1 / 9

joel.ruet@csh-delhi,

D ynamiques des grandes agglomérations industrielles : infrastructures et recherche à Bangalore, Hyderabad, Delhi Joël RUET, Centre de Sciences Humaines, New Delhi CERNA, Ecole des Mines, Paris. joel.ruet@csh-delhi.com,. Hautes technologies en Inde :

hamlin
Download Presentation

joel.ruet@csh-delhi,

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Dynamiques des grandes agglomérations industrielles : infrastructures et recherche à Bangalore, Hyderabad, Delhi Joël RUET, Centre de Sciences Humaines, New DelhiCERNA, Ecole des Mines, Paris joel.ruet@csh-delhi.com,

  2. Hautes technologies en Inde : Technologies de l’Information (TI) vs. biotechnologies (BT) Aujourd’hui, un positionnement élevé dans la chaîne de création de valeur ajoutée: TI: firmes de niche, firmes de service: (i) capitalisation sur la modularité des logiciels, (ii) quasi-intégration avec leurs clients, (iii) accords amont avec les grands du conseil. BT: stratégie de développement d’actifs (cellules souches, cibles, bibliothèques) financé via une activité de service Conclusion: • Un même modèle: 1) financement par services, 2) capitalisation d’actifs • Un niveau déjà élevé dans la chaîne de création de valeur • Structurellement, un besoin plus élevé de partenariats industriels pour les BT (phase de montée en gains d’échelle) joel.ruet@csh-delhi.com,

  3. Technologies de l’Information • 12 Mds US$ CA en 2002-03 (60% exportésvers les USA, 24% vers l’Europe) • Une Industrie concentrée Fig 1: Revenus cumulés Big 3: TCS, Infosys, Wipro Big 6: Big 3 + NIIIT, Satyam, HCL • Avantage à la concentration historique (Bangalore) • Cependant, à la marge, (i) des stratégies publiques de connectivité (lignes à haut débit) et (ii) les coûts salariaux peuvent jouer: exemple d’Hyderabad: « It’s happening by design » joel.ruet@csh-delhi.com,

  4. Bio-Technologies • Difficulté d’avoir des chiffres pour les seules biotechnologies ‘modernes’ (ni définies par le inputs, ni par les outputs) • Le rapport Maria, Giraud, Ruet, Zérah (2002) indique une cinquantaine de compagnies impliquées dans les biotechnologies modernes en Inde • La Stabilisation des ‘Business models’ et la concentration sont en cours • R&D ‘maison’: coûteuse et hasardeuse, • collaborations avec des instituts publics: question de l’échelle industrielle, • Transferts de technologies: moins pertinent pour l’Inde, joel.ruet@csh-delhi.com,

  5. Bio-Technologies: démarrage et districts industriels • Biogénériques et recombinants Le savoir-faire en ingénierie est essentiel: la présence des industries chimiques/brasseries est essentiel: Bangalore a acquis un avantage compétitif pour des raisons locales • Compagnies Pharmaceutiques Par intégration de protéomique ou génomique: larges besoins financiers: Certaines entreprises tentent d’émuler le système des TI (service, ou bio-informatique): dans ce cas, Bangalore a un avantage comparatif, mais qui n’existe pas en général: Bombay et Hyderabad sont déjà le siège d’entreprises pharmaceutiques. Start-ups dédiées Ce sont en général des ‘spin-off’ de laboratoires publics: net avantage à Delhi, suivi de Bangalore et Hyderabad joel.ruet@csh-delhi.com,

  6. - Les BT sont plus capital-intensives, le développement appuyé sur les services est moins naturel: ancrage industriel local plus fort, - Les découvertes sont moins modulaires: la possibilité d’actifs de marque est plus faible: nécessité de partenariats à long terme, mis en place tôt dans le processus industriel. - Effet de district: la relation client-fournisseur se fait souvent à l’intérieur du Parc Technologique BT. TI: tendance naturelle à la globalisation, mais relations contractuelles de plus court-terme: les districts jouent pour des effets de marque (Bangalore ++, Hyderabad +) BT: nécessité de partenariats industriels stables; fort ancrage local (Bangalore + à terme: Delhi ++?). BT, IT et districts industriels joel.ruet@csh-delhi.com,

  7. Bureaux de TI indiennes à l’étranger Conclusions commerciales: TI • Répartition(1: North America, 2: Europe, 3: Africa, 4: Asia, 5: Australia, 6: Latin America) • La France: représente 0,7% des exportations: nous achetons aux USA la valeur ajoutée qu’ils créent à bas prix en Inde; nous ne travaillons pas assez avec les meilleures firmes de TI. joel.ruet@csh-delhi.com,

  8. Absence de chiffres sur les ‘BT modernes’, • Il existe des marges de sous-traitance et mise en commun de la recherche • Rapport Maria, Giraud, Ruet, Zérah, 2002 - Interviews de 54 firmes et laboratories en Inde, - Il n’existe pas encore de partenariat de firme à firme, - Seuls 8 partnerariats avec des laboratories étrangers (USA: 2, France: 2, Singapour: 2,Japon: 1, Royaume-Uni: 1), - 55 collaborations avec des institutions de recherche indiennes, - Sur lesquelles 24avec les 5 meilleurs centres (dont 3 à Delhi): nécessité de collaborer avec ces centres: ICGEB, CBT, AIIMS Conclusions commerciales: BT joel.ruet@csh-delhi.com,

  9. Rapport « Digital India 2001 », sous la direction de O. Bomsel et J. Ruet, CERNA, Ecole des Mines, Paris Rapport « Biotechnolgies India 2002 », A. Maria, P-N. Giraud, J. Ruet, M-H. Zérah www.cerna.ensmp.fr www.csh-delhi.com Pour aller plus loin joel.ruet@csh-delhi.com,

More Related