-1985 Development of new techniques, i.e. adsorption, plasma exchange, filtration … History L ’Histoire de l ’hémodialyse commence avec la découverte par Thomas Graham (1805-1869), professeur de chimie écossais, qui utilisa en 1861 une membrane végétale semi-imperméable pour séparer l ’urée de l ’urine par diffusion. En 1913 John Abel (1857-1938) et ses collègues testent le premier rein artificiel sur des chiens. L ’hirudine (anticoagulant extrait de glandes salivaires de la sangsue) est encore trop toxique pour une utilisation sur les humains. C ’est en 1924 que Georg Haas (1886-1971) utilise sa version de l ’appareil d ’Abel pour dialyser un patient en Allemagne pendant 15 minutes. L ’héparine, anticoagulant physiologique, disponible dès 1927 et la cellophane dès 1937 pour la réalisation de membrane semi-perméable sont des percées technologiques permettant de réaliser des dialyses efficaces c’est à dire avec une bonne épuration et sans risque de coagulation. En 1943 le hollandais Willem Kolff expérimente son tambour à dialyse équipé d ’une membrane cellophane constituée par du tube, utilisé comme peau à saucisses, immergé dans une solution de 100 litres de dialysat. Kolff traita 15 patients de 1943 à 1944 dont un seul survivra par déblocage de l’urètre et non par le traitement. Le traitement par hémofiltration continue artérioveineuse CAVH est développée par le Dr.Peter Kramer en 1977, technique reconnue et approuvée aux USA par la FDA Food and Drug Administration en 1982 ouvrant la porte aux techniques actuelles de l ’an 2000. 1975-1985 L’hémofiltration est appliquée aux patients hémodynamiquement instables. Méthode abandonnée à cause de sa durée et des difficultés pratiques d’utilisation. 1994 Les machines disponibles à Genève permettent d’épurer des patients qui ne supportent plus l’hémodialyse. 1998 L’hémofiltration est compétitive. La durée de traitement est équivalente à l’hémodialyse, l’équipement facilite son utilisation. L ’Histoire de l ’hémodialyse commence avec la découverte par Thomas Graham (1805-1869), professeur de chimie écossais, qui utilisa en 1861 une membrane végétale semi-imperméable pour séparer l ’urée de l ’urine par diffusion. En 1913 John Abel (1857-1938) et ses collègues testent le premier rein artificiel sur des chiens. L ’hirudine (anticoagulant extrait de glandes salivaires de la sangsue) est encore trop toxique pour une utilisation sur les humains. C ’est en 1924 que Georg Haas (1886-1971) utilise sa version de l ’appareil d ’Abel pour dialyser un patient en Allemagne pendant 15 minutes. L ’héparine, anticoagulant physiologique, disponible dès 1927 et la cellophane dès 1937 pour la réalisation de membrane semi-perméable sont des percées technologiques permettant de réaliser des dialyses efficaces c’est à dire avec une bonne épuration et sans risque de coagulation. En 1943 le hollandais Willem Kolff expérimente son tambour à dialyse équipé d ’une membrane cellophane constituée par du tube, utilisé comme peau à saucisses, immergé dans une solution de 100 litres de dialysat. Kolff traita 15 patients de 1943 à 1944 dont un seul survivra par déblocage de l’urètre et non par le traitement. Le traitement par hémofiltration continue artérioveineuse CAVH est développée par le Dr.Peter Kramer en 1977, technique reconnue et approuvée aux USA par la FDA Food and Drug Administration en 1982 ouvrant la porte aux techniques actuelles de l ’an 2000. 1975-1985 L’hémofiltration est appliquée aux patients hémodynamiquement instables. Méthode abandonnée à cause de sa durée et des difficultés pratiques d’utilisation. 1994 Les machines disponibles à Genève permettent d’épurer des patients qui ne supportent plus l’hémodialyse. 1998 L’hémofiltration est compétitive. La durée de traitement est équivalente à l’hémodialyse, l’équipement facilite son utilisation.

