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Pour un modèle de e-Préparation microfondée

Pour un modèle de e-Préparation microfondée. Andrea Gumina LUISS G.Carli – Rome agumina@luiss.it. Secteur de recherche: un indice. 1. Introduction: le r ô le des TIC dans le développement en général. 2. Objectifs, fonctions et modèles de e-Préparation 3. Pour une e-Préparation microfondée

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Pour un modèle de e-Préparation microfondée

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Presentation Transcript


  1. Pour un modèle dee-Préparation microfondée Andrea Gumina LUISS G.Carli – Rome agumina@luiss.it

  2. Secteur de recherche: un indice 1. Introduction: le rôle des TIC dans le développement en général. 2. Objectifs, fonctions et modèles de e-Préparation 3. Pour une e-Préparation microfondée 3.1 Acception de Gouvernement électronique et modèles de e-Préparation 3.2 Pour une vision de e-Préparation plus specialisée 3.3 Objectifs, indicateurs, mesurages 4. Conclusions

  3. Expériences dans le monde • L’essai probablement le plus réussi de classifier, ou, au moins, de relater les différentes approches dans le contexte de l’e-Préparation peut être attribuer à l’initiative InfoDev de la Banque Mondialewww.infodev.org/files/2049_file_InfoDev_E_Rdnss_Rpt_rev11May05.pdf

  4. Les approches principales (1) Méthodologie pour le mesurage: • La méthodologie du Centre pour le développement international de l’Université de Harvard, “Readiness for the networked world” (www.readinessguide.it) • La méthodologie de e-Préparation de l’Economist Intelligence Unit (http://graphics.eiu.com/files/ad_pdfs/2005Ereadiness_Ranking_WP.pdf) • La Knowledge Assessment Methodology de la Banque Mondiale (http://web.worldbank.org/WBSITE/EXTERNAL/WBI/WBIPROGRAMS/KFDLP/EXTUNIKAM/0,,menuPK:1414738~pagePK:64168427~piPK:64168435~theSitePK:1414721,00.html) • L’e-Government Readiness Index de l’UNPAN, l’agence des Nations Unie pour les Administrations Publiques (http://www.unpan.org/egovernment5.asp) • La méthodologie de mesurage du Digital Divide de Orbicom (http://www.orbicom.uqam.ca/in_focus/publications/details/2005_ddi.html) • La méthodologie de l’ITU – pour mesurer les opportunités numériques, l’indice DOI. (http://www.itu.int/osg/spu/statistics/DOI/index.phtml)

  5. Les approches principales (2) Approches pour la systématisation: • UNCTAD, l’Agence des Nations Unie pourle développement du commerce (www. http://www.unctad.org/Templates/WebFlyer.asp?intItemID=3591&lang=1) • ITU (www.itu.int/ITU-D/ict/partnership/material/05-42742%20GLOBAL%20ICT.pdf) . • Essaie de UnderStand • Manchester University sur les modèles de Gouvernement électronique (eGov)

  6. Quelques conclusions (1) • Une première conclusion assez évidente est que les modèles de e-Préparation qui ont été developpés jusqu’à présent ne sont utiles que pour créer les bases d’une comparaison de certains indicateurs à niveau international – et, en effet, il semble que les travaux les plus intéressants sont ceux qui se bornent à la création d’une base de métadonnées. • Il n’est pas certain que les définitions de e-Préparation qui sont généralement données soient appropriées pour définir tout ce qui se trouve à la base du lien entre la capacité d’un organisme d’introduire à son intérieur les TIC, et les bénéfices de ces derniéres (qu’ils s’appellent développement, croissance ou revenu), et donc pour définir des indices quali-quantitatifs à même de mettre en lumière ces éléments

  7. Quelques conclusions (2) • D’un coté, il faudrait certainement développer des modéles de e-Préparation plus adaptés à saisir les aspects liés à l’impact des TIC sur les communautés auxquelles sont appliquées, et de l’autre il faudrait approfondir le niveau d’analyse à niveau microéconomique. • Une autre critique est liée à la faible disponibilité de données qui permettent de soutenir ce type d’analyse “plus pertinente”, et au besoin d’éviter, si possible, le développement de méthodologies trop originelles, et donc, difficilement comparables; • Il faut en suite ajouter un besoin objectif et croissant de ne utiliser que des données quantitatives, mais aussi qualitatives, à fin de pouvoir saisir certains éléments concernants l’amélioration de l’impacte socio-économique ou l’efficacité, effective ou potentielle, des politiques basées sur les TIC (ICT-driven).

