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L’ EXAMEN OBJECTIF INTRA-ORAL

L’ EXAMEN OBJECTIF INTRA-ORAL . L’algorithme de examen intra-oral est : L’examen du rouge des lèvres et de l’orifice buccal L’examen des muqueuses labio -jugale  L’examen du vestibule buccal maxillaire

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L’ EXAMEN OBJECTIF INTRA-ORAL

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Presentation Transcript


  1. L’ EXAMEN OBJECTIF INTRA-ORAL L’algorithme de examen intra-oral est : L’examen du rouge des lèvreset de l’orifice buccal L’examen des muqueuses labio-jugale L’examen du vestibule buccal maxillaire Examen de l’arcade dentaire-alvéolaires maxillaireExamen des dents et du parodonteExamen du voûte palatine, de l’onde palatinL'examen du vestibule buccal-mandibulaire Examen de l’arcade dentaire-alvéolaire mandibulaireExamen du plancher de la boucheExamen de la langue et les glandes salivairesL’examen des rapports occlusaux

  2. L’examination du rouge des lèvres et l'ouverture de la bouche • l'inspection • la palpation. • devant / profil • Coloration, symétrie, contour (l'arc de Cupidon), l'humidité, aspect des comisures, l'intégrité, la position, la texture. • L’orifice buccal : • - statique - la symétrie de la fente et l'occlusion labiale • - dynamique - ouvrir la bouche, l'amplitude, la symétrie • L’examinaition de la muqueuse labo-jugale • la face interne des lèvres, la zone retro-commissurale, la face interne des joues. • attention à la zone retro-commissurale - lésions potentiellement malignes ! • Coloration, l'intégrité, présence du « linea alba », l’orifice du Canal Sténon qui se retrouve à pres de molaire no 2 supérieur; l’aspect de la salive

  3. L’examination du vestibule buccal- inspection et la palpation (au doigt ou à/au fouloir On examine 1. profondeur du vestibule, s'il est normal ou modifié par résorption de la crête alvéolaire ou par la présence de formations pathologiques 2. formations mobiles représentées par le frein labial supérieur / inférieur, buccale frein ( plicialveolo-jugale( Ro)) , colliers cicatrisés • frein labial insertion - unique / multiple épaisseur - moyenne, mince, épais base d’implantation - unique / multiple

  4. Selon l'emplacement au niveau de la crête alvéolaire, l'insertion du frein labial peut être: • - Pour le frein labial supérieur • élevé -quand il est proche du fond su sac vestibulaire • moyen- quand il se retrouve approximaitvement à la moitié de la crête alvéolaire, • bas -lorsque le frein est inséré près de la marge de la gencive libre • - Pour frein labial inférieur – • bas lorsqu’il se retrouve près du fond du sac vestibulaire, • moyen quand il se retrouve aproximativement à la moitié de la crête alvéolaire, • élevé lorsque le frein est inséré près de la marge de la gencive libre • • Normalement, le vestibule buccal doit être libre, sans formations pathologiques

  5. Examination de l’arcade dento-alvéolaire • L’examen d’enseble des arcades dento-alvéolaires maxillaire et mandibulaire se fait par l'inspection. On suit les aspects suivants: • la forme de l’arcade – l’arcade maxillaire - semi-ellipse mandibulaire - parabole, aux enfants -d’arcs circulaires. formes pathologiques de l’arcade: • M (quand il existe incongruité dans la zone frontale avec rotation DM des incisives centrales, ou quand il y a des canines ectopiques), • U (quand il existe une étroiture dans la zone molaire), • V (lorsque la distance inter-canine est diminue)  • Ω (quand il y existe une étroiture dans la zone prémolaire), trapèze (lorsque la courbure frontale est aplatie).

