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NH 3. N 2 N 2 O. CO 2. dépôt atm. ; Engrais Apports orga ext. NO. absorption. N orga très stable. N orga stable. NH 4 +. NH 4 +. NO 2 -. NO 2 -. NO 3 -. NO 3 -. N orga labile. lixiv. min. Caractériser les entrées organiques pour prédire leur devenir. Fix bio N 2.

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Presentation Transcript


  1. NH3 N2 N2O CO2 dépôt atm. ; Engrais Apports orga ext. NO absorption N orga très stable N orga stable NH4+ NH4+ NO2- NO2- NO3- NO3- N orga labile lixiv. min Caractériser les entrées organiques pour prédire leur devenir Fix bio N2 Litière ruissellement lessivage org. microb. brute nitratation très lente min. microb. brute nitritation NH4+ fixé lente rapide Biomasse µbienne minéralisation

  2. À chaque étape du processus (4 rep/echt) : - pesées à 40°C et 100°C - cendres résiduelles (500°C) Système manuel de digestion « Van-Soest » et accessoire de filtration associé. Principe de l’analyse pariétale appliquée à la caractérisation des M.O. exogènes • Détournement de technique destinée à caractériser la valeur nutritionnelle des fourrages • Applicable aux seuls produits solides • Difficultés selon la texture • Méthodologie qui a évolué dans sa technologie

  3. Feuille de calcul pré-calculée pour la finalisation des résultats Van Soest Zone de calculs définitifs (matière brute ; matière sèche Zone de vérification intermédiaire (humidité ; cendres ; résidus Zone de saisie des pesées

  4. Litières Arbres Analyse pariétale des litières de filao – différentiation selon les sites. • Particularité ou artéfact dans l’analyse des feuilles ?? • Variabilité assez forte des résultats (charge minérale ??) • Pas d’informations particulières a/s phytotoxicité

  5. Densité fréquence Polyphénols (mg g-1 ac. Tan.) Les polyphénols solubles totaux : Autre paramètre de qualité des M.O. • Méthodologie • Extraction eau(50)-méthanol(50) à 80°C pendant 1H (400 mg/40 ml) • Transfert, lavage et ajustement à 100 ml par H2O en fiole jaugée • Dosage par colorimétrie au réactif de Folin-Ciolcateu (manifold original) (résultats en équivalents acide tannique) • Utilisation • Rapport (lignine + polyphénols totaux) / Ntotal

  6. Test de germination « cresson » Sol + 10% litière Phytotoxicité des litières de filao : Mise en évidence par un test de germination • Forte phytotoxicité des couches de litière les plus récentes (couche 1) • Disparition de la phytotoxicité pour la couche la plus ancienne (couche 4) • Observation qui corrobore le constat des fleuristes et pépiniéristes dakarois • Une nécessité : Connaître les raisons et prévenir les conséquences de la phytotoxicité.

  7. Test de phytotoxicité à partir d’extrait aqueux de litière : Recherche d’une valeur de «DL50» • Recherche graphique du « nombre de dilutions d’extraits de litière** nécessaires pour obtenir un taux de germination de 0.50 des graines de laitue. Taux germination Valeur GI 0.50 ** : extraits de litière obtenus par macération avec agitation de la litière dans l’eau distillée et filtration à 0.2µm de la suspension après centrifugation. Nb. Dilutions milieu aqueux

  8. Test de phytotoxicité à partir d’extrait aqueux de litière : Synthèse des résultats • Phytotoxicité pour [C soluble] 100 mg l-1 • Effet synergique aux faibles [C soluble] Indice GI C soluble (mg l-1 )

  9. C total calculé (mg g-1) C total dosé (mg g-1) Spectres de réflectance dans le proche infra rouge : Aperçu de la qualité des résultats Dose Extrait DL50 calculée (Nb. dil) Dose Extrait DL50 mesurée (Nb. dil)

  10. Cycle de la M.O. : Quantifier le réapprovisionnement en M.O. fraîche NH3 N2 N2O CO2 dépôt atm. ; Engrais Apports orga ext. NO absorption N orga très stable N orga stable NH4+ NO2- NO3- N orga labile lixiv. très lente lente min Fix bio N2 Litière ruissellement lessivage org. microb. brute NH4+ NO2- NO3- nitratation min. microb. brute nitritation NH4+ fixé rapide Biomasse µbienne minéralisation

  11. Quantification des retombées de litières : les collecteurs Géométrie à adapter pour une bonne représentativité de la collecte Les litières et résidus de culture : Quantifier l’incorporation au sol • Quantification des pertes de matière : les litterbags et cages d’exclusion