  8. Une hypothèse de modèle: principes de base (1) Le modèle que nous allons essayer de définir, au moins dans sa forme de base, ne concerne spécifiquement que les politiques de e-Gov et non l’introduction générale des TIC dans un contexte déterminé, d’abord, parce que la vision qu’on veut donner du développement basé sur les TIC d’une organisation ou d’un territorire, est assez vaste, et, en deuxième lieu, car on se réfère indifféremment à des acteurs publics ou privés. (2) Noua allons essayer, en deuxième lieu, de clarifier le potentiel d’observation pour les modèles de e-Préparation, c’est-à-dire quelles sont ses finalités. (3) En troixième lieu, nous allons examiner le besoin de fonder notre approche sur des bases micro-économiques, sujet directement liè aux deux précédents.

  9. L’approche: eGov et role de l’e-Préparation • Profondement inspirée à la Gouvernance électronique • Le modèle de e-Préparation a un rôle bien plus specialisé, puisqu’il doit essentiellement servir • à concevoir, définir et monitorer une politique d’introduction d’un modèle de croissance interne (de l’organisation) et externe (de la valeur pour sa collectivité) qui se base sur une utilisation vaste et penetrante des TIC (assorties d’une réorganisation, d’une définition des services ciblés sur les usagers, d’une adptation du contexte et d’une qualification des ressources humaines), (1a) d’un point de vue de la capacité de l’organisation ou du territoire de la transposer et de la traduire dans les résultats attendus (1b) dans la phase successive de monitorage (2) Et, enfin, à fournir des éléments précis concernants la mise à point des politiques en question, l’amélioration des résultats potentiels et la poursuite discretionnaire ou la variation des objectifs supposés.

  10. “E-Prêts” à faire quoi? • A ce point, il est essentiel s’entedre sur la question des produits (output) et des résultats (outcome) prévus ou prévisibles: sinon, nous sommes “e-prêts” à faire quoi? Plus on devient précis sur les effets et sur le rôle que l’introduction des TIC devrait engendrer, plus il est logique de parler de niveaux microéconomiques d’analyse de l’e-Préparation. Autrement, on risque d’obtenir des résultats trop vagues, en limitant la portée de ces modéles ou à un simple exercise de monitorage d’une série de facteurs, dont le “bénéfice” en termes de possibilité pour l’eGouvernance de connaître une application qui résulte aussi efficace est assez faible, ou en réduisant tout le travail à une simple analyse comparative.

  11. 7 catégories pour une e-Préparation plus specialisée Il faut donc déplacer progressivement notre attention vers une forme de e-Préparation plus specialisé. Cela implique naturellement la necessité de multiplier les efforts conceptuels autour du modéle à adopter, qui sera développé autour de 7 catégories de variables: • Organisation / territoire de référence, • Usagers impliqués, • Objectifs et résultats poursuivables, • politiques ICT-enabled à adopter (soit directes soit “indirectes”, c’est-à-dire de contexte), • Facteurs affectés, • Systèmes de monitorage, • Actions de mise à point.

  12. Le modèle de base Le point de départ, d’où vient la philosophie du rôle des modéles de changement ICT-enabled (e-Gouvernance), de leur impacte et des variabiles à mesurer (et donc par rapport auxquelles il faut procéder pour élaborer notre notion de e-Préparation), est le modèle eGEP, que les chercheurs d’eG4M ont developpé dans le contexte d’un étude commissioné par l’Union éuropéenne.

  13. Modèle eGEP (base)

  14. Instruments offerts par un modèle de e-Préparation • Quels sont les objectifs poursuivis par l’introduction d’une stratégie spécifique d’e-Gouvernance? Comment peut-on en mesurer leur obtention? • Quelle est le niveau / la dimension administrative qui peut poursuivre cet objectif? • Quels sont les usagers affectés? • Quels elements nous permettent d’atteindrec ces objectifs, à ce niveau administratif, par rapport à ces usagers, si nous introduisons une certaine stratégie d’e-Gov? • Quelles actions / corretions sont-elles nécessaires? Et comment les mesurer?

  15. Quatre niveaux de modèles de e-Préparation (1) • Un premier niveau de modèles est de type macroéconomique et générale: il s’agit, en pratique, de la typologie qu’on rencontre plus habituellement aujourd’hui, et qui vise à saisir, par une série spécifique d’indicateurs dérivants d’un relevé directe ou de façon secondaire, quel est le potentiel d’accueil des TIC dans un Pays. Tous les modèles d’e-Préparation qui ont été relevés au début rentrent dans cette catégorie. • Un deuxième niveau de modèles pourrait être de nature macroéconomique sans être générale : donc, il pourrait toujours concerner les Systèmes Pays, essayant cependant de saisir des éléments spécifiques qui nous indiquent comment des stratégies spécifiques d’e-Gouvernance permettent d’atteindre certains objectifs. Par conséquant, ils peuvent nous indiquer quelles sont les variables à monitorer pour comprendre la capacité d’accueillir ces avantages et quelles sont les politiques macroéconomiques à entamer pour suivre cette direction. L’eGEP, pendant cette phase tout à fait préliminaire, pourrait représenter un bon example de ce type de modèle.