    4. Extracorporeal depuration in ICU 1977 : Peter Kramer performs first arterio-venous hemofiltration (CAVH) 1982 : FDA approves the CAVH 1984 : Blood pump circulated remove fluid 1994 : Clinical importance to control fluid balance 1994 The first « automatic » machine is available 2000 : higher flows machines becomes available

    6. Extracorporeal depuration in ICU 1977 : Peter Kramer performs first arterio-venous hemofiltration (CAVH) 1982 : FDA approves the CAVH 1984 : Blood pump circulated remove fluid 1994 : Clinical importance to control fluid balance 1994 The first « automatic » machine is available 2000 : higher flows machines becomes available

    8. Extracorporeal depuration in ICU 1977 : Peter Kramer performs first arterio-venous hemofiltration (CAVH) 1982 : FDA approves the CAVH 1984 : Blood pump circulated remove fluid 1994 : Clinical importance to control fluid balance 1994 The first « automatic » machine is available 2000 : higher flows machines becomes available

    10. Extracorporeal depuration in ICU 1977 : Peter Kramer performs first arterio-venous hemofiltration (CAVH) 1982 : FDA approves the CAVH 1984 : Blood pump circulated remove fluid 1994 : Clinical importance to control fluid balance 1994 The first « automatic » machine is available 2000 : higher flows machines becomes available

    13. extracorporeal depuration in NTUH SICU

    14. C.R.R.T. ??? 1.  ????? 2.  ????? 3.  ?????????,???????? (??????????) 4.  ??????;???? (Congestive cardiac failure ), ????? ( Nephrotic syndrome ) 5.  ??????? ( ARDS ) 6.  ???? 7.  ??????? 8.  ????? ( Septic shock ) : ??Cytokines? Endotoxin 9.  ????/?? (Hyperthermia ) 10.????? ( Rhabdomyolisis ) 11. ????

    15. ???????????? ???????? ????????? ????????????,??????? ??????,?????????,???????????? ??????

    16. Hemodialysis

    17. Hemofiltration HEMOFILTRATION Procédé d ’épuration extrarénale fondé sur l ’ultrafiltration du sang, sous pression hydrostatique élevée, à travers une membrane semi-imperméable, la perte d ’eau et d ’électrolytes ainsi entraînée étant compensée par la ré injection de soluté physiologique en amont (prédilution) ou en aval (postdilution) de l ’hémofiltre. {1} Dans l ’hémofiltration le transfert est du type convectif, la membrane filtrante est contenue dans un dispositif stérile appelé hémofiltre, il n ’y a pas de dialysat. La régulation du bilan hydrique est obtenue en prescrivant un volume de réinjection correspondant au volume ultrafiltré diminué de la perte de poids souhaitée. La nécessité d ’obtenir une ultrafiltration de l ’ordre de 10 lt/h au travers de la membrane supportant une pression transmembranaire acceptable tout en évitant le colmatage de ses pores par les éléments figurés et protéines nécessite une membrane à forte perméabilité hydraulique (UFR ultra filtrate rate) appelée également pente de la membrane. Ainsi un hémofiltre se distingue par une pente de membrane plus forte que pour celle d ’un hémodialiseur ou dialyseur à haute perméabilité.HEMOFILTRATION Procédé d ’épuration extrarénale fondé sur l ’ultrafiltration du sang, sous pression hydrostatique élevée, à travers une membrane semi-imperméable, la perte d ’eau et d ’électrolytes ainsi entraînée étant compensée par la ré injection de soluté physiologique en amont (prédilution) ou en aval (postdilution) de l ’hémofiltre. {1} Dans l ’hémofiltration le transfert est du type convectif, la membrane filtrante est contenue dans un dispositif stérile appelé hémofiltre, il n ’y a pas de dialysat. La régulation du bilan hydrique est obtenue en prescrivant un volume de réinjection correspondant au volume ultrafiltré diminué de la perte de poids souhaitée. La nécessité d ’obtenir une ultrafiltration de l ’ordre de 10 lt/h au travers de la membrane supportant une pression transmembranaire acceptable tout en évitant le colmatage de ses pores par les éléments figurés et protéines nécessite une membrane à forte perméabilité hydraulique (UFR ultra filtrate rate) appelée également pente de la membrane. Ainsi un hémofiltre se distingue par une pente de membrane plus forte que pour celle d ’un hémodialiseur ou dialyseur à haute perméabilité.

