1 / 14

Chimiothérapie intra péritonéale et cancer de l ’ovaire

Chimiothérapie intra péritonéale et cancer de l ’ovaire. Dr Anne FLOQUET, I Bergonié - Bordeaux NOUMEA OCTOBRE 2004. INTRODUCTION. 4 000 NC en France par an Le plus mauvais pronostic du à un cancer gynécologique pas de dépistage 3/4 des cas découverts à un stade avancé

emele
Download Presentation

Chimiothérapie intra péritonéale et cancer de l ’ovaire

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. Chimiothérapie intra péritonéale et cancer de l ’ovaire Dr Anne FLOQUET, I Bergonié - Bordeaux NOUMEA OCTOBRE 2004

  2. INTRODUCTION • 4 000 NC en France par an • Le plus mauvais pronostic du à un cancer gynécologique • pas de dépistage • 3/4 des cas découverts à un stade avancé • Tout stade confondu : SG à 5 ans, 30 à 35 % • comment en améliorer le pronostic ?

  3. RAPPEL Principaux facteurs pronostiques : • le stade • le grade • l ’obtention d ’un résidu tumoral minimal après chirurgie • l ’obtention d ’une réponse microscopique après traitement initial (chir et chimiothérapie)

  4. RAPPEL Comment améliorer la prise en charge thérapeutique : • effectuer une chirurgie optimale : initiale ou après chimiothérapie d ’induction • optimiser la première ligne de chimiothérapie : sels de platine - taxanes… et après? • Traitement de maintenance ? • Traitement de consolidation ?

  5. RATIONNEL Une chimiothérapie IP : pourquoi ? • atteinte confinée à la cavité péritonéale • une des tumeurs solides la plus chimiosensible ( 70 à 80%) • traitement initial par chirurgie et chimiothérapie: • 50% de réponse macroscopique • seulement 25 % de réponse microscopique • notion d ’ effet dose - réponse avec le cisplatine intraveineux • limitation de son utilisation par les effets secondaires ( neurotoxicité +++) • voie IP : augmentation de la dose à la tumeur

  6. RATIONNEL Une chimiothérapie IP : comment ? • Cathéter intrapéritonéal ( PAC ou Tenckhoff ) • dans volume d ’au moins 2 litres • chimiothérapie ( doxorubicine, méthotrexate, 5 FU, cddp, étoposide, topotécan, paclitaxel , oxaliplatine ) • CDDP le plus efficace • immunothérapie ( interféron, IL2, LAK …) • AC marqués à Y • nouveaux médicaments … • mono ou polychimiothérapie, association IP/IV

  7. RATIONNEL Une chimiothérapie IP : quand ? • En cas de maladie résiduelle • limitée à la cavité péritonéale • de moins de 2 à 3 mm d ’épaisseur • Liberté de la cavité péritonéale • Place: • En première ligne • En consolidation • En rechute

  8. ETUDES en première lignePh III randomisées IP vs IV CDDP/carbo ( st III )

  9. ETUDES en première ligne • Etude du SWOG , Alberts : • design simple, bras équilibrés • amélioration sur la survie sans rechute et la survie globale • toxicité : • IP: leucopénie, neutropénie, toxicité neuromusculaire et auditive moindre • mais: plus de douleurs abdominales et toxicité pulmonaire plus importante. • Mais protocole de comparaison = CP IV

  10. ETUDES en consolidationPh III IP vs rien

  11. ETUDES en consolidation • Difficultés: • qui inclure, qui exclure ? • examen complet de la cavité péritonéale au second look • nombre de biopsies minimum pour définition de la p CR • nombre de cures à effectuer ? • validation de l ’impact sur la survie sans récidive ? La survie globale ?

  12. TOXICITES • douleurs abdominales • toxicité hématologique, rénale • péritonite infectieuse, occlusion • hémopéritoine • cathéter : • déplacement, obstruction, perforation • hématome de paroi, abcès

  13. PERSPECTIVES • La voie IP reste une voie intéressante à explorer dans le cancer de l ’ovaire • De nouveaux médicaments sont ou vont être testés • Des techniques différentes sont en cours d ’évaluation: • Péritonectomies et chimiothérapie intrapéritonéale avec hyperthermie.

  14. CONCLUSION • La voie d ’abord intra péritonéale : • est une technique exigeante, à valider par des équipes entrainées • elle reste difficile à diffuser • équipe soignante spécialisée • niveau élevé de technicité ( contrôle de la cavité, surveillance per thérapeutique…) • effets secondaires potentiellement plus importants • elle ne doit être pratiquée que dans le cadre d ’un essai thérapeutique.

More Related