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Entente de principe entre le gouvernement, représenté par le Conseil du trésor,

Entente de principe entre le gouvernement, représenté par le Conseil du trésor, et les organisations syndicales du Front commun CSN-FTQ-SISP. Durée de la convention collective. 5 ans du 1 er avril 2010 au 31 mars 2015. Les salaires. Augmentations salariales fixes et des nouveautés…

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Entente de principe entre le gouvernement, représenté par le Conseil du trésor,

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Presentation Transcript


  1. Entente de principe entre le gouvernement, représenté par le Conseil du trésor, et les organisations syndicales du Front commun CSN-FTQ-SISP

  2. Durée de laconvention collective 5 ans du 1er avril 2010 au 31 mars 2015

  3. Les salaires • Augmentations salariales fixes et des nouveautés… • Augmentations possibles en lien avec le PIB nominal • Augmentation possible en lien avec l’inflation

  4. Augmentations maximales possibles

  5. Augmentations salariales fixes • 1er avril 2010 0,5 % • 1er avril 2011 0,75 % • 1er avril 2012 1 % • 1er avril 2013 1,75 % • 1er avril 2014 2 % Total 6 %

  6. Augmentations possiblesen lien avec le PIB nominal Si le PIB nominal est supérieur aux prévisions gouvernementales contenues au plan de retour à l’équilibre budgétaire, les salaires pourraient connaître des augmentations supplémentaires

  7. Augmentations possiblesen lien avec le PIB nominal Le PIB nominal n’est pas le PIB réel duquel on entend généralement parler. Il est plus élevé puisqu’il inclut l’inflation.

  8. 1er avril 2012 0,5 % 1er avril 2013 1,5 % 1er avril 2014 1,5 % Total possible 3,5 % En ajout aux augmentations salariales fixes Augmentations possiblesen lien avec le PIB nominal

  9. Comment ça fonctionne ? Le 1er avril 2012, l’augmentation de salaire fixe peut être bonifiée d’un maximum de 0,5 %, si la somme des PIB nominaux réalisés en 2010 et 2011 est supérieure à 8,3 % (3,8% + 4,5 %)

  10. Comment ça fonctionne ? Le 1er avril 2013, l’augmentation de salaire fixe peut être bonifiée d’un maximum de 2 % moins ce qui a été obtenu en 2012, si la somme des PIB nominaux réalisés en 2010, 2011 et 2012 est supérieure à 12,7 % (3,8 % + 4,5 % + 4,4 %)

  11. Comment ça fonctionne ? Le 1er avril 2014, l’augmentation de salaire fixe peut être bonifiée d’un maximum de 3,5 % moins ce qui a été obtenu en 2012 et 2013, si la somme des PIB nominaux réalisés en 2010, 2011, 2012 et 2013 est supérieure à 17 % (3,8 % + 4,5 % + 4,4 % + 4,3 %)

  12. Augmentations possiblesen lien avec le PIB nominal Un calcul avantageux… Une croissance du PIB nominal de 0,1 % supérieure aux prévisions gouvernementales entraîne une augmentation de salaire de 0,125 %

  13. Exemple pour le 1er avril 2012 En 2012, pour accéder à l’augmentation maximale de 0,5 % en lien avec le PIB nominal, la somme des PIB nominaux réalisés en 2010 et 2011 doit être supérieure aux 8,3 % prévus au plan de retour à l’équilibre budgétaire

  14. Augmentations possiblesen lien avec le PIB nominal L’effet concret de ce calcul avantageux… Si la somme des PIB réalisés au cours des 4 premières années de la convention est supérieure de 2,8 % aux 17 % prévus au plan de retour à l’équilibre budgétaire, les augmentations maximales de 3,5 % en lien avec le PIB nominal s’ajouteront aux augmentations salariales fixes.

  15. Augmentation possible en lien avec l’inflation Si l’inflation observée sur la durée de la convention collective est supérieure à l’ensemble des augmentations obtenues… • La différence est comblée jusqu’à un maximum de 1 % • Cette augmentation est effective au dernier jour de la convention collective, le 31 mars 2015 Total possible 1 %

  16. La retraite Nouveau mode de financement du régime de retraite qui nous permet de : • Sécuriser les prestations • Stabiliser la cotisation Le nouveau mode est établi sur la base des principaux paramètres que nous avions proposés

  17. La retraite Variation du taux de cotisation par palier • Pour 2011, 2012 et 2013, la variation maximale du taux de cotisation est limitée à 0,5 % • Par la suite, la variation annuelle maximale sera l’écart entre la cotisation requise et la cotisation en cours divisé par 3

  18. La retraite Les retombées concrètes de la nouvelle façon de faire

  19. La retraite Modification de la formule de cotisation • L’exemption de 35 % du maximum des gains admissibles (MGA), applicable au salaire faisant l’objet de cotisation passe à 25 % du MGA qui est de 47 200 $ en 2010 • Le passage se fait sur 5 ans à compter du 1er janvier 2012

