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Le modèle braudélien de la ville-Etat: Anvers, Venise, Gênes, Amsterdam

Europe du Nord. Les économies-monde. Le modèle braudélien de la ville-Etat: Anvers, Venise, Gênes, Amsterdam. Asie. Moyen-Orient. Cité portuaire-Etat. Afrique. L’économie-monde britannique . Grande-Bretagne: un Etat industriel, et une grande puissance coloniale. Londres. Europe.

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Le modèle braudélien de la ville-Etat: Anvers, Venise, Gênes, Amsterdam

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Presentation Transcript


  1. Europe du Nord Les économies-monde Le modèle braudélien de la ville-Etat: Anvers, Venise, Gênes, Amsterdam Asie Moyen-Orient Cité portuaire-Etat Afrique

  2. L’économie-monde britannique Grande-Bretagne: un Etat industriel, et une grande puissance coloniale Londres Europe Etats-Unis Empire britannique, et pays dépendants

  3. L’économie-monde américaine Une superpuissance aux ressources importantes et au vaste marché intérieur URSS: un contre-modèle? L’Europe en construction Asie Amérique latine Afrique

  4. L’économie-monde multipolaire De l’économie-monde à l’économie mondiale dominée par trois pôles majeurs Union européenne Russie Aire asiatique Etats-Unis Asie Amérique latine Brésil Afrique

  5. http://cinehig.clionautes.org/spip.php?article69

  6. La farine débarquée des péniches (reconstitution) Les barges, le fleuve et l’Ile de Nasino à l’arrière plan

  7. « Passeportisation » dans les villes

  8. Exode des paysans vers les villes lors de la collectivisation

  9. J’ai deux amours (P.: Géo Koger, H. Varna; M.: Vincent Scotto; I.: Joséphine Baker, 1930) REFRAIN:J'ai deux amoursMon pays et ParisPar eux toujoursMon coeur est raviMa savane est belle,Mais à quoi bon le nierCe qui m'ensorcelleC'est Paris tout entierLe voir un jourC'est mon rêve joliJ'ai deux amoursMon pays et Paris On dit qu'au-delà des mersLà-bas, sous le ciel clairIl existe une citéAu séjour enchanté.Et sous les grands arbres noirs,Chaque soirVers elle s'en va tout mon espoir.REFRAINQuand sur la rive parfoisAu loin j'aperçois Un paquebot qui s'en vaVers lui je tends les brasEt le coeur battant d'émoiÀ mi-voixDoucement je dis: «Emporte-moi»!REFRAIN

  10. Le polonais (Claude Delécluse, Jean Ferrat, 1962) Dans le petit bistro, tout le monde attendaitPour savoir celui qui, le premier, partiraitMais quand l'homme est sorti, derrière lui, pas à pasSon chagrin l'a suivi, comme les autres foisAlors le polonais a sorti son couteauEt à son vieux chagrin, il lui a fait la peauEt puis il s'est couché, sans bien savoir pourquoiDans le lit sans mémoire d'une fille à soldatsQuand ont sonné midi à l'horloge d'en basIl est redescendu, sa veste sur le brasIl a tourné au coin de la rue du MarocEt puis il a pleuré, tout seul, le long des docks Le polonais traînait encore son vieux chagrinIl est venu s'asseoir, a demandé du vinEt les deux mains posées sur la table de boisIl a servi deux verres, et puis il a dit : "Bois"Il a parlé longtemps à son chagrin têtuEn lui disant : "Va-t-en, tu vois, je n'en peux plus""Cette fois, c'est fini, je veux vivre sans toi""Vieux chagrin, je t'enterre pour la dernière fois"C'étaient deux compagnons qui venaient de très loinL'un dans l'autre habitant, se partageant le painComme ces vieux chevaux qu'on attelle aux laboursIls s'étaient rencontrés à la fin d'un amour

  11. Le rital (C.Barzotti, 1979) Mes yeux délavés par les pluiesDe nos automnes et de nos nuitsEt par nos brumes silencieusesJ'avais bien l'humeur voyageuseMais de raccourci en détourJ'ai toujours fait l'aller-retourJe suis rital et je le resteEt dans le verbe et dans le gesteVos saisons sont devenus miennesMa musique est Italienne Je suis Rital dans mes colèresDans mes douceurs et mes prièresJ'ai la mémoire de mon espèceJe suis Rital et je le resteArrivederci RomaLa la la la la la laC'est vrai je suis un étrangerOn me l'a assez répétéJ'ai les cheveux couleur corbeauMon nom à moi c'est BarzottiEt j'ai l'accent de mon paysItalien jusque dans la peauNa na na na na na na na A l'école quand j'étais petitJe n'avais pas beaucoup d'amiJ'aurais voulu m'appeler DupontAvoir les yeux un peu plus clairJe rêvais d'être un enfant blondJ'en voulais un peu à mon pèreC'est vrai je suis un étrangerOn me l'a assez répétéJ'ai les cheveux couleur corbeauJe viens du fond de l'ItalieEt j'ai l'accent de mon paysItalien jusque dans la peauJe suis rital et je le resteEt dans le verbe et dans le gesteVos saisons sont devenues miennesMa musique est ItalienneJe suis Rital dans mes colèresDans mes douceurs et mes prièresJ'ai la mémoire de mon espèceJe suis Rital et je le resteArrivederci Roma J'aime les amants de VéroneLes spaghettis le minestroneEt les filles de NapoliTurin, Rome et TifosiEt la Joconde de De vinciQui se trouve hélas à Paris