  6. Symétrie de l’arcade- développement de l’arcade / dents présents • • Continuité de l’arcade - continue / interrompu par secouage ou diastème,lésions odontales qui abolissent le point de contact inter-dentaire, espaces prothétiques potentionellement non-prothétiques • • Type d'arcades - naturelles (uniquement des dents naturelles), artificielles (entièrement restauré par les prothèses / implants), mixte (contient des dents naturelles ainsi que des dents de prothèses, ou il existe sur l’arcade des dents permanents / définitifs ainsi que des dents de lait / temporaires). • L'examen des dents et du parodonte • L'ordre d'examen dans l’arcade maxillaire est de 1.8 à 2.8, l'arcade mandibulaire de 3.8 à 4.8 • Les dents sont examinés par l'inspection, palpation, la percussion et l‘auscultation. • Chaque dent est séchée à l'air par pulvérisation d’air pour retirer la pellicule de salive qui déforme l'image et s’examine ensemble avec son parodonte.

  7. la présence / l'absence du dent. • intègre ou non, • la pathologie qu’il présente, • la position sur l’arcade.  • lésions coronaires - indiquer quel type de lésion (carie, abrasion, fracture, etc.)  • Obturation/ inlays - la qualité de récupération morphologique par cette obturation, la matière dont elle a été faite (physionomique, non-physionomique), s'il y’a des espaces de percolation à la périphérie des marges de l’obturation (espace entre le matériel d’obturation et l’émail)  • des prothèses, - le type de prothèse (physionomique, non-physionomique) la restauration de la morphologie, l'adaptation à l'ensemble des dents

  8. Si un dent est absente on examinera l'espace crée par cette absence du dent, l'espace qui est appelé espace édenté (EE). L’espace édentée contient les éléments suivants: 1. Limites – la mesiale et la distale qui peuvent être représentées par des dents limitrophes, ou dans le cas d’edentations terminales maxilaires de tubérosité maxillaire et dans le cas d’edentations terminales mandibulaires du tubercule piriforme.2. L’amplitude – donnée par le volume coronaire des dents absents 3. Largeur vestibulo-orale représentée par la distance entre deux lignes passant par les points de convexité maximale des faces vestibulaires et orales des dents limite. 4. Hauteur - distance entre le plan d'occlusion et la bordure de la crête édentée 5. Crête édentée - classes (indices) AtwoodI = Arcade intègreII = blessure post-extractionelleIII = haute crête aiguIV = haute crête arrondieV = crête résorbéeVI = crête concave 3 4 1 2 5

  9. L’Examen parodontal • On examine le parodonte de chaque dent séparément, à partir des papilles inter-dentaires, on mesure la profondeur du sillon gingival / poches parodontales à l’aide d’une sonde parodontale, évaluation de la mobilité dentaire, le degré de saignement. • Le sondage parodontal se fait avec une basse pression afin de ne pas endommager le parodonte. Le sillon gingival est typiquement de 1,8 à 2 mm de taille. Des valeurs plus élevées sont les poches parodontales. • La mobilité dentaire s’observe en prenant le dent entre les bras des pinces dentaires et en bougeant de la pince dans un sens vestibulo-oral, mezio-distal, verticale.

  10. Les degrés de mobilité sont 0 - mobilité physiologique, 1 - La mobilité VO / MD, 2 - la mobilité VO + MD, 3 - mobilité dans tous les sens. • Le degré de saignement est évalué à la palpation mesiale et distale de la papille inter-dentaire avec la sonde parodontale et peut être quantifiée en utilisant l’indice IBP (PBI): 1 = saignements ponctuée, 2 = saignements linéaires, 3 = saignements à gouttes stabiles 4 = saignements en gouttes qui coulent.