  20. La retraite Modification de la formule de cotisation • Les salarié-es dont le revenu est égal ou supérieur au MGA verront leur cotisation réduite, il s’agit donc d’une amélioration importante • Les salarié-es ayant un salaire inférieur au MGA ne cotiseront pas davantage qu’ils ne le feraient avec la formule actuelle et ne subiront donc pas d’impact négatif • La partie manquante des cotisations sera absorbée soit par les économies réalisées au sein du régime lui-même, soit par le gouvernement

  21. La retraite Indexation Lors de chaque évaluation actuarielle, s’il y a un surplus supérieur à 20 % du passif et qu’il permet de couvrir les coûts attribuables à la caisse des participantes et participants… Une indexation sera consentie aux retraités pour le service acquis entre le 1er juillet 1982 et le 31 décembre 1999 selon la formule d’indexation des rentes appliquées depuis le 1er janvier 2000 : IPC moins 3 % avec un minimum de 50 % de l’IPC Cet engagement ne vaut que pour la partie des rentes attribuables à la caisse des participantes et participants, le gouvernement ne s’engageant pas à indexer la partie des prestations qui lui est attribuable pour le moment.

  22. La retraite À compter du 1er janvier 2011, possibilité de cotiser au-delà de 35 ans et de bonifier sa rente • Il sera possible d’accumuler du service reconnu pour la rente de retraite, et ce, jusqu’à un maximum de 38 ans • La rente pourrait donc atteindre 76 % (2 % par an) • Les 36e, 37e et 38e années ne seront pas coordonnées avec le Régime des rentes du Québec. Elles seront pleinement reconnues à 2 %, et ce, même après 65 ans • Aucune cotisation rétroactive ni aucun rachat permis • Mesure volontaire qui ne modifie en rien les critères permettant la prise de retraite après 35 ans de service

  23. La retraite Nouvelle grille de tarification des rachats de services • Mise en application le 1er janvier 2011 • Établie âge par âge plutôt que par fourchettes d’âges • Mise à jour aux trois ans après l’évaluation actuarielle complète • Le coût d’un rachat lors d’un retour au travail sera plus équitable entre les participantes et participants

  24. La retraite Utilisation de la banque de 90 jours Considérant que depuis 2000, les salarié-es peuvent contribuer au RREGOP, pour toutes leurs absences • À compter du 1er janvier 2011, la banque de 90 jours pourra être utilisée uniquement pour les congés parentaux

  25. La retraite Crédits de rente Ces crédits servent principalement au rachat d’années travaillées avant la création du RREGOP (1973) • Les personnes pouvant encore racheter des années pourront le faire jusqu’au 31 décembre 2010 • À compter du 1er janvier 2011, il n’y aura plus de possibilité d’acquérir des crédits de rente

  26. La retraite Demandes patronales retirées • Imposition d’une pénalité actuarielle aux personnes qui auraient pris leur retraite avec 35 ans de service sans avoir 55 ans d’âge • Passage de la pénalité actuarielle de 4 % à 6 % par année d’anticipation de l’âge normal de la retraite • Resserrement des clauses de retour au travail

  27. Droits parentaux Notre demande visait la mise à jour des conventions collectives au chapitre des droits parentaux avec : • La Loi sur les normes du travail • La Loi sur l’assurance parentale • La Loi sur l’assurance-emploi

  28. Droits parentaux Les conventions collectives intégreront : • De nouveaux motifs de fractionnement des congés de maternité, de paternité et d’adoption prévus à la Loi sur les normes du travail • La possibilité de fractionnement du congé parental (52 semaines) pour les mêmes motifs • La modification de la durée possible de la suspension des congés de maternité, paternité, d’adoption ou parental • Un préavis de 3 semaines pour la prise du congé de paternité, d’adoption ou parental

  29. Droits parentaux • Un même traitement pour le congé de paternité et le congé d’adoption • cinq jours payés à 100 % • cinq semaines payées à 100 % en lien avec le Régime québécois d’assurance parentale ou l’assurance-emploi, prises dans les 52 semaines suivant la naissance ou l’adoption, avec les actuelles possibilités de prolongation • Le maintien des avantages sociaux durant le congé • Les mêmes droits pour les salarié-es au retour du congé de paternité ou d’adoption que ceux déjà applicables lors du retour du congé d’adoption et du congé de maternité

  30. Droits parentaux Le congé pour responsabilité parentale devient un congé pour responsabilité familiale • Élargissement aux père, mère, conjoint-e, etc. • Le nombre de jours de congé passe de 6 à 10

  31. Droits parentaux Autres gains • Il n’y a plus obligation de rembourser l’indemnité à l’employeur si l’adoption ne se concrétise pas • Il y a correction de certaines incohérences dans le calcul de l’indemnité lorsque la personne salariée travaille pour plus d’un employeur

  32. Ouvriers spécialisés Un groupe de travail mixte intersectoriel est formé Composition : 5 représentants des syndicats et de 5 représentants de l’employeur Mandat : Examiner la situation relative à l’attraction et à la rétention de la main-d’œuvre dans le cas des titres d’emploi d’ouvriers spécialisés des secteurs public et parapublic Recommandations : Déposées au plus tard le 31 décembre 2011, qu’elles soient conjointes ou non

  33. Ouvriers spécialisés Les titres d’emploi ciblés par la démarche sont énumérés à la page 14 du document de consultation

  34. Bon débat syndical !

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