    18. What is renal replacement method of first choice for intensive care patients? IHD ( Intermittent hemodialysis ) CRRT ( Continuous renal replacement therapy ) SLEDD ( Slow Low-efficient Daily Dialysis ) Journal of the American Society of Nephrology, 2001

    20. IHD compared with CRRT

    21. Theoretical Advantage of CRRT Hemodynamic Stability Recovery of renal function Correction of metabolic acidosis Biocompatibility Correction of malnutrition Better removal of cytokines Solute removal Overall outcomes

    22. Disadvantage of CRRT Continuous anticoagulation Patient immobility Intensive nursing requirements Increased expense

    23. SLEDD ( Slow Low-efficient Daily Dialysis ) Fresenius 2008H delivery system Toray model 2.0 dialyzer Double lumen Duration : 6 ~ 8 hrs Blood flow : 200 ml/min Dialysate flow rate : 300 ml/min Dialysate bicarbonate concentration : 30 ~ 35meq/L

    24. SLEDD as an Alternative Low blood flow Low dialysate flow rates Prolong period of time ( 6 ~ 12hrs) Compared with IHD Hemodynamic stability Better correction of hypervolemia Adequate solute removal Cost lower than CRRT

    25. Advantage of SLEDD Less cumbersome technique Patient mobility Decreased requirements for anticoagulation Providing similar hemodynamic stability and volume control

    26. CVVHD P/D Solution : Dialysate solution 35 ~ 45% infused dextrose absorbed through the hemodiafilter Glucose delivery 5.8 g/hr (P/D 1.5%, rate 1L/hr) Impact nitrogen and carbohydrate balance

    27. CVVHD Continuous Veno-Venous hemodiafiltration EXEMPLE DE DIALYSE A HAUTE PERMEABILITE Dans cet exemple d ’un patient souffrant d ’une amylose liée à la dialyse d ’où le choix d ’un dialyseur à haute perméabilité, un débit sanguin de 300ml/min est préconisé en fonction de l ’abord vasculaire du patient. Le débit du dialysat est conservé, 500ml/min étant une valeur communément utilisée. Le volume d ’ultrafiltrat est fixé en fonction de la perte de poids désirée. La durée du traitement reste normalement inchangée soit ici 4 heures. La machine de dialyse s’assure que le débit d’ultrafiltrat net correspond bien à la valeur déterminée. Si c ’est par exemple 10ml/min, soit 2,4l pour 4h, le débit du sang à la sortie est de 510ml/min. Cependant, les conditions dans le dialyseur varient avec un débit de filtration plus élevé du côté artériel et une rétrofiltration du côté véneux. Si la qualité micro biologique du liquide de dialyse est bonne, le phénomène de rétrofiltration n’entraîne pas de réels problèmes. Réf. [7]EXEMPLE DE DIALYSE A HAUTE PERMEABILITE Dans cet exemple d ’un patient souffrant d ’une amylose liée à la dialyse d ’où le choix d ’un dialyseur à haute perméabilité, un débit sanguin de 300ml/min est préconisé en fonction de l ’abord vasculaire du patient. Le débit du dialysat est conservé, 500ml/min étant une valeur communément utilisée. Le volume d ’ultrafiltrat est fixé en fonction de la perte de poids désirée. La durée du traitement reste normalement inchangée soit ici 4 heures. La machine de dialyse s’assure que le débit d’ultrafiltrat net correspond bien à la valeur déterminée. Si c ’est par exemple 10ml/min, soit 2,4l pour 4h, le débit du sang à la sortie est de 510ml/min. Cependant, les conditions dans le dialyseur varient avec un débit de filtration plus élevé du côté artériel et une rétrofiltration du côté véneux. Si la qualité micro biologique du liquide de dialyse est bonne, le phénomène de rétrofiltration n’entraîne pas de réels problèmes. Réf. [7]

    28. CVVHD Glucose dynamics during continuous hemodiafiltration Lipogenesis in the liver Excessive carbon dioxide production ? MV (minute ventilation) Hyperglycemia Preventing glucose overload Dextrose free dialysate Glucose load from dialysate Conclusion Dextrose free : loss is small and predictable

    29. Ultrafiltration rates ? Recommend 2L per hour or more 20 ml/hr/kg : 41% (survival rate) 35ml/hr/kg : 57% 45ml/hr/kg : 58% High treatment doses might be difficult Early start of treatment : improved outcome

    30. Early and Intensive Continuous Hemofiltration for severe renal failure after cardiac surgery Early : 2.8 days post-op Too late in the post-op Leading prolonged and poorly controlled uremia Restricted nutrition Volume overload Intensive : 2 L/hr urtrafiltration rate Limited intensity leading to inferior uremic control with its attendant sequel Actual mortality : 40% vs 66%