  12. Cages d’exclusion vs litterbags : Quel choix ? • Quantifier individuellement la quantité initiale de résidus • Litterbags : • Dispositif artificialisé (humidité) • Indispensables si enfouissement • Approche des effets de la mésofaune du sol • Dosages C, N et cendres nécessaires

  13. Cho Jach 6 mois Cho Jach 18 mois %C initial incorporé Effet «macrofaune» (BF%) Litterbags : Quantification du rôle de la macrofaune dans l’incorporation au sol du C de la litière BF = 100 *(%C0.2mm - %C2mm)/(100 – C2mm) Litterbags : Modélisation de la cinétique d’incorporation de la litière au sol Mod : A(1 –e-k1t) + (1-A)((1 –e-k2t) Biodégradation d’un mulch sous S.C.V. en Centre C.I. Source : thèse P. Autfray.

  14. Cycle de la M.O. : Indicateurs de dynamique de minéralisation du C NH3 N2 N2O CO2 dépôt atm. ; Engrais Apports orga ext. NO absorption N orga très stable org. microb. brute N orga stable NH4+ NO2- NO3- N orga labile lixiv. très lente min. microb. brute min Fix bio N2 Litière ruissellement lessivage NH4+ NO2- NO3- nitratation nitritation NH4+ fixé lente rapide Biomasse µbienne minéralisation

  15. Techniques d’étude de la minéralisation de la M.O. au laboratoire et in-situ • A partir du terrain : • Evolution de la teneur en C et N total • Fractionnement physique de la M.O. • Cloches et/ou tunnels de confinement • A partir d’expériences d’incubation • Conditions de l’incubation (°C ; humid.) • Etudes d’impact des apports exogènes

  16. CO3 Xy + y/2H2O Y X(OH)-n + CO2 [CO2] : Techniques de mesure • Carbonatation d’une base • Dosage en retour par acidimétrie • Piégeage NaOH + ajout excès BaCl2 + dosage HCl • Piégeage Ba(OH)2 + dosage (COOH)2 • Facile à mettre en œuvre ; faible investissement ; pas d’inhibition par excès CO2 ni réaction CO2 - sol • Dosage direct [CO2] • techniques • Appareil type Licor (absorption IR CO2) • Chromato. phase gazeuse détection catharomètre • Investissement de base ; connaissance du volume mis en jeu; détermination directe; combinaison avec autres suivis (NH3 ; N2O)

  17. Cloche de piégeage sur le terrain connectée à un appareil IR Licor [CO2] : Dispositifs de piégeage • Volume de la cloche ~8 litres • Durée de piégeage • CO2 : 30 minutes (2 à 4 prlvts) • N2O : 1 à 2 heures (2 à 4 prlvts) • Autres techniques : Tunnels ventilés automatisés Base de la cloche installée et prlvt de gaz dans le sol

  18. Flux de CO2 sur le terrain : Rythme circadien et effet ponctuel des techniques Effet d’un labour sur le flux de CO2 (mg C m-2 heure-1) 1 heure après labour : 330 1 jour après labour : 125 (moyenne sur 3 mois : 140) Metay 2002 : riz pluvial Cerrados Brésiliens

  19. [CO2] : Dispositifs de piégeage Enceinte fermée avec piégeage par NaOH

  20. [CO2] : Dispositifs de piégeage Enceinte fermée avec ajutages de connexion à un CPG

  21. Intégration de la fonction vitesse : Qt CO2 cumulées Ajustement des vitesses : combinaison d’exponentielles A1e-k1t + A2e-k2t Minéralisation en laboratoire : Vitesses et quantités de CO2 cumulées.

  22. Vérification de l’établissement progressif de la minéralisation du produit : installation de la biomasse zymogène Modélisation logistique du taux cumulé de minéralisation du C Minéralisation en laboratoire :Cinétique en temps courts « effet démarrage »

  23. Incorporation de litières fraîches de Pueraria et Chromoleana : immobilisation temporaire de N Minéralisation des horizons de surface d’un sol ferrallitique sous divers systèmes de culture Modélisation Dynamique C et N Expériences de minéralisation en laboratoire : Prévoir et modéliser Source : thèse P. Autfray.

