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Aglaeactis castelnaudii  par John Gould

Trochilidae Colibris, Oiseaux-mouches.

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Aglaeactis castelnaudii  par John Gould

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Presentation Transcript


  1. Trochilidae Colibris, Oiseaux-mouches La famille des trochilidés (ou Trochilidae) comprend actuellement 340 espèces d'oiseaux couramment appelées colibris. Ils sont également surnommés « oiseaux-mouches » à cause de leur petite taille et leurs battements d'ailes rapides. Ces oiseaux colorés se rencontrent exclusivement dans les Amériques et on en rencontre des espèces à presque toutes les altitudes, latitudes et biotopes. Ils sont particuliers à plusieurs égards, ils peuvent voler vers l'arrière ou sur place et effectuer des voltiges impressionnantes. Ils sont capables d'une « hibernation » nocturne et de voir les ultra-violets. En outre, ils ont un métabolisme extrêmement élevé, un rapport entre la masse corporelle et la masse du cerveau tout aussi élevé, une capacité à faire des vocalises complexes et une capacité d'apprentissage des chants comparable à celle des Psittacidae et des Passeriformes. Aglaeactis castelnaudii par John Gould

  2. L'oiseau mouche bat des ailes à raison de 22 à 78 coups par seconde c'est pourquoi il peut voler sur place. Il est le seul oiseau au monde qui puisse voler à reculons. Ce petitoiseau  est le seul qui ait le plus long bec au monde.Le colibri est un solitaire et il a mauvais caractère. Si un autre colibri approche de son territoire, qu'il soit mâle ou femelle il les chasse sans douceur. Ce sont des oiseaux petits à minuscules qui mesurent de 2 à 22 cm environ et jusqu'à 35 cm chez des espèces dont la queue porte de longues rectrices.  Leurs ailes sont longues et étroites et les battements de celles-ci sont très rapides c'est-à-dire de 8 à 80 hertz. La longueur de leur queue est variable. Leur bec fin est de longueur extrêmement variable selon les espèces, des becs courts de 1,5 cm à très longs de 10 cm, de rectiligne à nettement courbé. Les pattes sont courtes et se terminent par des pieds minuscules et fragiles. Elles sont Apodiformes, c'est-à-dire qu'elles ne leur permettent pas de se poser au sol, mais uniquement sur une branche. La couleur du plumage varie du brun au vert ou du rouge au noir. Elle est souvent similaire à celle des fleurs que les oiseaux visitent, par mimétisme. Ils ont la gorge ou le dessus de la tête vivement colorés. Certaines plumes possèdent des plaques iridescentes  réfléchissant des couleurs métalliques différentes selon l'angle d'où provient la lumière. Leurs plumes squameuses, aux barbules hypertrophiées, forment un ensemble compact sur le corps. Elles ne sont pas retenues entre elles comme chez les autres oiseaux. Cette structure spéciale des plumes iridescentes, à la forme aplatie, renferme des particules d'air. Les oiseaux-mouches disposent de 1 000 plumes en comparaison des 25 000 des cygnessoit 300 plumes par gramme contre 4 pour les cygnes.

  3. Le plus petit oiseau-mouche vit à Cuba. Avec ses 2 grammes, les femelles de colibri d'Hélène  (ou l'oiseau-abeille) dépassent à peine 2 cm de longueur et pondent les plus petits œufs au monde (taille d’un petit pois) tandis que les plus grands sont les colibris géants avec leurs  20 grammes et 21 cm

  4. Colibri géant - Patagonagigas

  5. Les colibris ont un vol stationnaire et une forme de bec adaptés au captage du nectar des plantes tropicales. Les oiseaux-mouches sont principalement nectarivores, le nectar constituant 90 % du régime alimentaire, mais également insectivores. Les insectes qu'ils capturent en vol, qu'ils récoltent sur les feuilles ou encore qu'ils retirent des toiles d'araignée leur sont indispensables comme apport en protéines. Ils consomment en moyenne la moitié de leur poids en sucre chaque jour. Ils se nourrissent de 5 à 8 fois par heure à raison de 30 à 60 secondes à chaque fois. Certaines fleurs comme les Ornithophilous et les becs des oiseaux-mouches qui les visitent auraient connu un processus de coévolution. En effet, les fleurs bénéficient du passage des oiseaux-mouches dans leur corolle pour déposer leur pollen sur la tête de l'oiseau-mouche qui la visite. Ces fleurs profitent donc de cet oiseau en accroissant la probabilité que ce pollen soit déposé dans une autre fleur de la même espèce et la féconde. L'évolution du système buccal des oiseaux-mouches, langue et bec, s'est faite en parallèle avec l'adaptation des fleurs. Peinture de Ernst Haeckel parue dansKunstformen der Natur de 1904

  6. ça vrombit et vole comme une abeille !

  7. Leurs ailes battent à des allures vertigineuses, le rythme cardiaque du colibri à gorge bleue a été mesuré à plus de 1 260 battements par minute. Ils consomment leur propre poids en nourriture chaque jour et ils sont souvent à quelques heures de mourir de faim. De ce fait, ils passent 70 % de leur temps perchés, économisant leur énergie. Cependant, ils sont capables de ralentir leur métabolisme jusqu'à la léthargie, par exemple la nuit, lorsque la nourriture n'est que difficilement disponible. Leur température peut baisser de 30 °C à 20 °C. La fréquence cardiaque passe approximativement à 50 battements par minute. Leur respiration se ralentit nettement. Ils sont alors vulnérables car ils ne peuvent pas reprendre leur activité immédiatement.. illustration de Colibrí Picoespada.

  8. Oiseau-mouche tirant la langue

  9. Femelle de Lampornis castaneoventris.

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