    31. Hemofiltration with predilution or postdilution La prédilution et la postdilution La prédilution permet de remplacer le liquide éliminé par le filtre avant que le sang ne soit épuré. L ’avantage de la prédilution est une diminution de l ’utilisation d ’un anticoagulant, la diminution du risque de boucher le filtre d ’où une plus grande durée d ’utilisation de celui-ci. L ’inconvénient est une dilution du sang avant le filtre et que pour un débit identique, la clairance (épuration) du sang est diminuée. La postdilution permet de remplacer le liquide éliminé par le filtre après que le sang ne soit épuré. L ’avantage est une clairance maximum mais une déshydratation maximum du sang. « Une étude (Abstract of the 1997 CHT par P.M. HonorE, X.Wittebole et M.Lemaire de Intensive Care Dept.-St Pierre Hospital B.1340 Ottignies) montre les bénéfices de la prédilution, dans des cas de patients en état critique, en ce qui concerne la réduction de l’héparine 451U/H contre 742U/H pour la postdilution et un nombre moindre de cas de saignement 1 contre 4 en postdilution pour une durée d ’efficacité de filtre équivalente soit 32.3H contre 33.9H pour la postdilution. Le mécanisme impliqué paraît être la réduction de la pression oncotique plutôt que quelque autre système impliquant le calcium. » La prédilution et la postdilution La prédilution permet de remplacer le liquide éliminé par le filtre avant que le sang ne soit épuré. L ’avantage de la prédilution est une diminution de l ’utilisation d ’un anticoagulant, la diminution du risque de boucher le filtre d ’où une plus grande durée d ’utilisation de celui-ci. L ’inconvénient est une dilution du sang avant le filtre et que pour un débit identique, la clairance (épuration) du sang est diminuée. La postdilution permet de remplacer le liquide éliminé par le filtre après que le sang ne soit épuré. L ’avantage est une clairance maximum mais une déshydratation maximum du sang. « Une étude (Abstract of the 1997 CHT par P.M. HonorE, X.Wittebole et M.Lemaire de Intensive Care Dept.-St Pierre Hospital B.1340 Ottignies) montre les bénéfices de la prédilution, dans des cas de patients en état critique, en ce qui concerne la réduction de l’héparine 451U/H contre 742U/H pour la postdilution et un nombre moindre de cas de saignement 1 contre 4 en postdilution pour une durée d ’efficacité de filtre équivalente soit 32.3H contre 33.9H pour la postdilution. Le mécanisme impliqué paraît être la réduction de la pression oncotique plutôt que quelque autre système impliquant le calcium. »

    32. Double lumen : Re-circulation rate 250cc/min blood flow Subclavian , internal jugular vein < 3% Catheter length Femoral vein 24cm : 10% 15cm : 18% 400 c.c/min blood flow 38% in the femoral vein

    33. Double lumen : Re-circulation rate 298 c.c/min blood flow Femoral vs Subclavian : 16.1% vs 4.1% Femoral cath 13.5 cm vs 19.5 cm : 22.8 ±3.0% vs12.6 ±1.7%

    34. Choice of replacement fluid Acetate-Based fluids Hyperacetatemia?peripheral vasodilator, myocardial depressant effect Acetate metabolism ? ?oxygen consumption Bicarbonate-Based fluid ?SVR, ?CI Lactate-Based fluid ? lactate : ? protein catabolism ?ADP level and impair oxygen delivery and ventricular function (myocardial depression) Excessive accumulation of D-lactate ? ?IICP

    35. Effects of bicarbonate and lactate-buffered replacement fluids on cardiovascular outcome in CRRT patients Bicarbonate Replacement Fluid : recommended in patients with lactic acidemia and severe liver failure Improve cardiovascular outcome in critically ill patients with acute renal failure International Society of Nephrology 2000

    36. CVVH Solution Formula

    38. Anticoagulation Heparin free : flush 50 ~ 100 cc N/S Q1h Citrate Heparin : PTT 45 ~ 65 sec

    39. SICU CVVH Protocol Double : R’t Jugular > Femoral Blood Flow : 150 ~ 200 c.c/min UF rate : 1L/hr ~ 2L/hr ????? Blood Flow : 150 c.c /min 1L/hr Blood Flow : 200 c.c /min 2L/hr Replacement Fluid : ???????

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