  12. Un Portugais (I.: Linda de Suza, 1978) Deux valises en carton sur la terre de FranceUn Portugais vient de quitter son PortugalComme tant d'autres il est venu tenter sa chanceLe Portugais qui a quitté son PortugalIci le soir parmi tous ses amisIl cherche un peu d'espoirTandis qu'ils font le cercle autour de luiIl joue sur sa guitareIl chante des fados des airs traditionnelsLe Portugais qui a quitté son PortugalSous les toits il entend la pluie tomber du cielIl fait si beau chez lui dans son pays natalLà-bas une fille l'attend depuis des moisChaque soir elle lui écritPour elle jamais au monde il n'y auraPersonne d'autre que lui Deux valises en carton sur la terre de FranceUn Prince s'éloigne dans le brouillard matinalC'est à la fille qui l'attend là-bas qu'il penseCe Portugais qui rentre enfin au PortugalCe Portugais qui rentre enfin au PortugalLa la la la .....

  13. Zebda, Le bruit et l’odeur, 1995 Si j'suis tombé par terreC'est pas la faute à VoltaireLe nez dans le ruisseauY avait pas DoltoSi y'a pas plus d'angesDans le ciel et sur la terrePourquoi faut-il qu'on crève dans le ghetto ?Plutôt que d'être issu d'un peuple qui a trop souffertJ'aime mieux élaborer une thèseQui est de pas laisser à ces messieursQui légifèrent, le soin de me balancerDes ancêtresOn a beau être néRive gauche de la GaronneConverser avec l'accent des cigalesIls sont pas des kilos dans la cité gasconneA faire qu'elle ne soit pas qu'une escaleOn peut mourir au frontEt faire toutes les guerresEt beau défendre un si joli drapeauIl en faut toujours plusPourtant y a un hommage à faireA ceux tombés à Montecassino[Refrain] :Le bruit et l'odeurLe bruit et l'odeurLe bruit du marteau-piqueur x4La peur est assassineAlors c'est vrai je pénaliseCeux qui flinguent les mômesQu'ont pas la pelouse en basJe suis un rêveurEt pourtant ami j'analyseJe suis un érudit et je vous dis: Je suis serbo-croate et musulmanVoilà le hicUn prêtre polonais républicainEt laïqueEt si certains regrettentDe pas être noir de peauJe n'ai qu'une réponse les garsVous avez du potL'égalité mes frèresN'existe que dans les rêvesMais je n'abdique pas pour autantSi la peur est un bras qui nous soulèveElle nous décimeJ'en ai peur pour la nuit des tempsElle aime NoahMais faut qu'y gagne les tournoiElle aime Boli mais a jamais rien aboli[Refrain]Qui a construit cette route?Qui a bâti cette ville?Et qui l'habite pas?A ceux qui se plaignent du bruitA ceux qui condamnent l'odeurJe me présenteJe m'appelle Larbi, Mamadou Juan et faites placeGuido, Henri, Chino Ali je ne suis pas de glaceUne voix m'a dit "Marathon" cherche la lumièreDu gouffre j'ai puisé un combat "la bonne affaire« J'en ai bavé de la peur que j'ai lu dans les yeuxDe ceux qui ont trois fois rien et qui le croyaient précieuxQuand j'ai compris la loi, j'ai compris ma défaiteIntégrez-vous disait-elle, c'était chose faite[Refrain] Le bruit du marteau-piqueur dans tes oreillesTu finis ta vie, elles bourdonnent les abeilles x2[Refrain]Jacques Chirac:Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui ensemble gagnent environ 15 000 FF et qui voit sur le palier à côté de son HLM entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses et une vingtaine de gosse et qui gagne 50 000FF de prestation sociale sans naturellement travailler.Si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur, eh bien le travailleur français sur le palier, il devient fou. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela.Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s'impose dans notre pays qui est un vrai débat moral pour savoir s’il est naturel que les étrangers puissent bénéficier au même titre que les Français d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne payent pas d'impôts.Le bruit et l'odeurLe bruit et l'odeur

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