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27. Le McKinley disparu

27. Le McKinley disparu. Dimanche premier juillet, on se lève à 4h15, on fait les lits, un brin de toilette et on part pour se rendre au stationnement des navettes à 20 minutes du camping, on déjeune sur place, pas le temps de faire la vaisselle, 5h45 on rejoint le groupe pour le départ de 6h00.

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27. Le McKinley disparu

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Presentation Transcript


  1. 27. Le McKinley disparu Dimanche premier juillet, on se lève à 4h15, on fait les lits, un brin de toilette et on part pour se rendre au stationnement des navettes à 20 minutes du camping, on déjeune sur place, pas le temps de faire la vaisselle, 5h45 on rejoint le groupe pour le départ de 6h00.

  2. Notre chauffeur nous fait un petit speech comme quoi il n'est pas là pour chercher les animaux dans le paysage, mais pour conduire, donc à nous de le prévenir si on voit un animal. Il fait froid, le temps est couvert et nos chances de voir quelque chose sont mince. En montant dans l'autobus, il y a déjà beaucoup de monde et le couple devant nous prend le premier banc à droite, instinctivement je me précipite sur le premier banc à gauche, derrière le chauffeur, qui curieusement est encore libre… j'ai compris pourquoi dans les secondes suivantes, je suis assise sur la roue, les genoux repliés sur la poitrine avec la pointe des pieds coincé entre la bosse de la roue et le siège du chauffeur qui est énorme et me cache la vue, Yvon lui à côté de moi est correct, mais il sait que je veux garder ma fenêtre. Qu'a cela ne tienne, je m'étirerais le bras vers le haut car j'ai réussi à descendre ma fenêtre de 3 pouces, juste assez pour passer mon appareil photo et vers la droite pour prendre des photos de la route qui est assez hallucinante par endroit. Un premier arrêt pour se dégourdir les jambes, après 1h30 de route est plus que bienvenu.

  3. Le premier animal aperçu, un grizzly qui passe devant nous et monte dans la montagne sans lever la tête trop occuper à manger je ne sais quoi. Après une monté assez rock'n roll, notre chauffeur prend les courbes au bord des précipices, un peu vite selon nous, notre voisin de droite à du user ses semelles à force de freiner sur le plancher de l'autobus et surement, il n'est pas le seul. Un autre arrêt pour admiré le panorama vers 8h15.

  4. Plus loin une maman grizzly avec deux petits, assez loin cependant. À chaque arrêt tout le monde se précipite, les femmes aux toilettes, les hommes sur les "squitjis" dans des sauts d'eau disponibles pour laver les fenêtres car la pluie et la boue de la route, nous empêche de voir les paysages, c'est très frustrant.

  5. À 9h40 le top…… la brume et la pluie nous laisse à peine voir le belvédère où nous aurions du admirer le mont McKinley, la déception est grande mais ont ni peut rien.

  6. Sur le chemin du retour

  7. En début d'après-midi, la pluie cesse enfin, nous descendons pour faire un petit bout à pied, j'en profite pour photographier quelques fleurs et au loin des caribous sous la pluie. Nous remarquons un stationnement où il y a des autos et motorisés, on nous avait dit que le parc était interdit à la circulation, nous reprenons un autobus et nous revenons avec le motorisé, c'est le plus loin qui est toléré à la circulation. Je peux enfin prendre des photos sans avoir l'appareil à bout de bras (1126 photos et plusieurs bouts de vidéo) car j'ai le dos, les bras et les orteils en compote.

  8. De retour au camping, à 9h00 avec un gros soleil, les stores sont baissés et on est couché, pas question d'attendre que lui se couche.

  9. Suite

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