  24. CO2 K2 Biomasse incorporée (A) MOS (C) K1A H0 = 20.6 t ha-1 K1 racines = 0.15 Caractériser les évolutions :Modéliser un modèle simple (Hénin-Dupuy)

  25. K2 0.08 - 0.06 - - Hien 2001 - Badiane 93 (avec labour) 0.04 - - Siband 72 - Badiane 93 (sans labour) 0.02 - 0.00 - K1 Autre fumier Fumier moutons crucifères 0.00 0.10 0.20 0.30 0.40 Exemple : Détermination des coefficients K1 (acrisol BKF) et K2 (fumier de parc) Ajustement : 11 dates sur 40 années d’évolution Valeurs acquises dans ce cas

  26. D P M CO2 CO2 M.O. exogène R P M Bio Bio Hum Hum Décomposition : Y = Y0 e –abckt(mois) D D D D a : facteur température b : facteur humidité c : facteur « couverture du sol » K : constante de minéralisation du compartiment DPM : M.O. décomposable RPM : M.O. résistante IOM : M.O. inerte Bio : biomasse µbienne Hum : M.O. humifiée RothC : Prévoir l’évolution des apports de M.O. exogènes I O M

  27. Prévision de l’évolution du C d’un acrisol du Burkina Faso avec et sans apport de fumier Parcelle Témoin • Incertitudes sur l’état initial (prlvt jachère voisine) • Simulation convenable de la parcelle « témoin » • Ecarts à la réalité dans le cas de forts apports de fumier • Hypothèses avancées : réalité des apports • Effet de la macrofaune • Qualité du fumier (constante K inadaptée) • « Dispersion » des apports Parcelle forte dose fumier Thèse E. Hien

  28. fB : param. contact sol-produit fN : param. Insuf. N min fT : param. Température fW : param. Humidité Cantis* :Meilleure prise en compte de la nature des M.O.(composition biochimique) • Prise en compte de la composition « pariétale »  (Van Soest) • K spécifique par compartiment • Module spécifique pour mulch • Deux pools de biomasse µbienne • Autochtone (AUB) humus • Zymogène (ZYG) M.O. exogène • Biom µbienne morte décomposée par AUB * : Développé par l’INRA (Garnier et al 2001)

  29. NH3 N2 N2O CO2 dépôt atm. ; Engrais Apports orga ext. NO absorption N orga très stable N orga stable NH4+ NH4+ NO2- NO2- NO3- NO3- N orga labile lixiv. min La biomasse microbienne : Un acteur essentiel difficile à saisir Fix bio N2 Litière ruissellement lessivage org. microb. brute nitratation très lente min. microb. brute nitritation NH4+ fixé lente rapide Biomasse µbienne minéralisation

  30. Techniques de caractérisation de la biomasse microbienne • Dénombrement • Comptages direct sous microscope • Comptage de colonies sur milieu de culture • Dépendant de la composition du milieu • Sensibilité biom. zymogène vs biom. autochtone • Identification par culture sur milieux sélectifs • Méthodes indirectes d’estimation • Dosages de composés spécifiques (expl. : ergostérol de la biomasse fongique) • Méthodes par fumigation • Fumigation – incubation et mesure activité métabolique relativement à un échantillon non fumigé. • Fumigation – extraction et dosage d’indicateurs de présence de la produits de lyse des µorganismes sur echts fumigés vs non fumigés • Dosage Ctot, Ntot sur extrait K2SO4 • Dosage N alpha-aminé sur extrait KCl • Respiration induite par le substrat • Ajout de glucose et détermination du surplus d’activité (CO2) par rapport sol seul

  31. CHCl3 10 jours Evac. CHCl3 Terre fine fraîche Extrait KCl Terre fine fraîche Extrait KCl Technique fumigation-extraction et dosage de N alpha-aminé. Dosage manifold original • Matériel nécessaire • Hotte et pompe à vide • Dessicateur en verre • Matériel pour l’extraction de N minéral

  32. C biom. microbienne mg kg-1 N minéralisable mg kg-1 j-1 Biomasse microbienne et N minéralisable en bananeraies martiniquaises

  33. Faits marquants sur : La caractérisation des M.O. et leur devenir dans les sols • La caractérisation chimique • L’analyse élémentaire et la détermination de types de molécules à « effet protecteur » • La subdivision en compartiments de résistance croissante aux réactifs agresseurs • Les techniques d’analyse rapide par SPIR (NIRS) • L’étude du comportement des M.O. dans les sols • Quantification de l’incorporation des M.O. au sol • Mesures directes des émissions gazeuses à l’interface sol-atmosphère • Etude des cinétiques d’incubation • Production de CO2 (et autres gaz) • Suivi de la minéralisation de l’azote • La formalisation des cinétiques et les modèles couplant les cinétiques du C et N organique • Vers une meilleure prise en compte de l’interdépendance des cycles de C et N et des conditions trophiques • Un danger : la multiplication des paramètres...pas toujours accessibles !!!

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