  11. Examen de la voûte palatine • Se fait par inspection et palpation (à doigt, avec fouloir). Inspection visuelle directe de la voûte palatine est plus facilement accompli avec l'utilisation d’un miroir intra-oral. • On examine:• la profondeur de la voûte palatine: 6 - 8mm voûte palatine plat, 9-10 mm voûte palatine moyenne, 10-12 mm voûte palatine profonde, ≥ 12 mm voûte palatine ogivale (très profonde). • Forme sur section - U, V, arc gothique • Symétrie

  12. Le palais mou( le voile du palais) est facilement visible à l'examen direct en appuyant sur la langue postérieure avec un abaisse-langue et en instruire le patient à dire "Ahhh". • A la palpation digitale avec l’index sur la ligne médiane, le médecin peut sentir l'existence ou l’absence du tore palatin (une exostose sur la ligne médiane du palais dur au niveau des sutures entre les os du palais).

  13. A la palpation avec le fouloir - la résilience des muqueuses = degré de colmatage de la muqueuse sur le plan osseux, et qui est quantifiée par les indices de résilience: • 0- le raphé médian, • 1- sur le bord de la crête et sur les versants vestibulaires et orales 2/3 à partir du bord, • 2 - 1/3 basale de la crête, • 3- zone des crêtes palatines transverses, • 4- zones de glissage Schroder

  14. L'examen de la langue La surface dorsale de la langue est plus facilement visualisée par le patient se tirant la langue et en essayant de toucher bout du menton. Sinon, le bout de la langue peut être comprise par les doigts et en éponge de gaze Les bords latéraux de la langue peuvent être examinés en saisissant le bout de la langue avec une compresse de gaze, en l'étendant, et en le tournant latéralement. • La tonicité - manœuvres Netter: • le patient pousse la langue vers les joues et le médecin s'oppose au mouvement avec le doit, • le patient conduit la langue vers le nez faisant pression sur miroir dentaire, • le bout de la langue comprise en éponge de gaze est de tirer par le médecin vers l'extérieur de la bouche et le patient doit s’opposer au mouvement.

  15. L'examen du plancher de la bouche Le plancher de la bouche, similaire à la muqueuse buccale, est de couleur rose saumon. L'hôte des glandes sous-mandibulaires (les conduits de Wharton) sont présentés comme deux papilles de chaque côté du frein de la langue.

  16. L’examen des rapports occlusaux • les paramètres de la morphologie occlusale, l’occlusion statique et l’occlusion dynamique. Les paramètres de la morphologie occlusale • les zones occlusales formées de surfaces occlusales des molaires et des prémolaires et des bords incisifs, • les cuspides de soutien représentés par les cuspides palatins maxillaires et vestibulaires- • les cuspides de guidage, cuspides vestibulaires-maxillaires et linguales-mandibulaires, • pente retro-incisive, • les courbes d'occlusion sagittale et transversale, • la courbure frontale • le plan d'occlusion

  17. L’occlusion statique - plan sagittal, transversal et vertical. • PLAN SAGITTAL - la clé Angle: • R. Molaire classe I Angle – l’axe du cuspide mésio-vestibulaire du premier molaire supérieure se projette dans la fosse inter-cuspide entre le cuspide mésio-vestibulaire et centro-vestibulaire du premier molaire inférieure. • rapports distalisés il s'agit de la IIème classe d’Angle. • rapports mesialisés il s’agit de la IIIème classe d’Angle • R. Canine – l’axe vertical de la canine supérieure se projette sur la face distale du canin inférieur. • R. Incisive – représentée par «over-jet » =o N

  18. PLAN TRANSVERSAL • l’arcade maxillaire couvre et dépasse avec une cuspide l’arcade mandibulaire • frontal les lignes inter-incisives coïncident une à l’autre et avec le plan médio-sagittal. • PLAN VERTICAL • incisif - le degré de couvrement des incisifs inférieurs par ceux supérieurs représentée par ‘’over-bite ‘’ - 1/3 normale

  19. EXAMENS COMPLÉMENTAIRES l'étatgénéral- tests en laboratoire (examen sanguin) -lestestsd'allergie. • l'état local -l’examen cytologique, • -histopathologique, • -bactériologique, • la thermographie, • l’examen de la salive, les tests de susceptibilité des caries, • l’examen photo-statique, • l’étude de modèle, les rayons X , CT, IRM, -d’investigation sur l’état général -d’investigation de l’état local

  20. L’étude de modèle • fournit des données supplémentaires par rapport à l’examen local en aidant à établir un diagnostic final. • L’examinationdu modèled’étudeest similaire à l’examen intra-oral, à commencer par l'examen du modèlemaxillaireensuitel’examinationdumodèlemandibulaire, enfin, examinerlesdeuxmodèles en occlusion.

