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Per-Os 2010 – ECCEO 2010 Firenze Ostéoporose et traitements

Per-Os 2010 – ECCEO 2010 Firenze Ostéoporose et traitements. Richard TREVES Université de Limoges. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. P191, Jonasson J. – ECCEO 2010. Déterminer si la rapidité de la perte osseuse a toujours

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Per-Os 2010 – ECCEO 2010 Firenze Ostéoporose et traitements

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Presentation Transcript


  1. Per-Os 2010 – ECCEO 2010 FirenzeOstéoporose et traitements Richard TREVES Université de Limoges

  2. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  3. Déterminer si la rapidité de la perte osseuse a toujours été un enjeu dans le suivi de l’ostéoporose post-ménopausique (OPM). Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  4. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. Objectif : P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  5. Objectif : Déterminer chez les femmes atteintes d’ostéoporose post-ménopausique celles qui ont une perte osseuse rapide et celles qui ont une perte osseuse lente. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  6. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. Méthodologie : P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  7. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. Méthodologie : 130 femmes de 22 à 75 ans suivies en cabinet dentaire pendant 5 ans. P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  8. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. Méthodologie : 130 femmes de 22 à 75 ans suivies en cabinet dentaire pendant 5 ans. Mesure densité osseuse à l’avant-bras : 2 fois en 5 ans. P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  9. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. Méthodologie : 130 femmes de 22 à 75 ans suivies en cabinet dentaire pendant 5 ans. Mesure densité osseuse à l’avant-bras : 2 fois en 5 ans. Classification de la densité osseuse mandibulaire à la radiographie : P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  10. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. Méthodologie : 130 femmes de 22 à 75 ans suivies en cabinet dentaire pendant 5 ans. Mesure densité osseuse à l’avant-bras : 2 fois en 5 ans. Classification de la densité osseuse mandibulaire à la radiographie : - Trabéculation dense P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  11. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. Méthodologie : 130 femmes de 22 à 75 ans suivies en cabinet dentaire pendant 5 ans. Mesure densité osseuse à l’avant-bras : 2 fois en 5 ans. Classification de la densité osseuse mandibulaire à la radiographie : - Trabéculation dense - Alternativement dense et éparse P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  12. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. Méthodologie : 130 femmes de 22 à 75 ans suivies en cabinet dentaire pendant 5 ans. Densité osseuse à l’avant-bras : mesure 2 fois en 5 ans. Classification de la densité osseuse mandibulaire à la radiographie : - Trabéculation dense - Alternativement dense et éparse - Eparse P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  13. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. Résultats : P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  14. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. Résultats : Les femmes avec une trabéculation dense avaient une densité osseuse plus élevée que dans les 2 autres groupes. P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  15. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. Résultats : Les femmes avec une trabéculation dense avaient une densité osseuse plus élevée que dans les 2 autres groupes. Chez les femmes en pré-ménopause la perte osseuse moyenne était de 1,5%. Chez les femmes en post-ménopause la perte osseuse était de 3,2%. P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  16. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. Conclusion : P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  17. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. Conclusion : La densité osseuse la plus élevée a été observée chez les femmes dont la trabéculation mandibulaire était la plus dense. P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  18. Etude longitudinale de la perte osseuse rapide et lente chez des femmes. Conclusion : La densité osseuse la plus élevée a été observée chez les femmes dont la trabéculation mandibulaire était la plus dense. La perte osseuse la plus importante est aussi retrouvée dans ce groupe. P191, Jonasson J. – ECCEO 2010

  19. Quelle est l’action de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption dans l’ostéoporose post-ménopausique ? P385, Ancuta C. – ECCEO 2010

  20. Quelle est l’action de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption dans l’ostéoporose post-ménopausique ? C’est davantage dans les études que les rhumatologues s’appesantissent sur le suivi des marqueurs que dans la pratique quotidienne. P385, Ancuta C. – ECCEO 2010

  21. Quelle est l’action de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption dans l’ostéoporose post-ménopausique ? C’est davantage dans les études que les rhumatologues s’appesantissent sur le suivi des marqueurs que dans la pratique quotidienne. Pourtant l’évolution des marqueurs de la résorption a indéniablement un intérêt pour l’observance et l’efficacité des traitements. P385, Ancuta C. – ECCEO 2010

  22. Quelle est l’action de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption dans l’ostéoporose post-ménopausique ? Objectif : P385, Ancuta C. – ECCEO 2010

  23. Quelle est l’action de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption dans l’ostéoporose post-ménopausique ? Objectif : Evaluer l’efficacité de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption (CTX). P385, Ancuta C. – ECCEO 2010

  24. Quelle est l’action de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption dans l’ostéoporose post-ménopausique ? Méthodologie : P385, Ancuta C. – ECCEO 2010

  25. Quelle est l’action de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption dans l’ostéoporose post-ménopausique ? Méthodologie : 72 femmes avec ostéoporose post-ménopausique P385, Ancuta C. – ECCEO 2010

  26. Quelle est l’action de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption dans l’ostéoporose post-ménopausique ? Méthodologie : 72 femmes avec ostéoporose post-ménopausique Suivi : 12 mois P385, Ancuta C. – ECCEO 2010

  27. Quelle est l’action de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption dans l’ostéoporose post-ménopausique ? Méthodologie : 72 femmes avec ostéoporose post-ménopausique Suivi : 12 mois Traitement mensuel 150 mg P385, Ancuta C. – ECCEO 2010