  16. Quatre niveaux de modèles de e-Préparation(2) • On pourrait définir un troisième niveau de modèles comme macro- microéconomique sans être générale. Dans ce cas, il faut s’occuper de niveaux administratifs et territoriaux spécifiques, et d’objectifs d’eGouvernance pas tout à fait spécialisés. Par exemple, il faudrait essayer de comprendre comment l’introduction d’une stratégie assez vaste d’eGouvernance dans une Région ou dans une Commune puisse affecter une série de variables, et donc comprendre quels éléments peuvent contribuer à une maximalisation de ces effets. Dans ce cas, l’e-Préparation est relative, c’est-à-dire elle vise à saisir l’état de l’art, avec une série de variables, dont la présence optimale produit une combinaison qui permet de maximaliser les effets d’efficience, interne et externe, et d’efficacité des politiques d’e-Gouvernance. • Un quatrième niveau macroéconomique, visant à saisir le “niveau de préparation” et les effets potentiels des administrations ou des niveaux organisationnels spécifiques, par rapport à stratégies specialisées (comme, p.e., le niveau d’e-Préparation par rapport à une stratégie promotionnelle du tourisme en ligne, qui n’a été appliquée qu’aux agences qui s’occupent de ce sujet). Ce type de modèle dérive de la même approche philosophique contenue dans le troisième niveau de modéle, mais il est calibré pour repondre à exigences et demandes très spécifiques: donc, il est moins adaptè à une analyse générale, et plus à des “audits” individuels sur des sujets déterminés.

  17. Trois phases pour recueillir objectifs, indicateurs, mesurages (A) Pendant la première phase il est nécessaire définir avant tout le type d’impacte qu’on peut s’attendre de l’introduction d’un procédé d’innovation ICT-enabled aussi pénétrant. En reprenant eGEP (cfr.), on peut dire que les objectifs d’une stratégie générale d’eGouvernance pourraient etre renvoyés à deux macrocatégories: la première de nature sociale (résultat 1), la deuxième de nature productive (résultats 2-4). C’est-à-dire, en suivant cet ordre: • Accroître l’efficacité du service public, grâce à services améliorés et plus ciblés sur les exigences des usagers. • Accroître l’efficience du service public, reduire les coûts de fourniture de chaque service individuel, en gardant ou augmentant au même temps la performance. • Accroître la productivité du secteur public • Affecter positivement le PIB, par rapport aux usagers dans le territoire de compétence On doit tenir compte du point 4 avec prudence,

  18. (B) En partant de ces quatre “résultats” attendus (efficacité, efficience, productivité, PIB), la phase successive devrait permettre d’approfondir la relation fonctionnelle, déjà produite dans eGEP, qui existe par rapport à l’introduction des plans d’e-Gouvernance, en définissant une série plus complète de variables qui permettent de “saisir” les variations nécessaires pour engendrer un impacte sur les résultats. Cette activité peut concerner une classification par indicateurs d’impacte internes et externes (par rapport à l’Administration). Pendant cette phase, il pourrait être utile partir de la série de variables du Measurement Framework d’eGEP et de celles proposées dans le projet UnderStand, pour au moins deux raisons: tout d’abord, elles sont le produit d’un effort significatif en termes conceptuels pendant un an; en deuxième lieu, leur définition dérive d’une approche partagée par groupes d’Administrations ou de responsables publics, même si encore restreints, qu’on pourra utiliser dans de futures activitès de normalisation et de reproduction des observations.

  19. (C) Une fois qu’on aura identifier cette relation fonctionnelle avec exactitude, elle doit être remplie. Cette troisième phase constituira, d’un coté, la prise en compte du statu quo d’une série de valeurs (avant l’introduction d’une stratégie d’e-Gouvernance), de l’autre, le point de départ pour un parcours en cinq étapes, autour duquel il faudra construire le résultat de la vérification de l’e-Préparation : • Il faut traduire la stratégie d’e-Gouvernance supposée en éléments chiffrés, liés aux cinq macrocatégories autour desquelles on est en train de construire un projet : technologie, organisation, ressources humaines, services, legislation / règlements. Il sera nécessaire élaborer une série d’indicateurs qui permettent de “saisir” les éléments que cette stratégie pourrait introduire. • Pendant la deuxième étape, il faut vérifier comment cette stratégie pourrait se traduire en impactes sur les “outcome”, sur la base de la relation fonctionnelle qu’on a précédemment identifiée. • La troisième étape concerne la vérification des scénarios économiques et politiques: son but est de vérifier comment, en modifiant certaines variables, les résultats peuvent changer. • La quatrième étape concerne la production d’un ou plus indices d’e-Préparation strictu sensu (avec un niveau majeur ou mineur de synthése) qui pourraient maximaliser les résultats; • En fin, il faut inclure aussi dans les étapes du procédé d’e-Préparation une phase de monitorage et de retour d’information permanente.

  20. Merci de votre attention agumina@luiss.it

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