  21. Édentationpartielleréduite- l'absence de 1-3 dentsconsécutives sur l'arcadedentaire et / ou du groupe frontal. • Édentationpartielleétendue- absence de plus de 3 dentsconsécutifs sur l'arcadedentaire • Édentationsubtotale- la présence de 1-3 dents sur l'arcadedentaire • Édentation totale - absence de touslesdentssul'arcadedentaire

  22. L’édentation partiale réduite et celle étendue se classifient en utilisant la classification de Kennedy • Classe I – Kennedy – édentation bilatérale terminale • Classe II – Kennedy – édentation unilatérale terminale • Classe III – Kennedy – édentation intercalée dans la zone latérale • Classe IV – Kennedy - édentation intercalée dans la zone frontale L’édentation subtotale est classée à l’aide de la classification Applegate Classe V - Applegate - dents restantes dans la zone latérale Classe VI - Applegate dents restantes dans la zone frontale Classe V–VI - Applegate - dents restantes autant dans la zone frontale que dans celle latérale

  23. Règles d’établir les classifications d’édentation sur l’arcade dentaire • 1. Tout espace édenté limité mésial et distal est appelé «changement» • 2. Si sur une arcade dentaire il y a plusieurs espaces édentés, la classification d’édentation sera donnée par l'espace avec le nombre le plus bas, les zones restantes seront considérées comme des changements • 3. Si sur une arcade il existe plusieurs espaces édentés de la IIIème classe de Kennedy, un des espaces donnera la classe d’édentation, les autres seront appelés « changements »

  24. ÉTABLIR LE DIAGNOSTIC • Le diagnostic initial - accomplis dans l'examen. • Le diagnostic définitif, ce qui ajoute des changements apparues suivant le traitement • Diagnostic clinique présomptif - tests supplémentaires impliquant la prescription des données supplémentaires. • Le diagnostic de certitude, qui confirme ou infirme le diagnostic présomptif initial • Le diagnostic différentiel, ce qui exclut par raisonnement les symptômes médicaux d’autres maladie similaire.

  25. Le diagnostic oral • - Le diagnostic d’état général - influencer le traitement stomatologique/ contre-indiquer une série de manœuvres thérapeutiques • - Le diagnostic d'état local comprend le diagnostic d’intégrité odontale, parodontale, l'arcade, l’occlusale, les relations mandibulo-crâniennes, l'homéostasie et la fonctionnelle, mucite, la langue et des glandes salivaires, chirurgicale. • chacune de ces composantes comprennent les formes diagnostiques suivants: anatomo-cliniques, topographiques, la forme clinique, étiologique, fonctionnel, évolutif, prognose, traitement. • - Diagnostic de l'état d'hygiène

  26. - Le diagnostic d’état général – état général influencée par hypertension artérielle diagnostiquée il y a deux ans, traitée avec……. , permettent un traitement dentaire avec prudence. • - Le diagnostic d'état local • EPR mandibulaire Classe III Kennedy sans «changements», d’ étiologie « pluri- facteurielle », avec des complications locales et generaux, non traitée, avec de bonne prognose en cas du traitement. • LOC , carie Classe I Black au nveau de 1.4,2.6,2.7, d’ étiologie « pluri- facteurielle », avec des complications locales, non traitée 2.6,2.7et traitée 1.4 par obturation physionomique, avec de bonne prognose en cas du traitement. • - Diagnostic de l'état d'hygiène - état d'une bonne hygiène buccale.

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