  28. Quelle est l’action de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption dans l’ostéoporose post-ménopausique ? Méthodologie : 72 femmes avec ostéoporose post-ménopausique Suivi : 12 mois Traitement mensuel 150 mg Evaluation DMO à 12 mois et CTX à 6 et 12 mois P385, Ancuta C. – ECCEO 2010

  29. Quelle est l’action de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption dans l’ostéoporose post-ménopausique ? Résultats : P385, Ancuta C. – ECCEO 2010

  30. Quelle est l’action de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption dans l’ostéoporose post-ménopausique ? Résultats : Effets rapides de l’ibandronate sur la résorption. P385, Ancuta C. – ECCEO 2010

  31. Quelle est l’action de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption dans l’ostéoporose post-ménopausique ? Résultats : Effets rapides de l’ibandronate sur la résorption. Diminution du taux de CTX après 6 mois chez 90% des patientes. P385, Ancuta C. – ECCEO 2010

  32. Quelle est l’action de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption dans l’ostéoporose post-ménopausique ? Conclusion : P385, Ancuta C. – ECCEO 2010

  33. Quelle est l’action de l’ibandronate sur les marqueurs de la résorption dans l’ostéoporose post-ménopausique ? Conclusion : L’ibandronate dans l’ostéoporose post-ménopausique diminue les taux de CTX après 6 et 12 mois avec corrélation sur le gain en densité osseuse. P385, Ancuta C. – ECCEO 2010

  34. Efficacité comparée ibandronate oral versus ibandronate 3 mg IV P387, Paun DL. – ECCEO 2010

  35. Efficacité comparée ibandronate oral versus ibandronate 3 mg IV L’adhésion au traitement dans l’ostéoporose est meilleure en cas de prise mensuelle comparée à la prise quotidienne ou hebdomadaire (étude THALES). P387, Paun DL. – ECCEO 2010 F.-E. Cotté et coll. Adherence to monthly and weekly oral bisphosphonates in women with osteoporosis. Osteoporos Int. May 2009

  36. Efficacité comparée ibandronate oral versus ibandronate 3 mg IV Objectif : P387, Paun DL. – ECCEO 2010

  37. Efficacité comparée ibandronate oral versus ibandronate 3 mg IV Objectif : Evaluation de l’efficacité comparée de l’ibandronate en prise orale versus injection IV 3 mg. P387, Paun DL. – ECCEO 2010

  38. Efficacité comparée ibandronate oral versus ibandronate 3 mg IV Méthodologie : P387, Paun DL. – ECCEO 2010

  39. Efficacité comparée ibandronate oral versus ibandronate 3 mg IV Méthodologie : Etude rétrospective comparant les prises orales et IV chez 2 groupes de femmes sur un an de traitement : P387, Paun DL. – ECCEO 2010

  40. Efficacité comparée ibandronate oral versus ibandronate 3 mg IV Méthodologie : Etude rétrospective comparant les prises orales et IV chez 2 groupes de femmes sur un an de traitement : - Prises orales : 50 cas P387, Paun DL. – ECCEO 2010

  41. Efficacité comparée ibandronate oral versus ibandronate 3 mg IV Méthodologie : Etude rétrospective comparant les prises orales et IV chez 2 groupes de femmes sur un an de traitement : - Prises orales : 50 cas - IV : 25 cas P387, Paun DL. – ECCEO 2010

  42. Efficacité comparée ibandronate oral versus ibandronate 3 mg IV Méthodologie : Etude rétrospective comparant les prises orales et IV chez 2 groupes de femmes sur un an de traitement : - Prises orales : 50 cas - IV : 25 cas Age moyen comparable : 65 ans. P387, Paun DL. – ECCEO 2010

  43. Efficacité comparée ibandronate oral versus ibandronate 3 mg IV Résultats : P387, Paun DL. – ECCEO 2010

  44. Efficacité comparée ibandronate oral versus ibandronate 3 mg IV Résultats : Diminution des marqueurs de la résorption dans les 2 groupes. P387, Paun DL. – ECCEO 2010

  45. Efficacité comparée ibandronate oral versus ibandronate 3 mg IV Résultats : Diminution des marqueurs de la résorption dans les 2 groupes. Augmentation de la densité osseuse lombaire et hanche totale dans les 2 groupes après un an de traitement. P387, Paun DL. – ECCEO 2010

  46. Efficacité comparée ibandronate oral versus ibandronate 3 mg IV Résultats : Diminution des marqueurs de la résorption dans les 2 groupes. Augmentation de la densité osseuse lombaire et hanche totale dans les 2 groupes après un an de traitement. Pas d’effets indésirables sévères ni de nouvelles fractures. P387, Paun DL. – ECCEO 2010

  47. Efficacité comparée ibandronate oral versus ibandronate 3 mg IV Conclusion : P387, Paun DL. – ECCEO 2010

  48. Efficacité comparée ibandronate oral versus ibandronate 3 mg IV Conclusion : Efficacité comparable des 2 voies d’administration avec une légère supériorité de la voie IV sur la densité osseuse lombaire et de la hanche totale. P387, Paun DL. – ECCEO 2010

  49. Statut de la vitamine D chez les femmes atteintes d’ostéoporose post-ménopausique et traitées par l’ibandronate pendant un an P470, Grigorie D. – ECCEO 2010

  50. Statut de la vitamine D chez les femmes atteintes d’ostéoporose post-ménopausique et traitées par l’ibandronate pendant un an Les dosages de la vitamine D et leurs résultats font couler beaucoup d’encre dans le monde médical. P470, Grigorie D. – ECCEO 2010

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